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Croix de Chemin, le Bas Bourg (La Chapelle-Chaussée) Chapelle-Chaussée (La) - le Bas Bourg - en écarttitreCourant :Croix de Chemin, le Bas Bourg (La Chapelle-Chaussée)annexe :Informations complémentaires : dossier d'archivage de 1984 : Lien PDFcadresEtude :inventaire topographique La Chapelle-Chausséedenominations :croix de chemincontenu :L’ancienne croix de chemin datant du 16e ou 17e siècle fut remplacée par une croix du 19e siècle s’apparente fortement à une croix de cimetière. Pour plus d’informations se rapporter au dossier croixlocalisation :Chapelle-Chaussée (La) - le Bas Bourg - en écart
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Croix de Chemin, le Grand Chemin (La Chapelle-Chaussée) Chapelle-Chaussée (La) - le Grand Chemin - en écarttitreCourant :Croix de Chemin, le Grand Chemin (La Chapelle-Chaussée)annexe :Informations complémentaires : dossier d'archivage de 1984 : Lien PDFdenominations :croix de chemindimensions :la 45.0localisation :Chapelle-Chaussée (La) - le Grand Chemin - en écart
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Le substrat géologique et les matériaux de construction de la communauté de communes de CrozontitreCourant :Le substrat géologique et les matériaux de construction de la communauté de communes de CrozoncadresEtude :inventaire topographique Communauté de communes de Crozonillustration :Morgat. Vue de la pointe du Menhir. Falaise de grès armoricain IVR53_20112900096NUCA Crozon. Cap de la Chèvre. Sentier dans la lande bordé d'un muret de clôture en moellon de grès Morgat. Villa Le Clair logis, 1921. Vue générale sud-ouest. Gros oeuvre en moellon de grès Crozon. 15 rue Alsace-Lorraine. Ancien hôtel particulier, milieu 17e siècle. Détail de la porte sud Morgat. Vue du corps de garde de la pointe du Kador, 1861. Gros oeuvre en moellon de grès, pierre Argol. Falaises de l'anse de Caméros, détail des couches de schiste et de grès Camaret-sur-Mer. Falaises des tas de pois, grès IVR53_20122900462NUCA Telgruc-sur-Mer. Pen ar Vir, falaises de schistes zébrés IVR53_20122900091NUCA Telgruc-sur-Mer. Littoral de Kergariou, alternances schisto-gréseuses IVR53_20122900082NUCA Telgruc-sur-Mer. Ménez Caon, affleurement rocheux de grès IVR53_20122900062NUCAdenominations :ensemble de fabrication de matériaux de constructionhistorique :culturel de la péninsule. Géologie Le socle ancien de la presqu´île est constitué par une alternance maisons de villégiature et aux murets de pierres sèches du cap de la Chèvre édifiés après le partage des l´utilisation de pierre de taille importées s´avère nécessaire pour la solidité des ouvrages. Le ´impact des apports proximaux et distaux depuis le 16e siècle. La position géographique de la presqu´île a pierres à bâtir, dans certains cas à flanc de falaise (près de Rostudel). La toponymie conserve parfois le Crozon, la microtoponymie indique également la présence de nombreuses carrières (le trou de la carrière , le champ aux trous, la garenne des trous, le trou Magagnon...) dont les excavations et les fronts de pierres proximales : la dolérite noirâtre (Cap de la Chèvre, zone de l´Aber), le schiste gris-bleu sombre Logonna, la maison du 7 rue de Reims à Crozon (1655) constitue une exception. Le granite de Locronan microgranites de l´Ile Longue et de Rostellec pour la production de pavés vendus sur tout le littoral atlantiquecontribution :Enqueteur Le Lu StéphaniereferenceDocumentaire :Le chemin de fer Châteaulin-Camaret, les pierres et la guerre. CHAURIS, Louis. Le chemin de fer p. 229, 230 BUREL, Marcel, CADIOU, Didier, KERDREUX, Jean-Jacques. La Presqu´île de Crozon CHAURIS, Louis, CADIOU, Didier. La chapelle Saint-Fiacre. Provenance des matériaux de construction CHAURIS, Louis, KERDREUX, Jean-Jacques. La dolérite, une pierre de construction singulière en CHAURIS, Louis. Pierres et constructions dans la ville de Crozon. Dans : Avel Gornog, N° 10 CHAURIS, Louis. Calcaires et fours à chaux des abords de la rade de Brest. Dans : Avel Gornog , N CHAURIS, Louis. La pierre dans les forts du goulet de Brest. Dans : Avel Gornog , N° 13, juin 2005 CHAURIS, Louis. La pierre dans les ouvrages portuaires de Camaret. Dans : Avel Gornog , N° 15 CHAURIS, Louis. L'impact du granite de Trégana en presqu'île de Crozon. Dans : Avel Gornog , N° 8 CHAURIS, Louis, CADIOU, Didier. Mégalithisme et géologie. Les alignements de Landaoudec en Crozon
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Croix de chemin, le Valet (Caro) Caro - le Valet - en écarttitreCourant :Croix de chemin, le Valet (Caro)dates :1936 porte la datedescription :chanfreinée en cavet sur les deux faces. Décor de la face principale : sur la croix, une croix grecque gravée Croix palis monolithe sur un soubassement de maçonnerie ; en schiste violet, trilobée etcadresEtude :inventaire topographique Communauté de Communes du Val d'Oust et de LanvauxdatationsSecondaires :2e quart 20e siècle porte la dateillustration :Croix de chemin : schéma réalisé par J. P. Ducouret en 1983 IVR53_20135619493NUCB Croix de chemin : face sud (état en 1984) IVR53_19845600124X Croix de chemin : face sud (état en 1984) IVR53_19845600125X Croix de chemin (état en 2010) IVR53_20105606367NUCA Croix de chemin (état en 2010) IVR53_20105606361NUCAdenominations :croix de chemindimensions :la 88.0historique :Croix du 16e siècle. Le soubassement a été cimenté au 20e siècle (1936).localisation :Caro - le Valet - en écartreferenceDocumentaire :. Mémoires de la Société d'Histoire et d'Archéologie de Bretagne, 1980, t. LVII. p. 132-136 Les croix rurales du canton de Guer. BLÉCON, Jean. Les croix rurales du canton de GuerairesEtudes :Communes riveraines du canal de Nantes à Brest
