Les chapelles
L'abbé Guillotin de Corson fournit une liste des dix chapelles que compta la commune : Saint-Méen (située au bord de l'Oust, elle passe pour le dernier vestige de l'ancien monastère de Busal ; l'édifice était en ruines à l'époque de Guillotin de Corson, il a été complètement reconstruit à partir de 1945), Saint-Marcellin (chapelle tréviale jusqu'à la Révolution ; elle possédait sa fabrique, son administration, ses fonts baptismaux et son cimetière), Saint-Laurent (l'édifice n'était plus desservi à l'époque de Guillotin de Corson ; il a été complètement restauré au 20e siècle), la Roche du Theil (une chapelle avait été fondée par les seigneurs du manoir de la Roche du Theil ; elle était détruite à l'époque de Guillotin mais les pères Eudistes qui acquièrent la propriété en 1842 en construisirent trois : Sainte-Anne, L'Immaculée Conception, Saint-Joseph), chapelle du village du Guilien (aujourd'hui appelé le village du Quillien ; la chapelle était déjà disparue à l'époque de Guillotin de Corson), Saint-Michel des Giraudayes (abandonnée à l'époque de Guillotin de Corson, elle présente les armes de la famille du Fresche ; une seconde chapelle a été construite sur la propriété), chapelle de la Ferrière (détruite), chapelle de la Rouaudaye (aujourd'hui dit la Rouardais, la chapelle de l'ancien manoir n'existait déjà plus à l'époque de Guillotin de Corson).
Les croix
Une trentaine de croix monumentales ont été recensées. Principalement en pierre, la majorité d'entre elles datent du 20e siècle. Six datent du 19e siècle dont la croix du Haut Quilien datée de 1808 et la croix palis de schiste de Cancave datée de 1854. Cinq sont antérieues au 19e siècle : la croix datée de 1740 de Saint-Méen, l'ancienne croix de cimetière de Saint-Marcellin, la croix palis de schiste de la Bigoterie, la croix des Chambots et la croix de la Croix Mahé.
Photographe à l'Inventaire