Dossier d’œuvre architecture IA22132764 | Réalisé par
Dupont Flavie (Contributeur)
Dupont Flavie

Etudiante à l'Université Rennes 2, master 2 Histoire, civilisations et patrimoine double parcours Histoire et Sciences-sociales et parcours Médiation du Patrimoine de l'Histoire et des Territoires.

Dans le cadre d'une étude sur les châteaux parlementaires costarmoricains pour la réalisation d'un mémoire de recherche historique sur les châteaux habités par des parlementaires bretons. En partenariat avec l'association VMF et la Région Bretagne.

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  • liste immeubles protégés MH
  • enquête thématique régionale, Inventaire des demeures parlementaires en Bretagne
Château de Bogard (Quessoy)
Œuvre étudiée
Auteur
  • Dupont Flavie
    Dupont Flavie

    Etudiante à l'Université Rennes 2, master 2 Histoire, civilisations et patrimoine double parcours Histoire et Sciences-sociales et parcours Médiation du Patrimoine de l'Histoire et des Territoires.

    Dans le cadre d'une étude sur les châteaux parlementaires costarmoricains pour la réalisation d'un mémoire de recherche historique sur les châteaux habités par des parlementaires bretons. En partenariat avec l'association VMF et la Région Bretagne.

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Copyright

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Bretagne - Moncontour
  • Commune Quessoy
  • Lieu-dit Bogard
  • Précisions
  • Dénominations
    château
  • Destinations
    château

Le château de Bogard renferme une riche histoire, mise en lumière dans plusieurs ouvrages, tels que le mémoire de Fabienne Jouan sur l’étude économique et culturelle d’une famille de la noblesse bretonne : les La Nouë-Bogard aux 17e et 18e siècles, ainsi que dans la thèse d’Isabelle Letiembre, qui s'intéresse aux maîtres d'œuvre et aux commanditaires de la demeure privée en Bretagne au 18e siècle. Un autre ouvrage très utile est celui rédigé par Baudouin Capelle, propriétaire du château au moment de l’étude, qui n’est pas édité, mais qui traite de l’histoire du Château de Bogard et de ses jardins, de ses origines à l’époque contemporaine.

Le château idéal du 18e siècle ?

Ce château classique et solennel offre un confort caractéristique du 18e siècle, avec dans chaque pièce une cheminée (souvent en marbre), des boiseries dans un style élaboré et des plafonds en stuc moulurés, soit dans un style Louis XV, soit Louis XVI. Il présente également des décorations riches en symboliques, liées à l’histoire de ses propriétaires, comme une marqueterie remarquable située dans la grande salle de réception, portant des motifs en lien avec la franc-maçonnerie.

Le château de Bogard incarne le confort du 18e siècle, avec des pièces spécialisées et des espaces plus intimistes, ainsi qu’une lumière traversante permise par des baies ordonnancées. Il reflète également un mode de vie et une pensée, transcrits par les ornementations, notamment dans les salons de réception, comme les trumeaux à glace, qui d’un côté rendent hommage à la nature en lien avec le développement des pensées physiocrates, et de l’autre, exaltent la musique, incarnant un loisir nobiliaire. Les commanditaires de ce château classique sont francs-maçons, ce qui se manifeste dans la distribution des espaces, créant un véritable parcours initiatique. L’entrée mène à un escalier permettant d’accéder à la loge maçonnique (transformée au 19e siècle en bibliothèque), puis de circuler dans toute la demeure.

Cependant, Bogard demeure un château breton. Il est construit avec des matériaux de gros œuvre locaux, de taille raisonnable en raison sûrement d'un manque de moyens financier.

