Ce dossier correspond à une transcription numérique d’éléments d’enquêtes antérieures à 2000. Tout enrichissement est le bienvenu
- inventaire topographique
 
Dossier non géolocalisé
- 
      Aire d'étude et canton
      
        
  
          Pontivy - Pontivy
        
 - 
    Commune
    
      
  
        
          Pontivy
        
      
 - 
    Cadastre
    
      
  
        
          1975
          
          
          BC, BD, BE
        
      
 
- 
      Dénominationssecteur urbain
 - 
      AppellationsVille Nouvelle
 - 
    Parties constituantes non étudiéeséglise, pont, prison, logement, remise, canal, demeure, maison, caserne, monument
 
Par un décret du 17 septembre 1802, Napoléon fait de Pontivy, qui a manifesté son esprit républicain, la nouvelle capitale du centre de la Bretagne, à vocation stratégique et administrative : Napoléonville ; 6 projets successifs dont 5 dus à des ingénieurs des ponts, le 6e a un membre du conseil des bâtiments civils de Gisors, sont élaborés de 1802 à 1808 : projet Pichot (1802), projet Besnard (1804), projet Bovessel (1804), projet de Chabrol (1805), ingénieur des ponts et sous préfet de Pontivy, nouveau projet Pichot (1807), projet de Gisors (1808) ; les bâtiments militaires et administratifs sont réalisés les premiers, certains travaux ayant été retardés par les guerres impériales ; sont construits successivement : la caserne de cavalerie (1805), la mairie (1807), le tribunal (1ère campagne 1808, 2e campagne 1837, 1846), la prison (1821), en même temps, canalisation du Blavet (1824, 1832) enfin, construction de la sous-préfecture (1830) et du magasin à fourrages (1842) ; dans un second temps se construisent les bâtiments civils : si les traces des voies sont en place des 1814 (cadastre) la construction effective s' étale de 1846 à la fin du siècle (abords de la vieille ville, rues Carnot, de Rivoli, Nationale, place d' Armes puis demi lune) ; complètent ce programme : l' église Saint-Joseph, prévue des 1804 mais réalisée seulement de 1860 à 1876 grâce à une aide de Napoléon III ; le lycée Joseph Loth fonde en 1803 et reconstruit en 1885 ; la gare et l' école normale 4e quart 19e ; enfin, symboliquement élevé à la jonction de l' ancienne et de la nouvelle ville, la colonne des fédérés (1894) ; ensemble demeure complet à l' exception de la prison détruite en 1960 et remplacée par l' hôtel des postes.
- 
      Période(s)
- Principale : 19e siècle
 
 
- 
      Murs
- granite
 - calcaire
 - enduit
 - pierre de taille
 - moellon
 
 - 
      Toitsardoise
 - 
      Techniques
- sculpture
 - ferronnerie
 
 
- 
      Statut de la propriétépropriété privée
propriété de la commune
 - 
      Intérêt de l'œuvreà signaler
 
Revoir PART : édifice funéraire.