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Le bourg de la Chapelle-Janson Chapelle-Janson (La) - Bourg - en villagetitreCourant :Le bourg de la Chapelle-Jansonillustration :Entrée du bourg par la rue de Nazareth (Nord) IVR53_20143500496NUCA Eglise Saint-Lézin : porte de la chapelle sud IVR53_20133520460NUCA Extrait du cadastre de 1811 IVR53_20133520448NUCA Constructions situées aux abords de l'église paroissiale (Nord-Ouest) IVR53_20143500449NUCA Constructions situées aux abords de l'église paroissiale (Nord-Est) IVR53_20143500450NUCA Les rues de l'Eglise et du Relais IVR53_20143500422NUCA Rue de Cimette IVR53_20143500493NUCA Rue de Cimette IVR53_20143500494NUCA Maison située rue de Cimette IVR53_20133520450NUCA Les rues du Bas-Bourg et de Nazareth IVR53_20143500495NUCAhistorique :bâtiments concentrés autour de l’église. Le développement du bourg s’est fait par la suite le long des La paroisse et l’église de la Chapelle-Janson furent très probablement fondées au début du 11e peu nombreuses. Le cadastre établi en 1811 figure les parcelles occupées par une trentaine de actuelles rues du Bas Bourg (ouest), de Nazareth (nord), de Cimette (sud), du Relais (est), de la Pinterie antérieure au 19e siècle n’a été conservée dans son état d’origine. Le chantier de construction de l'église profondément remaniés lorsqu'ils n'ont pas été détruits. La phase la plus importante de développement du bourg l’église Saint-Lézin bien connue pour la qualité de ses vitraux du 16e siècle et qui fait l’objet d’une siècle comme l’indique la donation qu’en fit la vicomtesse Roianteline (femme du vicomte Eudon) à l’abbesse de Saint-Georges vers 1032. C’est à partir de cette époque que se développa un petit bourg qui comptait, à côté d’un important prieuré de bénédictines aujourd’hui disparu, des constructions sans doutelocalisation :Chapelle-Janson (La) - Bourg - en villagereferenceDocumentaire :Notions d'histoire et d'archéologie pour la région de Fougères PAUTREL, Emile. Notions d'histoire et d'archéologie pour la région de Fougères, 1927. Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne. OGEE, Jean-Baptiste . Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne. 1ère édition 1778-1780. Nouvelle édition , revue et augmentée par MM. A. Marteville, et P. Varin, avec la collaboration principale de MM. de Blois d'Ille-et-Vilaine. Paris : Flohic Editions, 2000. (Collection Le Patrimoine des communes de France). Pouillé historique de l'archevêché de Rennes. GUILLOTIN DE CORSON, abbé. Pouillé historique de l'archevêché de Rennes. Rennes : Fougeray, Paris : René Haton, 1884. Le département d'Ille-et-Vilaine, Histoire, Archéologie, Monuments. BANEAT, Paul. Le département , Ducrest de Villeneuve, Guépin de Nantes et Lehuérou. Rennes : Molliex, libraire-éditeur, 1843-1853.airesEtudes :Pays de Fougères
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Le village de la Templerie (La Chapelle-Janson) Chapelle-Janson (La) - La Templerie - en villagetitreCourant :Le village de la Templerie (La Chapelle-Janson)illustration :Rue de la Templerie : maisons IVR53_20143500505NUCA Rue de la Templerie : maisons IVR53_20143500506NUCA Rue de la Temperie : maisons IVR53_20143500507NUCA Rue de la Templerie : maisons IVR53_20143500508NUCA Rue de la Templerie : maison IVR53_20133520454NUCA Rue de la Templerie : maison IVR53_20133520455NUCA Rue de la Templerie : ferme 1 IVR53_20143500511NUCA Rue de la Templerie : ferme 1 (étable et soue) IVR53_20133520451NUCA Rue de la Temperie : ferme 2 IVR53_20143500509NUCA Rue de la Templerie : ferme 2 (cheminée probablement remployée) IVR53_20133520452NUCAhistorique :maison qui a donné naissance au village dont le nom des Temples ou de la Templerie rappelle l’origine ». Le fief qu’y possédaient les chevaliers du Temple dépendait de la commanderie de la Guerche. Seule la toponymie a conservé la mémoire de cet épisode. Le cadastre napoléonien révèle à la Templerie l’existence Selon A. Bertin et L. Maupillé, « les templiers possédaient sur le territoire de cette paroisse une d’un village déjà étoffé en 1811, formé de constructions réparties le long de l’ancienne route de peut-être de la destruction du manoir des Temples et de la chapelle qui y était associée, ajoute à de l’ancien manoir des Temples. Quelques bâtiments (fermes, maisons) remontent à la première moitié du 19e siècle mais l’essentiel des constructions (maisons) datent de la seconde moitié du 19e siècle Fougères à Ernée (une quarantaine de parcelles construites). L’ancienneté de l’occupation de cette zone est conservé son authenticité. Lorsqu’elles n’ont pas disparu, les constructions de l'époque moderne ont étélocalisation :Chapelle-Janson (La) - La Templerie - en villagereferenceDocumentaire :Notions d'histoire et d'archéologie pour la région de Fougères PAUTREL, Emile. Notions d'histoire et d'archéologie pour la région de Fougères, 1927. Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne. OGEE, Jean-Baptiste . Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne. 1ère édition 1778-1780. Nouvelle édition , revue et augmentée par MM. A. Marteville, et P. Varin, avec la collaboration principale de MM. de Blois Le département d'Ille-et-Vilaine, Histoire, Archéologie, Monuments. BANEAT, Paul. Le département Pouillé historique de l'archevêché de Rennes. GUILLOTIN DE CORSON, abbé. Pouillé historique de l'archevêché de Rennes. Rennes : Fougeray, Paris : René Haton, 1884. , Ducrest de Villeneuve, Guépin de Nantes et Lehuérou. Rennes : Molliex, libraire-éditeur, 1843-1853.airesEtudes :Pays de Fougères