L'origine du château de Bogard remonte au 13e siècle. En 1460, Amaury de Bogar mentionne un « manoir avec jardin ». Le 3 janvier 1550, le manoir est vendu à Jean de Bogar, qui fait édifier le pavillon Renaissance, encore visible aujourd'hui. En 1621, Rollande de Bogar, sœur de Jean, hérite du manoir et épouse Mathurin Le Métayer en 1622. Leur fille, Anne, épouse Henri de la Noüe de Crénolles, marquant le début de la possession du château par la famille de la Noüe, qui le conserve pendant six générations.

La famille de la Noüe, dont plusieurs générations sont parlementaires, joue un rôle clé dans l’histoire du château. En tant que conseillers non-originaires, certains membres de la famille marquent de leur empreinte le domaine, influencés par les courants architecturaux de leur époque. Lorsqu’Henri II institut le Parlement de Bretagne en 1553, il créer deux types de charges : les charges « originaires » et les charges « non-originaires ». Concrètement, c’est une différenciation selon l’origine du magistrat : bretonne ou française. Cette différenciation est très importante au 16e siècle mais n’est plus qu’une distinction nominale au 18e siècle. En 1656, Guillaume de la Noüe fait édifier un pavillon en granite doré au nord-ouest du château, destiné à servir de remise et de cellier. La date est portée sur la pierre en linteau surmontant la porte centrale du côté Sud. Il construit également des écuries au sud, ornées de pilastres en pierre de taille et de demi-fenêtres aux linteaux curvilignes.

Dès 1781, Guillaume-François de la Noüe et son épouse Félicité Meslé de Grandclos entreprennent d’importants travaux de modernisation du domaine, inspirés par les modes de Versailles, les symboles franc-maçonniques, ainsi que par l’art malouin, lié à la famille maternelle, influente dans le commerce maritime en tant qu’armateur. Ils édifient alors un nouveau château classique, probablement sur la base du manoir primitif. Ils conservent également le pavillon Renaissance et sa tour, mais aussi la grande salle et ils agrandissent la galerie. Pour mener à bien ces travaux, Guillaume-François de la Noüe et sa femme font appel à l’architecte Antoine Guibert et le paysagiste « Sieur Guignette ». Toutefois, la Révolution française suspend ces projets, et la famille doit émigrer à Jersey en 1792. Le château est saisi comme bien national et vendu le 4 septembre 1796 pour 31 000 livres à Olivier Gibet, avant de revenir à Thérèse de la Noüe, tante de Guillaume-François, le 15 mars 1797.

Maurice de la Noüe-Bogard, fils de Guillaume-François et Félicité Meslé de Grandclos, décède en 1804 sans héritiers directs. Le château est alors hérité par sa sœur, Pauline de la Noüe, qui meurt peu après la naissance de son fils, Ernest du Plessis-Mauron de Grenédan. Le domaine passe ainsi à la famille du Plessis de Grénédan, qui le conserve jusqu'en 1962. Pendant cette période, des travaux sont réalisés, incluant l’aménagement de l’étage de la tour du pavillon Renaissance et la construction de nouveaux bâtiments annexes. Une serre et une nouvelle avenue sont également aménagées. En 1962, le château est vendu à la famille Capelle, qui entreprend d'importants travaux de restauration et aménage un étang devant le château, encadré par une double avenue.

  • Période(s)
    • Principale : 1er quart 16e siècle, 3e quart 17e siècle, 4e quart 18e siècle
    • Secondaire : 1ère moitié 19e siècle
  • Dates
    • 1656, daté par source
    • 1785, daté par source
    • 1812, daté par source
  • Auteur(s)
    • Personnalité :
      La Noüe Guillaume-François
      La Noüe Guillaume-François

      Guillaume-François La Noüe, comte de Bogard et seigneur de Coetcouvran, La Ville Norme, La Mare, La Ville-Morel et d'autres terres, est un noble de robe. Il occupe la fonction de conseiller non-originaire au Parlement de Bretagne de 1780 à 1790.

