Dossier d’œuvre architecture IA22002184 | Réalisé par
  • inventaire préliminaire, Pléneuf-Val-André
Digue dite Promenade de la Lingouare (Pléneuf-Val-André)
Œuvre recensée

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Communes littorales des Côtes-d'Armor - Pléneuf-Val-André
  • Commune Pléneuf-Val-André
  • Lieu-dit Lingouare (la)
  • Cadastre 2003 R non cadastré ; domaine public

C'est au pied de la falaise de "Château-Tanguy" que Charles Cotard va créer en 1898 l'une des voies les plus pittoresques de la station du Val-André, en ouvrant dans la falaise un chemin rejoignant la pointe de la Lingouare, chère aux promeneurs et aux pêcheurs à la ligne. Escaladant les hauteurs, une corniche taillée dans le roc permet d'atteindre le sommet de la falaise, d'où l'on découvre la baie de Saint-Brieuc, l'un des plus beaux panoramas de toute la côte d'Emeraude. La digue communément appelée "Promenade de la Lingouare" est un haut lieu de randonnée pédestre qui prolonge la digue-promenade du Val-André, depuis le 1er quart du 20e siècle. Cependant, l'érosion de la falaise liée aux constructions récentes et à l'érosion naturelle provoque des éboulements et remet en cause la circulation du public. Les petits ouvrages faisant office de pont n'offrent pas non plus une sécurité optimum sur ce parcours panoramique, face à l'îlot du Verdelet.

  • Période(s)
    • Principale : 1er quart 20e siècle

La promenade de la Lingouare forme un chemin étroit et sinueux qui longe la falaise de la Ville-Pichard sur 300 mètres, avec deux petits ponts au-dessus des rochers.

  • État de conservation
    restauré
  • Statut de la propriété
    propriété publique

Bibliographie

  • GRIMAUD, Michel. Pléneuf-Val-André et Dahouët au temps du train Renard, des goëlettes et des processions. Saint-Brieuc : Imprimerie briochine, 1982.

Annexes

  • Annexe n°1
Date(s) d'enquête : 2003; Date(s) de rédaction : 2003