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Ferme, la Rubinière de la Marche (Le Pertre) Pertre (Le) - la Rubinière de la Marche - en écart - Cadastre : 1986 ARtitreCourant :Ferme, la Rubinière de la Marche (Le Pertre)cadresEtude :inventaire préliminaire Le Pertreillustration :Vue intérieure, détail de la cheminée IVR53_20023517645NUCAhistorique :Cette ferme modeste est composée de deux bâtiments et d'un four à pain isolé. Le logis était ouvertures et la cheminée du rez-de-chaussée. Un cellier arrière est adjoint à l'ensemble. Remaniements récents des ouvertures et de la distribution. composé de deux unités d'habitation, il remonte au 16e siècle comme l'atteste les encadrements deslocalisation :Pertre (Le) - la Rubinière de la Marche - en écart - Cadastre : 1986 AR
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Le bourg de la commune de Plougonven Plougonven - bâti densetitreCourant :Le bourg de la commune de Plougonvenillustration :Plougonven, bourg - Ancienne dépendance de la ferme de Pors an Nuijen au sud de l'enclos paroissial Plougonven, bourg - Maison, 19e siècle, place de la Résistance IVR53_20152908828NUCA Plougonven, bourg - Maison, 18e siècle, place de la Résistance IVR53_20152908829NUCA Plougonven, bourg - Maison, 19e siècle, le rez-de-chaussée a été remanié au 20e siècle Carte de l'évolution de l'implantation du bâti du bourg de Plougonven IVR53_20152908834NUCA Carte générale du bourg de Plougonven en 1970 IVR53_20152908840NUCA Carte générale d'évolution de l'implantation du bâti du bourg de Plougonven - bâti apparu entre Carte générale d'évolution de l'implantation du bâti du bourg de Plougonven - bâti apparu entre Plougonven, bourg - Ancienne maison noble de Monvouloir, remaniée, détail du pignon, vue depuis Plougonven, bourg - Ancienne maison noble de Monvouloir, remaniée, façade sud IVR53_20152908821NUCAhistorique :urbain. Le bourg ancien De la forme du bourg et des édifices antérieurs au 19e siècle, il ne reste que par des petites fenêtres. La disposition du bourg avant le 19e siècle était tout à fait différente de long du 19e siècle la majeure partie de la population de la commune spécialisée dans le commerce et 1920-1930, surtout à l’ouest sur la route menant vers Plourin et le nouveau sanatorium de Guervenan « pavillonnaires », bordant le chemin. Évolution urbaine du bourg A partir de 1950, la vocation commerciale et agricoles, murs en béton ou parpaings de béton, reproduction de styles régionalistes… Le décalage de la Le bourg de Plougonven est situé sur un promontoire culminant à 180 mètres d’altitude, dernier relief accentué entre la partie est des monts d’Arrée, au sud de la commune, s’adoucissant progressivement jusqu’à Morlaix, au nord. L’église paroissiale en est le point le plus élevé. Comme bon nombre de bourgs ruraux du Finistère, le bourg de Plougonven a connu un renouvellement de son habitat quasi total
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Le Réchou (Plounérin) Plounérin - Ar Rechou - isolétitreCourant :Le Réchou (Plounérin)description :chapelle et le moulin en contrebas, il n’y a ni manoir, ni demeure dépendant de la commanderie et il n’est nullement fait mention de la fontaine Saint-Jean, qui existe encore aujourd’hui. Les différents archives concernant les possessions hospitalières du Réchou ne mentionnent que lastatut :propriété de la communecadresEtude :enquête thématique régionale Inventaire des commanderies templières et hospitalières de Bretagneillustration :Chapelle Saint-Jan du Rechou. Terrier de la commanderie de La Feuillée, 1705 (A. D. de La Vienne Moulin du Réchou. Terrier de la commanderie de La Feuillée, 1705 (A. D. de La Vienne, 3H1 444 Chapelle Saint-Jan du Rechou. Dessin à la plume aquarellé, 1731 (A. D. de La Vienne, 3H1 450 Moulin du Rechou. Dessin à la plume aquarellé, 1731 (A. D. de La Vienne, 3H1 450 Fontaine Saint-Jean, Le Réchou, Plounérin IVR53_20152211754NUCAdenominations :fontaine de dévotionhistorique :doubles. Au siècle suivant, dans le procès-verbal de 1758, le commandeur de La Feuillée fait rédiger une note très précise du mauvais état de la chapelle : Cette chapelle du Raport de francois Le Sech Lambry quand dessus du Maitre. La Couverture est en mauvais Etat de Reparation Le tout est très Indescent Dès 1182, les Templiers se voient confirmer une aumône au village lerachoou, dans le territoire de la paroisse de Plounérin. En 1631, toutes les offrandes et revenus de la chapelle sainct Jan du Rechou appartiennent au commandeur de La Feuillée, plus les quevaises y estans subicts pareillement au Rentes et dismes et autre suire le moulin du Rechou dependant de lad. Commenderye Comme tous les autres subicts soubz la banlieu. Cependant, dans l’état des revenus de la commanderie de 1697, la chapelle est trouvée par le commandeur en grandes indigences de reparement et d’ornement. Sur le croquis d’arpentement de La feuillée levé en 1705, la chapelle adopte un plan à nef unique flanquée au sud d’une chapellereferenceDocumentaire :Etat des revenus de la commanderie de La Feuillée par le commandeur Léonor de Beaulieu de Belthomas Procès-verbal des améliorations de la commanderie de La Feuillée, commandeur du Bouilly de Turcant Aveu pour la commanderie du Palacret, commandeur de Saint-Offange, 1631. Terrier de la commanderie de La Feuillée, 1705, reliure en veau, Tome 1, sans pagination. Terrier de la commanderie de La Feuillée, 1731, reliure en veau, Tome 5. de Resnon, 1758. Les Templiers et les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, dits Chevaliers de Malte en Bretagne GUILLOTIN DE CORSON, Amédée. Les Templiers et les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, dits Chevaliers de Malte en Bretagne, Nantes, 1902.