      Né le 11 mars 1747 au château de Coetcouvran à Yvignac, il est fils de Joseph Sylvain Toussaint Marie de la Noüe, conseiller non-originaire, et issu d'une famille exerçant cette charge depuis 1641. Avant sa carrière judiciaire, il fut lieutenant des maréchaux de France en 1776 et chevalier du Saint-Sépulcre. Il reçut une formation de Page à la Grande Ecurie du roi Louis XV durant sa jeunesse lui permettant de séjourner à Versailles pendant plusieurs années.

      Il épouse Félicité Marie Meslé de Grandclos, fille d'un armateur malouin, le 17 octobre 1776 à Saint-Malo. Ensemble, ils réalisent d'importants travaux à Bogard (Quessoy) à partir de 1785.

      Emigrant à Jersey lors de la Révolution, il y décède le 16 janvier 1795.

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      commanditaire attribution par source

Le château de Bogard se trouve sur la commune de Quessoy, à environ 3 kilomètres à l'est du bourg, et s'étend sur la commune voisine d'Hénon. Il est situé dans une plaine, bordée des ruisseaux de Bogard et de Moulin Roussé. Le château a été agrandi successivement au 15e siècle par Jean de Bogard puis vers 1781 par Guillaume La Noüe, influencé par les idées franc-maçonniques. Le domaine de 40 hectares comprend un château, un parc paysagé de 4 hectares, des avenues dont une double avenue encadrant un étang et des dépendances. La cour d'honneur, exposée à l’ouest, mesure 1,5 hectare à elle seule.

Le château se compose de deux parties : un pavillon du 16e siècle avec une tour carrée et un château de 1785. Ce dernier a une façade principale orientée à l’ouest, ornée pour son avant corps-central de pilastres en granite, d’une baie avec balcon et d’un fronton triangulaire avec armoiries, aujourd'hui disparues.

Le pavillon Renaissance

Le pavillon Renaissance du 16e siècle comprend deux pièces, dont une cuisine et une salle à manger, avec un four et une cheminée en granite ornée de symboles renvoyant à Anne de Bretagne (une cordelière et deux roses). Il a une longue galerie de 11 mètres sur 3 mètres, éclairée de 3 baies remaniées en 1785 pour une uniformité avec le reste du bâtiment. Cependant, les baies conservent leur encadrement d’origine où l’on remarque des encoches qui permettait de « barrer » les ouvertures. Ce dispositif peut renvoyer à une période de trouble, et est fréquent au 16e siècle. La tour carrée flanquée à ce pavillon est desservie par un escalier en vis en maçonnerie de granite puis en charpente, il dessert trois étages. Au troisième étage, un comble sous charpente. Le pavillon 16e siècle est caractérisé par des grilles défensives extérieures, typiques de l’époque des Guerre de Ligue. La tour comporte également une arbalétrière protégeant l'entrée et le domaine était sûrement clos. Il n’y a pas de restes concrets d’une réelle fortification en dehors d'un saut de loup, du dénivelé permis par les terrasses médiévales qui engendrent de véritables fossés parfois gorgés d’eau et d’un mur situé au nord-est du domaine qui dispose d’une porte cochère, qui peut nous laisser penser à une clôture primitive du site. Ce mur part du pavillon 19e siècle, situé au nord-ouest, jusqu’aux terrasses médiévales, situées à l’extrémité du domaine nord-est. Il a été à plusieurs reprises sûrement remanié et conserve des os de moutons insérés dans la maçonnerie qui permettaient la conduite de fruitiers en espalier. Le pavillon Renaissance est caractérisé par ses toitures en pavillon et pour la tour, une couverture galbée de plan massé de type impérial.

