Dossier d’œuvre architecture IA22009263 | Réalisé par ;
Dupont Flavie (Rédacteur)
Dupont Flavie

Etudiante à l'Université Rennes 2, master 2 Histoire, civilisations et patrimoine double parcours Histoire et Sciences-sociales et parcours Médiation du Patrimoine de l'Histoire et des Territoires.

Dans le cadre d'une étude sur les châteaux parlementaires costarmoricains pour la réalisation d'un mémoire de recherche historique sur les châteaux habités par des parlementaires bretons. En partenariat avec l'association VMF et la Région Bretagne.

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  • inventaire préliminaire, Matignon
  • enquête thématique régionale
  • enquête thématique régionale, Inventaire des demeures parlementaires en Bretagne
Manoir de la Chesnaye-Taniot (Matignon)
Œuvre recensée

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Communes littorales des Côtes-d'Armor - Matignon
  • Commune Matignon
  • Lieu-dit la Chesnaye
  • Cadastre 1825 B2 229, 230 ; 2004 ZR 32
  • Dénominations
    manoir
  • Appellations
    dit manoir de la Chesnaye-Taniot
  • Parties constituantes non étudiées
    dépendance

Le manoir de la Chesnaye-Taniot, une résidence parlementaire ?

Une dynastie parlementaire

Le manoir de la Chesnaye-Taniot constitue un témoignage architectural significatif de l'ascension sociale et du pouvoir des parlementaires bretons au 17e siècle. Sa construction et son histoire s'inscrivent pleinement dans la dynamique d'affirmation sociale de la noblesse de robe, dont l'influence croissante s'exprimait notamment à travers leurs résidences.

Louis de Tréméreuc, commanditaire de la construction du manoir, incarne parfaitement cette aristocratie parlementaire. Issu d'une famille noble d'ancienne extraction remontant au 12e siècle, maintenue comme telle lors de la réformation de la noblesse bretonne en 1668, il renforce sa position sociale et économique par son alliance matrimoniale avec Guyonne Goret en 1670. Cette union lui apporte la fortune nécessaire pour acquérir en 1673 un office de président aux requêtes au Parlement de Bretagne, qu'il échange ultérieurement pour une charge de conseiller qu'il exerce jusqu'à son décès en 1689. Sa trajectoire illustre les stratégies d'ascension sociale typiques de cette période, combinant patrimoine familial ancien, alliances matrimoniales avantageuses et acquisition de charges parlementaires prestigieuses.

La succession parlementaire se poursuit avec Toussaint de Cornulier, époux d'Anne-Louise de Tréméreuc, héritière principale du domaine. Sa carrière au Parlement de Bretagne est particulièrement brillante, progressant de la fonction de conseiller et commissaire (1682-1693) à celle de président à mortier (1688-1727), l'une des charges des plus éminentes de cette institution. Son fils, Charles-René de Cornulier, perpétue cette tradition parlementaire en occupant successivement les fonctions de conseiller et commissaire (1715-1728) puis de président à mortier (1727-1738). Cette continuité familiale au sein du Parlement de Bretagne sur trois générations témoigne de l'importance des stratégies dynastiques au sein du Parlement de Bretagne.

Les alliances matrimoniales tissées autour des propriétaires successifs du manoir dessinent un réseau d'influence parlementaire étendu. Outre la lignée principale des Tréméreuc-Cornulier, on observe des connexions avec d'autres familles parlementaires comme les La Noue, les Denyau et les Boylesve. La famille La Moussaye, qui prit possession du domaine ultérieurement, entretenait également des liens avec l'élite bretonne, notamment les Visdelou et les Lorgeril.

Une architecture qui correspond à la vie d'un parlementaire

L'architecture et l'aménagement du manoir reflètent précisément les ambitions et le statut social de ces parlementaires. L'estimation considérable de 44 500 livres mentionnée dans l'assiette du douaire de Françoise Pépin atteste de l'investissement financier important consenti pour cette demeure. Sa conception architecturale, inspirée des malouinières, témoigne à la fois du lien des propriétaires avec le milieu financier et de leur maîtrise des dernières tendances architecturales.

