Marteville et Varin, continuateurs de Jean-Baptiste Ogée, fournissent une liste des principaux villages de la commune au milieu du 19e siècle : le Bléheu, Bois-Dehors [aujourd'hui Boué d'Hors], la Bonnais, la Borgnais, la Bouguenais, la Boulais, la Canais, Chêne-Guihard [qui était le nom d'un ancienne ferme ; le village actuel est nommé le Verger], Colomel, la Coudrais, la Couplais, Craon, la Derais, Fouye [aujourd'hui Foy], le Gravier, Guée, Haut et Bas-Bel, Haut-Prain, l'Aumônerie, Penleur [aujourd'hui Penlheur], la Piclais, Roche-du-Tay [qui n'est pas un villages], la Ruée, Saint-Jean-des-Pileurs [aujourd'hui Saint-Jean d'Epileur], Saint-Marcellin, Saint-Méen, Tabussais, les Touches, Tournebride, Trécouët [qui n'est pas un village].
Depuis la création de la commune de Sainte-Marie en 1872, les villages suivants ne sont plus sur le territoire de Bains-sur-Oust : Borgnais (la), Boulais (la), Couplais (la), Fouye [aujourd'hui Foy, Gravier (le), Guée, Haut et Bas-Bel, Haut-Prain, l'Aumônerie, Saint-Jean-des-Pileurs [aujourd'hui Saint-Jean d'Epileur].
Le bâti est majoritairement organisé en "hameau-rangée" (alignements de logis et de dépendances agricoles). Certains "hameau-rangée" du début du 19e siècle (cf. cadastre "napoléonien" de 1817 et 1847) paraissent aujourd'hui éclatés du fait de la disparition de nombreux bâtiments formant les alignements du 19e siècle.
Photographe à l'Inventaire