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Ferme, la Rubinière de la Marche (Le Pertre) Pertre (Le) - la Rubinière de la Marche - en écart - Cadastre : 1986 ARtitreCourant :Ferme, la Rubinière de la Marche (Le Pertre)cadresEtude :inventaire préliminaire Le Pertrehistorique :Ferme dont la façade n'a pu être vue. Les pierres du manteau de la cheminée qui dépassent du pignon permettent d'envisager une datation ancienne du logis qui pourrait remonter au 16e siècle comme dans la fermelocalisation :Pertre (Le) - la Rubinière de la Marche - en écart - Cadastre : 1986 AR
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Chapelle de La Trinité (Le Vieux-Marché) Vieux-Marché (Le) - La Trinité - en écarttitreCourant :Chapelle de La Trinité (Le Vieux-Marché)dates :1668 porte la datedescription :Chapelle isolée associée à une croix et à une fontaine de dévotion. Édifice orienté nord-sud, de plan allongé, à vaisseau unique, construit en moyen appareil de pierre de taille de granite, chevet à noues multiples avec quatre contreforts circulaires à socle carré, ornés de pinacles, et canonnières formant gargouilles. Toit à longs pans sur pignons découverts. Clocheton de plan rectangulaire à une chambre de cloche ajourée, coiffée d´un fronton orné d´une croix.annexe :de granit. Le plan de la chapelle est fort simple : de forme rectangulaire, elle se termine par une mur sud, viennent rompre le parfait alignement des pierres de granit. On remarque à la base du toit La chapelle de la Trinité in La Sauvegarde de l'Art Français "La chapelle de la Trinité, basse et trapue, forme avec le calvaire et la fontaine en contrebas un ensemble charmant avec son bel appareillage abside à trois pans. S’il est difficile de dater la nef, dont l’état actuel laisse à penser qu’elle a pu extérieur et par la date de 1688 [sic ; il s'agit vraisemblablement de 1668] qui y figure, témoigne d’une campagne de travaux de la fin du 17e siècle. La façade occidentale est surmontée d’un clocheton dont la la trace, à intervalles réguliers, des entraits qui scandaient la voûte lambrissée ; ils ont de nos trois pans, chacun traité à la façon d’un gâble au centre duquel est percée une ouverture cintrée ; de piédroit de forme semi-circulaire, lui-même amorti d’une sculpture le couronnant et doté d’une bouche à feustatut :propriété de la communeobservation :La chapelle est de style gothique et renaissance.murs :granite pierre de tailleillustration :Extrait de la feuille E3 du cadastre ancien de la commune de Le Vieux-Marché, 1835 : chapelle et Le Vieux-Marché, La Trinité : chapelle de La Trinité, croquis par Henri Frotier de la Messelière, 8 Le Vieux-Marché, La Trinité : plan de la chapelle IVR53_20122206014NUCA Le Vieux-Marché, La Trinité : plan de la chapelle, détail de l'abside IVR53_20122206013NUCA Le Vieux-Marché, La Trinité : chapelle de La Trinité, vue sud-est, chevet à noues multiples avec Le Vieux-Marché, La Trinité : chapelle, détail de l'inscription sur l'un des quatre contreforts croix de La Trinité IVR53_20112205432NUCA Le Vieux-Marché, La Trinité : chapelle et croix, vue nord-ouest IVR53_20112205055NUCA Le Vieux-Marché, La Trinité : chapelle et croix, vue ouest IVR53_20112205056NUCA Le Vieux-Marché, La Trinité : chapelle, vue est, chevet à noues multiples avec contrefortsprecisionsProtection :Chapelle et croix de la Trinité (cad. C 1268) : inscription par arrêté du 11 février 1964.historique :La chapelle est probablement édifiée au 16e siècle (portes ouest et nord) mais le chevet porte la date de 1668 sur un contrefort. La chapelle de la Trinité appartenait aux seigneurs de La Haye de Guernaham qui ont gravé leurs armes sur le chevet et dans le chœur.localisation :Vieux-Marché (Le) - La Trinité - en écartairesEtudes :Schéma de cohérence territoriale du Trégor
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Dalle funéraire de la famille Le Vayer Moulins - place de EglisetitreCourant :Dalle funéraire de la famille Le Vayerstatut :propriété de la communeetatsConservation :Le décor est usé.appellations :de la famille Le Vayerprofession :[commanditaire] Le Vayerinscriptions :Armoiries de la famille Le Vayer : losangé d´or et de gueules.canton :Guerche-de-Bretagne (La)categories :taille de pierrelocalisation :Moulins - place de Eglise
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Manoir, le Bois de la Roche (Commana) Commana - le Bois de la Roche - isolé - Cadastre : 2005 B3titreCourant :Manoir, le Bois de la Roche (Commana)description :, le bassin circulaire à bordure moulurée et timbrée de quatre blasons muets repose sur un support brisé surmonté d´une archivolte. Plan allongé avec aile en retour d´équerre abritant la cuisine avec cheminée monumentale et grand évier au rez-de-chaussée et chambre à l´étage. Partie ouest à deux salles superposées à double orientation et cheminées monumentales. Gros oeuvre en moellon de granite, à l´exception des encadrements des baies, des cheminées et de l´escalier de distribution extérieur en pierre de taille de granite. ANCIENNE METAIRIE : alignement à un étage. Etables et écuries surmontées de greniers à l´est, logis et logement à l´ouest. Gros oeuvre en moellon équarris de granite, partiellement en pierre de taille de granite alternant avec des bandes de schiste, baies en granite. VASQUE : en graniteobservation :manoir du Bois de La Roche est aussi, avec celui, voisin, de Penhoat en Plounéour-Ménez, le seul témoin (L´Angle, La Garenne, Kervéroux). Par ailleurs, l´emprise sur le patrimoine local de la part des de l´architecture seigneuriale dans ce secteur. On notera également la qualité de la mise en oeuve de ´église paroissiale de Commana (1682). Enfin, il convient de mentionner la conservation, rare en Bretagne Les bâtiments conservés font partie intégrante d´un site remarquable. Malgré de nombreuses modifications concernant l´ancien logis seigneurial, certaines structures d´origine, comme le plan en T renversé avec cuisine en rez-de-chaussée, se comparent à un groupe de manoirs bretons du 15e siècle désormais bien connus (Kerligonan à Kergloff, Prat Meur à Ploudalmézeau, le Boisorcant à Noyal-sur-Vilaine). Le la métairie dont des équivalents s´observent dans certaines bâtiments ruraux des environs immédiats Bouvans, seigneurs du lieu, est importante : calvaire de Kervéroux (1676), retable de sainte Anne dans lmurs :pierre de tailleillustration :Le manoir et la ferme. Extrait du cadastre de 1812 (A.D. Finistère, 3 P 108) IVR53_20052904273NUCA Le domaine au début du 19e siècle. Extrait du cadastre de 1812 (A.D. Finistère, 3 P 108 Manoir. Cheminée de la salle du rez-de-chaussée IVR53_20062906726NUCA Vestiges d'une croix rappellant l'emplacement de la chapelle disparue IVR53_20062906736NUCA Plan-masse (fond : cadastre de 2005) IVR53_20052904331NUCA Le vasque. Carte postale, vers 1900 IVR53_20062906270NUC Manoir. Elévation ouest de l'aile sud IVR53_20062906720NUCA Manoir. Parc : mur de soutènement IVR53_20062906728NUCA Ancienne métairie. Logis, cheminée du rez-de-chaussée. IVR53_20062906735NUCAprofession :[commanditaire] Du Laurens de la Barrerepresentations :Armoiries Bouvans, Cornouaille, Kerriec (remployées sur la partie sud du logis).historique :Laurens de la Barre qui y décède en 1882. Le manoir était le centre d´un important domaine seigneurial place qui, alimenté par le ruisseau de Bothuan, se jette, non loin de là, dans la rivière de la Penzé . Située entre le manoir et le village de la Garenne, la chapelle dédiée à saint Roch, associée à une transformée en fenêtre sur le pignon ouest de la salle de l´étage). La tour d´escalier d´origine située dans l cadastre de 1812. Le mur de refend séparant l´actuelle entrée de la salle ouest pourrait dater du 17e ancien vivier. Le lieu noble de Coat an Roch avec haute, moyenne et basse justice est attesté en 1481 et (armoiries remployées) le possèdent entre le début du 17e et la fin du 18e siècle. Par la suite, il est habité et réaménagé par la famille du Laurens de la Barre et notamment l´écrivain folkloriste Ernest du par les vestiges d´une croix. Figurant sur le cadastre de 1812, le colombier, situé à l´ouest du logis , a disparu. Le parc au sud a été aménagé aux 18e et 19e siècles. La chronologie des différentslocalisation :Commana - le Bois de la Roche - isolé - Cadastre : 2005 B3referenceDocumentaire :p. 73 Diocèse de Quimper et de Léon. Nouveau répertoire des églises et chapelles COUFFON, René, LE p. 195 OGEE, Jean-Baptiste. Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne la collaboration principale de MM. De Blois, Ducrest de Villeneuve, Guépin de Nantes et Lehuérou Menant, Jean-Jacques Rioult [et al.]. Inventaire général des Monuments et des richesses artistiques de la (Collection Le Patrimoine des Communes de France), vol. II. Quimper et de Léon. Dans : Bulletin de la commission diocésaine d´architecture et d´archéologie , vol. II A.D. Finistère, 34 J, 9, fonds Le Guennec. Commana (1900-1940). BARS, Alfred. Diocèse de Quimper et de Léon. Nouveau répertoire des églises et chapelles. Quimper p. 89-102 DOUARD, Christel. Architectures et manières d´habiter : l´exemple de quelques manoirs du XVe siècle. Dans : Noblesses de Bretagne du Moyen Age à nos jours (Jean Kerhervé dir.). Presses
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La croix et le calvaire de la commune de Bolazec BolazectitreCourant :La croix et le calvaire de la commune de Bolazecillustration :Croix monumentale, 16e siècle remaniée en 1893. Détail de la face ouest IVR53_20072900033NUCA Croix de cimetière, 15e siècle. Vue générale est IVR53_20092900173NUCAhistorique :de la commune et la pauvreté de ses ressources. Ces deux croix sont érigées entre le 15e et le 16e La commune ne compte aujourd'hui qu'une croix et un calvaire situés au bourg de Bolazec dont un dans l'enclos du cimetière de l'église. Ce nombre restreint est en rapport avec la superficie réduite siècles, à l'époque semble-t'il où la présence aristocratique est la plus forte sur Bolazec. Le calvaire du cimetière du 15e siècle est peut-être contemporain du premier édifice religieux de la commune.