Le vaste salon d'apparat du premier étage constitue l'expression la plus manifeste de cette dimension parlementaire. Son traitement architectural soigné, avec ses lambris de chêne, ses panneaux classiques, ses voussures à haut relief et ses pilastres d'ordre ionique, créer un cadre approprié à la fonction de représentation sociale inhérente au statut de conseiller puis de président à mortier au Parlement. Cet espace permettait à Louis de Tréméreuc de recevoir dignement ses pairs et d'affirmer visuellement sa position dans la hiérarchie sociale.

Les archives révolutionnaires de saisie offrent un éclairage précieux sur l'étendue du domaine de la Chesnaye-Taniot à la fin du 18e siècle. Le manoir principal s'inscrivait au cœur d'un ensemble comprenant trois métairies (Prébien, Gargoulais et Ville-Marqué), constituant un patrimoine foncier considérable évalué à 36 366 livres. Cette assise territoriale confirme le statut social éminent des propriétaires et assure les revenus nécessaires au maintien de leur rang.

Le manoir de la Chesnaye-Taniot témoigne ainsi de la manière dont l'architecture domestique sert les stratégies d'affirmation sociale de la noblesse parlementaire bretonne. Sa conception associe les exigences de représentation liées à la fonction parlementaire et les influences architecturales régionales.

(Enquête thématique régionale, Inventaire des demeures parlementaires en Bretagne - les châteaux de parlementaires en Côtes-d'Armor, Flavie Dupont, 2025)

Les propriétaires du manoir de la Chesnaye-Taniot (15e au 18e siècle)

Les origines du manoir de la Chesnaye-Taniot et la famille de Trémereuc (15e-17e siècle)

Le manoir de la Chesnaye-Taniot a ses origines qui remontent au 15e siècle. Les archives attestent sa présence dans le patrimoine de la famille Tréméreuc dès cette époque, avec Henri de Tréméreuc comme premier propriétaire connu. En 1481, Jean Gouyon, époux d'Eonnet Collet, détient la Chesnaye-Taniot. La montre de Saint-Brieuc en 1480, mentionne Gilles de Tremerreuc de Chesnaye-Taniot. Il est archer et dispose d'un revenu de 40 livres.

L'édifice actuel est une reconstruction entreprise entre 1683 et 1689 sous l'impulsion de Louis de Tréméreuc, conseiller au Parlement de Bretagne. Ce projet architectural ambitieux est possible grâce à l'alliance matrimoniale contractée en 1670 avec Guyonne Goret, héritière d'une fortune substantielle qui permet à Louis de Tréméreuc d'acquérir en 1673 un office de président aux requêtes au Parlement de Bretagne pour 90 000 livres, fonction qu'il échange ultérieurement contre celle de conseiller.

L'éminente famille des Cornulier à la Chesnaye-Taniot (17e-18e siècle)

La transmission patrimoniale s'effectue par voie féminine après le décès de Louis de Tréméreuc en 1689. Sa fille Anne-Louise devient l'héritière principale et apporte le domaine en dot à son époux Toussaint de Cornulier, également membre du Parlement de Bretagne, d'abord comme conseiller puis comme président à mortier. Cependant, en 1714, un événement tragique survient, la chute mortelle d'un enfant depuis une fenêtre du premier étage. Cet accident provoque l'abandon du domaine par les Cornulier, qui font effacer les armoiries des Tréméreuc de la façade.

La famille de La Moussaye face aux troubles révolutionnaires (18e siècle)

Le manoir connait ensuite une nouvelle période sous l'égide de la famille de la Moussaye qui acquiert le manoir en 1719 par le colonel-commandant retraité François de la Moussaye, dit l'Indien (1679-x). Cependant, la Révolution intervient en 1789 et le bien est saisi comme propriété nationale sur son petit-fils, François-Auguste-Felix de la Moussaye (1757-1837) vers 1792. Les archives de saisie révolutionnaire documentent précisément la vente du domaine à la citoyenne Chapdelaine le 5 thermidor an 4 (22 juillet1796), qui agit pour le compte de "Cécile-Eulalie, anonyme et poupon de la Moussaye". Cette dernière est très probablement la fille cadette de François-Augustin et Anne Louise de Lesquen, qu'il a épousé en 1785. La famille de la Moussaye parvient à récupérer le domaine puisque le dernier châtelain est Edouard de la Moussaye, époux de Marguerite de Leusse, fils de Paul-François-Auguste La Moussaye et petit-fils de Victoire-François, ce dernier qui est le fils de François de la Moussaye, parlementaire. Edouard La Moussaye né en 1875 et meurt en 1968. La reconnaissance patrimoniale du manoir s'est concrétisée par son inscription à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques le 11 juin 1964, protégeant notamment les façades, les toitures, l'escalier central et la grande salle du premier étage avec ses boiseries.