Le château classique

Le château classique est construit sur un plan régulier ; ses murs sont un appareil assisé constitué de grès et recouvert d’un enduit à bossage carré, qui serait selon le propriétaire du château un enduit en sable de Loire. Le château est couvert d’une toiture à mansardes en ardoise. Il est composé de 7 travées et se répartie sur 3 niveaux comprenant un rez-de-chaussée surélevé sur soubassement en granite en pierre de taille, un étage carré et un étage en surcroit. Le logis est orné d’un décor sobre et solennel avec des chaînes d’angles en granite, une corniche à modillons, des épis de faîtages en tulipe entourée d’une couronne de comte (titre affilié au commanditaire) puis un fronton triangulaire sur l’avant corps-central, qui portait les armes des La Noüe, qui sont d’azur à la croix d’argent, cantonnée de quatre gerbes de blé d'or (selon le Nobiliaire et armorial de Bretagne de Pol Potier de Courcy). Les murs du château sont montés à fruit, « d’un pouce tous les 12 pieds » et l’épaisseur des murs est équivalente à plus d’1 mètre à la base du pavillon 16e siècle.

L'intérieur du château classique

L’intérieur du château présente des pièces richement décorées, comme deux grandes salles à réception avec des lambris, des parquets Versailles et des cheminées en marbre de style Louis XVI. Les plafonds sont tous plâtrés et ornés de moulures en stucs végétales ou géométriques. La seconde salle est la plus grande et imposante (8,2 mètres par 7,7 avec une hauteur de 4,10 mètres sous plafond). Elle est éclairée de 6 fenêtres permettant une triple ouverture vers le domaine. Elle est lambrissée dans le style Louis XVI, les boiseries sont peintes en « blanc des Carmes » et disposent d’angles arrondis. Un élément marquant de cette pièce est le décor en marqueterie au sol, d'un diamètre de 1,8 mètre, réalisé avec neuf essences de bois, dont de l’Amarello, de l’ébène de Mozambique, du sycomore et du noyer. Il représente des symboles maçonniques comme la chaîne de vie reliant les hommes ou la couronne de feuilles d’acacia. Un escalier dit à l’anglaise, localisé au centre du château, à tournant à retour sans jour, en charpente avec balustres en métal et une main courante en acajou distribue les étages. Le premier comprend une bibliothèque, cinq chambres toutes lambrissés, avec cheminées en marbre et parquetées en lames de chêne blond. Cet étage possède aussi un petit salon avec une cheminée en bois de style Louis XV. Le second étage est aménagé en deux appartements. Les combles sont conservés en grenier.

Le domaine de Bogard

Au 18e siècle, le château comprenait un colombier « à vis », une chapelle, une grange, deux refuges à cochon, aujourd’hui disparus. Le colombier est signalé « en ruine » en 1796. La chapelle mesurait, en 1796, 1,62 mètres de large par 5.8 de longueur. Les dépendances construites par Guillaume de la Noüe en 1656, mesurent selon l’inventaire du 6 juillet 1796, dressé lors de la vente du château comme bien national : « 30 pieds de long et de largeur et 23 pieds de hauteur » soit environ 9,72 m par 7,5 m de hauteur. La propriété est estimée à 31 374 livres selon l’Inventaire réalisé dans le cadre des saisies révolutionnaires pour Bien national. Cette propriété inclue le château, les terres agricoles, le verger, le bois, les jardins et parterres, les trois avenues et les prairies, ce qui totalisent une surface d’environ 14,24 journaux soit environ 4,5 hectares.

  • Murs
    • grès moellon enduit (incertitude)
    • granulite pierre de taille
  • Toits
    ardoise
  • Plans
    plan rectangulaire régulier
  • Étages
    rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré, étage en surcroît
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit à longs pans
    • toit en pavillon
    • toit à l'impériale
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours sans jour en charpente
    • escalier dans-oeuvre : escalier en vis sans jour en maçonnerie, en charpente
  • État de conservation
    restauré, bon état
  • Techniques
    • décor stuqué
  • Représentations
    • ornement végétal, ornement géométrique, fronton, acanthe, laurier, fleur de lys, armoiries, lyre, soleil symbole maçonnique,
  • Précision représentations

    La partie du château du 18e siècle présente de nombreuses ornementations. À l'extérieur, un fronton triangulaire arbore les armes des commanditaires, Guillaume-François de la Noüe et Félicité Meslé de Grandclos (aujourd'hui disparues lié à la Révolution), dont les armes des La Noüe : d'azur à la croix d'argent, cantonnée de quatre gerbes de blé d'or.