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Le moulin à vent de la Buglais, rue de la Mairie (Lancieux) Lancieux - la Buglais - rue de la Mairie - en ville - Cadastre : 1827 B 900 2004 AI 400titreCourant :Le moulin à vent de la Buglais, rue de la Mairie (Lancieux)etages :étage de combledescription :', avec les rouages satellites de la bluterie au rez-de-chaussée. Le dernier étage sous combles comprend Le bâtiment, de forme centrée, dispose d'une forte assise au sol, avec un certain empâtement. Le intérieurs du moulin ont été récemment blanchis à la chaux. Le moulin a un seul étage, dit 'étage des meules l'arbre et le rouet, avec une petite ouverture pour observer la direction du vent et la lucarne appelée 'houteau' qui reçoit le frein et la queue du moulin (pour orienter la charpente mobile au vent). La encore la marque du fabricant (une rosace), en provenance de Brie en Champagne. Ce commerçant exportait moulin est construit avec une maçonnerie en granite, schiste, gneiss et pierre de Saint-Cast. Les murs couverture est réalisée en bardeaux de chêne, elle repose sur un châssis tournant porteur de l'arbre et du rouet d'entraînement. Le moulin est équipé depuis le 19ème siècle d'un régulateur à boules, inventé par ses meules sous forme de morceaux de plâtre. L'amoulangeur se chargeait alors de les assembler surannexe :tourne la meule tournante ou courante, en breton "maen reder". Le dispositif permettant de modifier la Roche et le moulin à eau proche du manoir, tous deux possessions du seigneur de la Roche Glé , disparus au cours du 19ème siècle et du 17ème siècle. Le moulin du Tertre de la Roche, cité en 1478 et en Les meules Les meules : (texte proposé par Guy Prigent) D'après le témoignage oral de Jean Peillet et de Chris Gibbings, 3 juin 2008. La meule du dessous (fixe) est appelée "dormante" ou "gisante l'écart entre les meules s'appelle la 'trempure'. C'est elle qui détermine la finesse de la mouture renvoi, à partir d'un système de levier, d'une force agissant sur la bascule (située sous l'axe de la meule). Cela soulevait ou de serrait la meule, et évitait l'emballement du moulin. Si celui-ci tournait trop vite, ou le contraire lorsqu'il n'y avait pas assez de vent. Ce moulin est monté 'à l'anglaise meules de 90 cm à 200 cm. Les meules représentaient les 2/3 de la valeur du moulin au 19ème siècle. Il ystatut :propriété de la communeobservation :Oeuvre protégée. Le moulin de Buglais, entièrement restauré, mérite d'être signalé, dernier moulin à vent sur la commune après la disparition du moulin à vent de la Touche (en ruines en 1901) et du moulin à vent du Tertre Imbert (vestiges). Voir également la notice d'inventaire rédigée par Marinaappellations :dit moulin de Buglaisillustration :le moulin de Buglais et le moulin de la Roche (collection particulière, M. Dagorne L'anille scellée à la meule supérieure, que le moulin de Buglais a réutilisée pour la forme de sa Le mécanisme de la trempure qui permet que 2 meules s'écartent (dessin de l'Encyclopédie, G La porte d'entrée au Sud, refaite en chêne, avec à côté le levier de frein : remarquer la forte Vue de l'écusson de la famille Glé, à la fleur de lys en tête, sculptée dans le granite (martelé Le meunier débloque la trémie et actionne l'auget avec un bout pour libérer la quantité de grains Le fond vide de la trémie et le bout du meunier pour débloquer l'alimentation en grains Vue de la meule débout, utilisée pour moudre le grain pour les bêtes IVR53_20082205910NUCA Vue de l'ensemble des rouages entre le hérisson et la lanterne au rez-de-chaussée Vue du grand hérisson (avec le gros fer vertical), des rouages satellites et de la bluterie au rdcpartiesConstituantesNonEtudiees :atelier de fabricationhistorique :la Révolution, les possessions de l'Abbaye furent vendues comme biens nationaux. Le moulin fut acheté du moulin à la mairie de Lancieux. Il fut adjugé à la famille Jouët, dont le gendre François Chapelle leur grain. Le moulin est acheté par la commune de Lancieux en 1973. En 1976, il est restauré pour le froment et l'autre pour les céréales secondaires. L'une de ces meules porte la date de Le moulin à vent de Buglais (moulin non jumelé à un moulin à eau) est daté du 16ème siècle (cité dès 1574, AD 22, série E). Il était la propriété de l'Abbaye de Saint-Jacut qui possédait en outre à Lancieux, les fermes de Buglais et de la Briantais, situées sur la baie de Lancieux. Pour accéder au moulin , les moines devaient d'abord traverser la baie à marée basse et ensuite emprunter le chemin qui reliait la Briantais à l'Anerie en passant par les Aires du Tertre où il croisait le 'chemin Poissonnier'. A par François Lhotelier le 4 mars 1791. Il passa aux mains de Mathurin Lemonnier, meunier à Lancieuxlocalisation :Lancieux - la Buglais - rue de la Mairie - en ville - Cadastre : 1827 B 900 2004 AI 400referenceDocumentaire :Témoignage oral PEILLET, Jean, Gibbings Chris. Témoignage oral sur la restauration du moulin de AD Côtes-d'Armor : 4 num 1/4, 11, plans cadastraux parcellaires de 1827. p. 15 BRISOU, Dominique. Moulins de Saint-Jacut et d'alentours. In 'Association des Amis du vieux