Constat du domaine lors de la Révolution 

L’état du domaine de la Chesnaye Taniot, situé à Matignon, tel qu’établi au 5 thermidor an IV (22 juillet 1796), témoigne d’une structuration foncière et immobilière représentative des domaines agricoles bretons de l’époque. L’ensemble de la propriété est divisé pour l'inventaire en quatre lots principaux, répartis sur une superficie totale de 83,375 journaux, soit environ 27,41 hectares.

Le premier lot comprend le manoir de la Chesnaye, ses bâtiments principaux et annexes (dont une maison, des écuries, des remises, une avenue plantée de jeunes chênes et des vieilles étables ruinées), sur 7 journaux (2,3 ha), ainsi qu’une grande prairie et une terre nommée Bidan sur 8 journaux (2,63 ha). Toutefois, la vente ne porte que sur la nue-propriété du manoir et de ses dépendances, représentant un capital estimé à 6 138 livres, soit la moitié de l’estimation pleine propriété.

Le deuxième lot, la métairie de Prébien, s’étend sur 23,5 journaux (7,72 ha) et comprend un corps de logement couvert de blé, un verger, des terres agricoles réparties entre différentes localités (Prestiaux, Courtil, Ville Rebeu, Clos Bois, Sainte-Catherine). Bien que les revenus détaillés ne soient pas intégralement précisés, le capital global est estimé à 7 304 livres, sur la base d’un revenu annuel de 332 livres.

Le troisième lot, la métairie de la Gargoulais, couvre 19 journaux (6,25 ha) et comporte plusieurs corps de bâtiment, étables, grange, cour, jardin, ainsi qu’un ensemble de terres labourables situées dans diverses campagnes. Son revenu annuel atteint 550 livres, pour un capital évalué à 12 100 livres.

Enfin, la métairie de la Ville-Marqué, plus morcelée, réunit une diversité de parcelles agricoles et boisées, vergers, prairies et terres de cultures réparties dans les campagnes environnantes, sur une superficie de 25,875 journaux, soit 8,51 hectares. Malgré un revenu annuel relativement modeste de 300 livres, le capital estimé s’élève à 6 600 livres.

L’ensemble du domaine, dans sa configuration complète, produit ainsi un revenu annuel de 1 653 livres, ce qui correspond à une estimation en capital de 36 366 livres, sur la base d’un coefficient multiplicateur de 22. Cette documentation fournit un aperçu précis de la valeur foncière et agricole du domaine à la veille du 19e siècle, illustrant la complexité et la richesse des exploitations rurales postrévolutionnaires en Bretagne.

(Enquête thématique régionale, Inventaire des demeures parlementaires en Bretagne - les châteaux de parlementaires en Côtes-d'Armor, Flavie Dupont, 2025)

Le manoir de la Chesnaye-Taniot occupe une position isolée au nord-nord-ouest du bourg de Matignon, dont il est distant de 700 mètres. Desservi par une allée frontale accentuant le caractère monumental de l'édifice, il comprend un grand corps de logis de style classique et des dépendances édifiés en moellons de granite et schiste. Le corps de logis, de type malouinière, comprend un corps de bâtiment principal divisé par deux murs de refend montant de fond en comble et portant souche de cheminée. La façade antérieure, qui est ornée d'une corniche, est rythmée par cinq travées de baies régulières affirmées chacune par une lucarne à fronton-pignon cintré. La porte d'entrée est en plein-cintre et les linteaux des baies sont cintrés. Il est couvert d'un toit à croupes à égout retroussé. Chaque mur de croupe porte une souche de cheminée élancée talutée à la base. Deux corps de bâtiment coiffés d'un toit à croupe sont greffés sur la façade postérieure. Le corps de bâtiment de droite, dont l'élévation principale est rythmée par trois travées de baies jumelées et dont l'axe du toit est placé au droit de la souche de cheminée placée au faîte du toit principal, présente un conduit de cheminée demi-hors-oeuvre montant de fond. Le corps de bâtiment de gauche abrite un escalier monumental tournant à retours avec jours en maçonnerie, à balustres de section carrée.

