Le premier vivier de Piégu a été aménagé en et à la place de la "piscine" d'eau de mer réalisée par M° Cotard à la fin du 19e siècle. Ce premier vivier a été exploité par M° Hernandez, qui faisaient livrer des grands crustacés (langoutes, homards) dans cette retenue d'eau de mer. Ce furent plus tard, dans la 1ère moitié du 20e siècle, les mareyeurs Ouhlen et Vargas qui prirent la suite de cette concession sur le domaine public maritime, avant que celle-ci soit abandonnée.
- inventaire préliminaire, Pléneuf-Val-André
Dossier non géolocalisé
-
Aire d'étude et canton
Communes littorales des Côtes-d'Armor - Pléneuf-Val-André
-
Commune
Pléneuf-Val-André
-
Lieu-dit
Piégu
-
Cadastre
Domaine Public Maritime
-
Dénominationsvivier
-
Période(s)
- Principale : 4e quart 19e siècle
Le vivier est constitué d'un enrochement à la fois naturel et artificiel, qui s'appuie sur l'ancienne digue de Piégu sur une surface de 150 mètres carrés environ.
-
Murs
- pierre
-
État de conservationdétruit
-
Statut de la propriétépropriété de l'Etat
- (c) Conseil général des Côtes-d'Armor
- (c) Conseil général des Côtes-d'Armor
- (c) Conseil général des Côtes-d'Armor
- (c) Conseil général des Côtes-d'Armor
- (c) Conseil général des Côtes-d'Armor
- (c) Conseil général des Côtes-d'Armor
- (c) Conseil général des Côtes-d'Armor
- (c) Conseil général des Côtes-d'Armor
- (c) Conseil général des Côtes-d'Armor
- (c) Conseil général des Côtes-d'Armor
Bibliographie
-
GRIMAUD, Michel. Pléneuf-Val-André et Dahouët au temps du train Renard, des goëlettes et des processions. Saint-Brieuc : Imprimerie briochine, 1982.