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Croix de chemin, le Lesnot (La Chapelle-Caro fusionnée en Val d'Oust en 2016) Val d'Oust - le Lesnot - en écarttitreCourant :Croix de chemin, le Lesnot (La Chapelle-Caro fusionnée en Val d'Oust en 2016)description :Croix-tableau monolithe à bâtière, sur soubassement de maçonnerie ; fût de section circulairecadresEtude :inventaire topographique Communauté de Communes du Val d'Oust et de Lanvauxillustration :Croix de chemin : face portant le Christ en croix (état en 1969) IVR53_20115601443Z Croix de chemin : face portant le Christ en croix (état en 1984) IVR53_19845600416X Croix de chemin : face portant le Christ en croix (état en 2010) IVR53_20105606183NUCA Croix de chemin : face portant le Christ en croix, vue de 3/4 (état en 2010) IVR53_20105606298NUCA Croix de chemin : face portant la Vierge à l'Enfant (état en 1984) IVR53_19845600417X Croix de chemin : face portant la Vierge à l'Enfant, vue de 3/4 (état en 2012 Croix de chemin : schéma réalisé par J. P. Ducouret en 1983 IVR53_20135619498NUCBprecisionsLocalisation :commune fusionnée après inventaire Commune inventoriée sous le nom de La Chapelle-Carodenominations :croix de chemindimensions :la 50.0localisation :Val d'Oust - le Lesnot - en écartairesEtudes :Communes riveraines du canal de Nantes à Brest
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L'architecture religieuse dans le CoglaistitreCourant :L'architecture religieuse dans le Coglaisannexe :20103503033Z : Service de l'Inventaire du patrimoine culturel de Bretagne, Bande49. 20103502821Z : Service de l'Inventaire du patrimoine culturel de Bretagne, Bande07.illustration :Croix de la Frénouse, Saint-Etienne-en-Coglès IVR53_20103502821Z La Chapelle de Quéré, Saint-Germain-en-Coglès IVR53_20113501501NUCA La chapelle de la Villette, Saint-Brice-en-Coglès IVR53_20113500114NUCA Grotte de Lourdes, La Motte à Saint-Brice-en-Coglès IVR53_20103511906NUCA Chapelle de la Potelais, Coglès IVR53_20103504809NUCA Chapelle de la Motte, Saint-Brice-en-Coglès IVR53_20103506146NUCA Croix de Pron, Saint-Etienne-en-Coglès IVR53_20103503033Z Chapelle de Valaines à Montours IVR53_20113500473NUCA La Croix Madame, Saint-Brice-en-Coglès IVR53_20103511745NUCA Chapelle du manoir de Lignières, Saint-Hilaire-des-Landes IVR53_20113500675NUCAdenominations :croix de chemin grotte de Lourdescontenu :Quatre chapelles de la communauté de communes ont fait l'objet d'un dossier d'étude bien que le sur le territoire du Coglais on trouve également de nombreuses chapelles frairiennes. Ainsi, la Saint-Eustache ». D´autres se situent dans des hameaux c´est le cas de la chapelle de Quéré datée 1603 chapelle a été construite en 1881 par le docteur Georges Berthelot ; la grotte de Lourdes date quant à elle la commune avec celle d' Argouges située dans le département voisin de la Manche. L'oratoire de Mont dispersées sur le territoire du Coglais. La commune de Saint-Etienne-en-Coglès compte a elle seule 45 croix main, celle du fermier de Pron. Le calvaire le plus ancien est situé sur la commune de Saint-Germain-en portés sur le fût et la base nous indiquent une oeuvre de la seconde moitié du 16e siècle ou du début 17e siècle. Il s'agit du plus bel exemple d'oeuvre de cette époque rencontré sur le territoire. La base , un premier au milieu du fût et un second au niveau de la croix. Le fût est également chanfreinéairesEtudes :Pays de Fougères
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Croix de Chemin, le Chauchix (Plouasne) Plouasne - la Bourdelais le Chauchix - en écarttitreCourant :Croix de Chemin, le Chauchix (Plouasne)description :Implantée proche du hameau de Chauchis dont elle reprend le nom, en bordure d´un chemin de communication qui mène au bourg, la croix en granite monolithique surprend par sa grande hauteur et sa forme àstatut :propriété de la communecadresEtude :inventaire topographique Communauté de communes d'Evrandenominations :croix de chemincontenu :La présence de plusieurs croix à double traverse dans ce secteur peut s’expliquer par le fait que du sépulcre ou croix de Lorraine, devient le symbole de la dignité épiscopale.Celle de Plouasne la paroisse dépendait anciennement de l’archevêché de Dol. Ce type de croix, appelé également croixhistorique :. La croix d´origine médiévale se rapproche de celle de Guenroc élevée suite à l´épidémie de peste Le toponyme du chauchis en latin « calciata via », chemin empierré indique une voie très ancienne bubonique de 1638-1639 et de celles de Calorguen assemblées sur un socle unique.localisation :Plouasne - la Bourdelais le Chauchix - en écartairesEtudes :Projet de Parc naturel régional Rance-Côte d'Emeraude
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La tour de Pénerf, le Lenn (Damgan) Damgan - Lenn (le) - Cadastre :titreCourant :La tour de Pénerf, le Lenn (Damgan)description :trois niveaux, dont deux comportent une cheminée. La fonction du monument fait l’objet de plusieurs hypothèses : élément de signalisation, instrument de défense active ou passive ? La présence de mâchicoulis qu'une lanterne aurait pu été installée, à l'époque moderne, sur la tour de Pénerf1. Enfin, élément remarquable du paysage maritime, la tour de Pénerf a surement rempli, depuis son édification, la fonction secondaire d’amer pour les navigateurs. Sur la carte réalisée, au XVIIe siècle, par Louis-Nicolas de Clerville (1610-1677) et conservée à la Bibliothèque Nationale de France, la tour de Pénerf est reportée graphiquement sans être nommée. A l’époque moderne, la tour de Pénerf semble avoir été intégrée à une batterie côtière composée de plusieurs ouvrages que l’on observe sur le cadastre napoléonien de 1833. Note de bas C’est une tour cylindrique de 15 mètres de haut construite en moellons enduits, de couleur blanche , et comprenant un soubassement en grand appareil. La tour est couronnée d’un