(Enquête thématique départementale, Pichouron Patrick, 2006)

Le manoir de la Chesnaye-Taniot représente un exemple remarquable d'architecture classique bretonne du 18e siècle, influencée par la typologie des malouinières. L'approche de l'édifice se fait par une allée frontale majestueuse bordée de châtaigniers et de hêtres, créant ainsi une perspective monumentale qui magnifie l'impression produite par le bâtiment.

Les extérieurs du manoir

L'architecture extérieure se caractérise par un équilibre harmonieux entre robustesse et élégance. Le corps de logis principal présente une structure massive en moellons de granite et schiste, dont la teinte dorée confère à l'ensemble une chaleur particulière. La façade antérieure révèle une composition parfaitement ordonnancée selon cinq travées régulières réparties sur trois niveaux hiérarchisés: rez-de-chaussée, étage carré et en surcroît. Une corniche souligne horizontalement cette composition, tandis que chaque travée est couronnée par une lucarne à fronton-pignon cintré qui orne la toiture. Elles portaient autrefois les armoiries des Tréméreuc, marque d'appartenance aristocratique aujourd'hui disparue. La travée noble s'affirme comme axe de symétrie. La porte d'entrée en plein-cintre s'y insère dans une embrasure en arcade réalisée en pierre de taille de granite légèrement saillante. Les fenêtres, quant à elles, présentent un traitement sophistiqué avec des linteaux courbes à clef de voûte en double ressaut. La couverture se compose d'un toit à croupes à égout retroussé, habillé d'ardoises locales. Chaque mur de croupe est surmonté d'une souche de cheminée élancée avec base talutée, éléments qui dynamisent la silhouette du manoir. La façade postérieure présente une composition plus complexe avec deux corps de bâtiment secondaires coiffés de toits à croupes. Le corps de droite se distingue par son élévation rythmée de trois travées de baies jumelées, avec l'axe de son toit aligné sur la souche de cheminée du toit principal. Il intègre un conduit de cheminée demi-hors-œuvre débutant au niveau du sol. Le corps de gauche, quant à lui, abrite l'un des éléments architecturaux majeurs du manoir: l'escalier monumental.

L'intérieur du manoir

L'aménagement intérieur illustre la hiérarchisation sociale des espaces, caractéristique des demeures nobles.

Le rez-de-chaussée est dédié aux espaces de représentation, notamment le vaste salon d'apparat qui reflète le statut parlementaire de son propriétaire initial. Cette pièce maîtresse est sublimée par des lambris en chêne, ornés de panneaux classiques et de voussures à haut relief, alternant avec des pilastres droits décorés de chapiteaux d'ordre ionique. Ces éléments sont protégés au titre des monuments historiques.

Toujours au rez-de-chaussée, les espaces plus intimes, tels que le salon, la salle à manger et diverses pièces résidentielles, sont aménagés pour le quotidien. Ils sont confortables et luxueux. En effet, les pièces sont ornées de boiseries claires et revêtues d'un parquets fait de bois exotique. Ces matériaux atypiques témoignent des rénovations opérées au 18e siècle, par la famille de La Moussaye, dont les liens avec le commerce colonial sont suggérés en la personne de François de La Moussaye dit l'Indien (1669-x), colonnel-commandant de Saint-Domingue, qui achète à la fin de sa carrière le manoir de La Chesnaye-Taniot.

Au premier étage, un couloir dessert les chambres, tandis que l'étage supérieur est destiné aux espaces de stockage et aux logements des domestiques.

L'escalier constitue un élément architectural remarquable, également protégé au titre des monuments historiques. Situé dans un pavillon au revers du logis principal, il s'inscrit dans la tradition des escaliers "à la française". Sa construction en pierre se caractérise par une conception aérée, des balustres profilés soutenus par des pilastres ouvragés, et une haute galerie à l'étage originellement destinée aux musiciens. Le plafond caréné peint à l'italienne couronne cet ensemble prestigieux, associant fonctionnalité et théâtralité propres à l'architecture nobiliaire de cette période.