    À l'intérieur, les deux principales salles du rez-de-chaussée sont décorées de boiseries et de plafonds en plâtre moulurés aux stucs. Les cheminées Louis XV et Louis XVI sont en marbre. Ainsi, le château est orné de motifs floraux récurrents (acanthes, lauriers, ...) et de références maçonniques (lyre, chaîne de vie, feuilles d'acacia).

  • Mesures
    • : 37,3 m (longueur)
    • : 7,5 m (largeur)
  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Protections
    inscrit MH, 1990/03/02
  • Précisions sur la protection

    Façades et toitures du logis et des communs 17s et 18s ; grand et petit  salons (cad. D 733, 735) : inscription par arrêté du 2 mars 1990.

  • Référence MH

Marqueterie dans le grand salon.

Documents d'archives

  • AD Côtes-d'Armor. Sous-série 83J. Fonds privé de Bogard.
  • AD Côtes-d'Armor, Sous-série 2 E 424. Fonds "La Noüe".
  • AD Côtes-d'Armor. Sous série 1 Q 350. Fonds émigré de La Noüe.
  • AD Côtes-d'Armor. Sous série 1 Q 351. Fonds émigré de La Noüe (suite).
  • AD Côtes-d'Armor ; Sous-série 1 Q : 2-28. Fonds Biens Nationaux de Seconde Origine "Quessoy".

Bibliographie

  • ISBN : 2-8554-047-X

    Région Bretagne (Service de l'Inventaire du patrimoine culturel)
    SAULNIER, Frédéric. Le Parlement de Bretagne, 1554 à 1790. Imprimerie de la Manutention. 1991. 2 vol. 2-8554-047-X.
  • ISNN : 00496319

    Région Bretagne (Service de l'Inventaire du patrimoine culturel) : 22 G
    GRANDMAISON, Georges, JOSSELIN, Charles, LE SCOUEZEC, Gwenc'hlan, Côtes-d'Armor, juillet 1991, n°13850. Vieilles Maisons Françaises, 1991. ISSN 00496319
  • CAPELLE, Baudouin, Le Château de Bogard et ses jardins, à Quessoy.
  • JOUAN, Fabienne. Etude économique et culturelle d'une famille de la noblesse bretonne : les La Nouë-Bogard aux XVIIe et XVIIIe siècles. Rennes : Université Rennes 2. 1996. Mémoire : Histoire : Rennes 2 : 1996.
  • LETIEMBRE, Isabelle. Maîtres d'oeuvre et commanditaires de la demeure privée en Bretagne au XVIIIe siècle : les constructions du bassin rennais et de l'arrière-pays malouin. Rennes : Université Rennes 2, 2000. 4 vol. Th. doct. : Histoire de l'art : Rennes 2 : 2000.
  • VILSALMON, Maxime. La noblesse bretonne dans l'arrondissement de Saint-Brieuc : entre "douceur de vivre" et émigration (1788-1825). Rennes : Université de Rennes 2, 2007. 2 vol. Mem. mast. : Histoire : Rennes 2 : 2007.
Date(s) d'enquête : 1992; Date(s) de rédaction : 1992, 2025
(c) Monuments historiques
(c) Université de Rennes 2
(c) Région Bretagne
(c) Vieilles Maisons Françaises (VMF)
Dupont Flavie
Dupont Flavie

Etudiante à l'Université Rennes 2, master 2 Histoire, civilisations et patrimoine double parcours Histoire et Sciences-sociales et parcours Médiation du Patrimoine de l'Histoire et des Territoires.

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