parapet. Elle comprendillustration :Extrait, carte particulière des costes maritimes de Bretagne...depuis l'embouchure...de Loyre Extrait, carte particulière des costes maritimes de Bretagne...depuis l'embouchure...de Loyre Extrait du cadastre Napoléonien, 1833, Fort de Pénerf, Damgan IVR53_20175605676A0Acontenu :La tour de Pénerf, située à Damgan sur la presqu’île de Pénerf, est un élément atypique. Appelée « tour de Pénerf » ou « tour des Anglais » cet édifice est situé à l’entrée de la rivière de Pénerf, à la pointe du Lenn, sur un rocher à quelques mètres de la côte. L'édifice est inscrit au titre des Monumentshistorique :l’édifice. Selon la base Mérimée (base de données sur le patrimoine architectural français du Ministère de L’analyse des sources à notre disposition ne permet pas de dater précisément la construction de la Culture), la construction de l’édifice daterait du XVIe siècle. (Christelle NICOLAS ; Mariannalocalisation :Damgan - Lenn (le) - Cadastre :referenceDocumentaire :La tour des Anglais à Damgan Le QUINIO René, La tour des Anglais à Damgan, Société Polymathique du Phares : histoire du balisage et de l’éclairage des côtes de France FICHOU Jean-Christophe, Phares : histoire du balisage et de l’éclairage des côtes de France, Chasse-marée, 2006 Mémoire sur la défense et l’armement des côtes , avec plans et instructions, approuvés par Napoléon , concernant les batteries de cotes et suivi d’une notice sur les tours maximiliennes accompagnée de dessins , Mémoire sur la défense et l’armement des côtes , avec plans et instructions, approuvés par Napoléon , concernant les batteries de cotes et suivi d’une notice sur les tours maximiliennes accompagnée de dessins, J Carte particulière des costes maritimes de Bretagne...depuis l’embouchure...de Loyre jusqu’au Port Hintel… Carte particulière des costes maritimes de Bretagne...depuis l’embouchure...de Loyre jusqu’au Port Hintel…, Clerville, Louis-Nicolas de (1610-1677). Cartographe, date d’édition :1600-1700
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Manoir, la Pyrie (Le Hinglé) Hinglé (Le) - Pyrie (la) - isolétitreCourant :Manoir, la Pyrie (Le Hinglé)etages :étage de combledescription :œuvre en moellons et pierre de taille de granite. Vestiges de l’ancienne porte de la salle avec une fleur de lys gravée. Distribution non vue. Blasons losangés d'argent et de sable de la famille deannexe :Registre des états de sections du cadastre de 1843, Le Hinglé A 114, la vallée girout, étang A 115 A 122, le pertus chaux A 123, le bois de derrière A 124, l’avenue de derrière A 125, la pâture des vaux A 126, courtil de la ferme A 125, le bois de derrière A 127, le four de la ferme A 128, la basse cour A 129, la Pyrie sol et basse cour A 130, le petit étang près de la maison A 131, le jardin A 132 , l’avenue de devant A 133, le verger A 134, le pavillon A 136, le pavillon A 137, la prairie de derrière A 139, le haut de la prée A 141, le bois des Saules A 145, lande des champs doléens. futaie A 117, futaie A 118, le pré devant A 119, vallée de devant A 120, le petit étang A 121, l’OseraiecadresEtude :inventaire topographique Communauté de communes de Dinanmurs :granite pierre de tailleillustration :Le manoir, façade antérieure, détail, vestiges de l'ancienne entrée de la salle Métairie, vue de la cour vers le manoir IVR53_20132215090NUCA Vestiges de l'ancienne porte de la salle, fleur de lys sculptée IVR53_20132215101NUCA Tour arrière, détail : blason de la famille Querhouent IVR53_20132215067NUCA Entrée de la métairie du 19e siècle, portail et ahah avec grille IVR53_20132215084NUCA Extrait du tableau d'assemblage du cadastre de 1811 IVR53_20132215055NUCA Extrait du cadastre de 1811 IVR53_20132215054NUCA Extrait du tableau d'assemblage de 1843 IVR53_20132215056NUCA Vue de situation, prise de l'entrée actuelle sud est IVR53_20132215060NUCA Le manoir, vue générale, façade antérieure IVR53_20132215062NUCAcontenu :l’ancienne métairie et sa basse cour, le jardin d’agrément dessiné à la française, clos de murs avec ses deux à la culture de l’osier (parcelle A 141 « le bois des saules », parcelle A 121 « l’Oseraie intérieure, il est difficile d’évoquer les origines de la construction du logis. Le plan en T renversé, la édifié dans le courant du 20e siècle et concurrence l’impact visuel et symbolique de la haute tour d’adduction des eaux, nécessaire au rouissage est représenté sur le plan de 1843 avec son pertuis ou écluse (A fonction : le maintien de signes architecturaux distinctifs En l’absence d’archives et de visite toujours la noblesse du lieu. Le colombier, intégré aux dépendances, est recouvert d’une toiture en L’environnement du manoir : l’apport du cadastre napoléonien Les cadastres de 1811 et de 1843 nous permettent de restituer l’environnement du manoir à cette période, ses multiples accès, l’emplacement de »). Traditionnellement l’osier est coupé en hiver et mis debout dans un bassin pour être écorcé au printemps. Le systèmehistorique :Le manoir de la Pyrie, mentionné dès le 15e siècle, appartient à Jean Dibart en 1480 qui comparait porteur d’une brigandine et armé d’une jusarme. Ses revenus des plus modestes sont de 10 livres. Le logis de Querhoënt. L’ancienne métairie qui entourait la cour, à l’ouest, a été détruite dans la deuxième moitié du 19e siècle pour faire place à une ferme moderne, close de murs, bâtie au nord du jardin aveclocalisation :Hinglé (Le) - Pyrie (la) - isoléairesEtudes :Projet de Parc naturel régional Rance-Côte d'Emeraude