(Enquête thématique régionale, Inventaire des demeures parlementaires en Bretagne - les châteaux de parlementaires en Côtes-d'Armor, Flavie Dupont, 2025)

  • Murs
    • granite
    • schiste
    • moellon sans chaîne en pierre de taille
    • pierre de taille
  • Toits
    ardoise
  • Étages
    rez-de-chaussée, 1 étage carré, étage de comble
  • Couvertures
    • toit à longs pans
    • toit en pavillon
    • croupe
    • noue
  • Escaliers
    • escalier hors-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie
  • Typologies
    style classique. Type malouinière
  • État de conservation
    restauré
  • Statut de la propriété
    propriété privée
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Protections
    inscrit MH, 1964/06/11
  • Précisions sur la protection

    Inscription par arrêté du 11 juin 1964 : façades et toitures, escalier central, grande salle du premier étage avec ses boiseries (cad. B 230).

  • Référence MH

Oeuvre protégée.

Documents d'archives

  • AD Côtes-d'Armor, 1 Q 2-28. Biens nationaux de seconde origine. 3 fructidor an IV.

    Archives départementales des Côtes-d'Armor : 1 Q 2-38
    AD Côtes-d'Armor, 1 Q 2-38. Biens nationaux de seconde origine.

Bibliographie

  • FLOHIC EDITIONS. Le patrimoine des communes des Côtes-d'Armor. Charenton-le-Pont : Flohic éditions, 1998, 2.

    p. 681
  • LA MOTTE ROUGE, Daniel (de). Châtellenie de Lamballe. Vieilles demeures et vieilles gens. Hénansal : Daniel de la Motte-Rouge, 1977.

    p. 247-255
  • LA MOTTE ROUGE, Daniel (de). Vieux logis, vieux écrits du duché de Penthièvre. Le Mans : Imprimerie M.G.T., 1986.

    p. 101-103
  • SAULNIER, Frédéric. Le Parlement de Bretagne, 1554-1790. Imprimerie de la Manutention. 1991. 2 vol.

    ISBN : 2-8554-047-X

    Région Bretagne (Service de l'Inventaire du patrimoine culturel) : 35 REN hist

Documents figurés

  • AD Côtes-d'Armor : fonds Frotier de La Messelière, 60 J 226 : planches de dessins de monuments et de sculptures, recueil in-plano (Penthièvre : 138 planches).

    Archives départementales des Côtes-d'Armor : 60 J 226
  • AD Côtes-d'Armor : 4 num 1/5, plans cadastraux parcellaires de 1825.

    Archives départementales des Côtes-d'Armor : 4 num 1/5
    Numplan 6, section B, 2ème feuille
  • AD Côtes-d'Armor : 16 Fi 2447, carte postale par le photographe-éditeur Armand Waron, vue générale prise depuis le sud, 1er quart du 20ème siècle.

    Archives départementales des Côtes-d'Armor
  • AD Côtes-d'Armor : 16 Fi 2448, carte postale par le photographe-éditeur J. Rouxel, vue générale prise depuis le nord-ouest, 1er quart du 20ème siècle.

    Archives départementales des Côtes-d'Armor

Annexes

  • Annexe n°1
Date(s) d'enquête : 2006; Date(s) de rédaction : 2006, 2025
(c) Inventaire général
(c) Conseil général des Côtes-d'Armor
(c) Vieilles Maisons Françaises (VMF)
(c) Région Bretagne
(c) Université de Rennes 2
Dupont Flavie
Dupont Flavie

Etudiante à l'Université Rennes 2, master 2 Histoire, civilisations et patrimoine double parcours Histoire et Sciences-sociales et parcours Médiation du Patrimoine de l'Histoire et des Territoires.

Dans le cadre d'une étude sur les châteaux parlementaires costarmoricains pour la réalisation d'un mémoire de recherche historique sur les châteaux habités par des parlementaires bretons. En partenariat avec l'association VMF et la Région Bretagne.

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