Photographe à l'Inventaire
- inventaire préliminaire, Saint-Grégoire
Dossier non géolocalisé
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Dénominationséglise paroissiale, croix monumentale
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Aires d'étudesIlle-et-Vilaine
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Adresse
- Commune : Saint-Grégoire
Le territoire de Saint-Grégoire comprenait en outre de son église 8 chapelles et un oratoire, la plupart privés ces lieux de culte dépendaient d´un manoir.
Les chapelles
La chapelle des Aulnays-Le-Gonidec dépendait du manoir du même nom. Elle fut abandonnée dès 1771 (détruite).
La chapelle de la Brétèche fut bâtie par Sébastien Bodin, sieur de la Morandais, échevin de Rennes, et Laurence Tirel, sa femme, qui donnèrent de leur vivant des messes tous les dimanches et fêtes. Vers 1715, le recteur de Saint- Grégoire, M. Le Vavasseur, bénit ce nouveau sanctuaire en le dédiant à Jésus-Christ agonisant (détruite).
La chapelle du Chesnay-Cucé, Chesnay-Beauregard ou Chesnay-Henry, voisine de ce manoir, fut édifiée en 1674 et appartenait en 1771 à Jean du Boisgeslin, archevêque d´Aix et marquis de Cucé (détruite).
La chapelle de la Sauldraye se trouvait près du manoir du même nom en 1677. En 1790, on y célébrait des messes tous les dimanches et les jours de fêtes et on s´y rendait naguère en procession aux Rogations (en place).
La chapelle de la Ville-Ascelin, voisine de l´antique manoir de même nom, fut fondée de messes tous les dimanches et fêtes le 15 février 1667 et démolie vers 1850. Elle fut présentée par le propriétaire Yves Courtois, en 1720, à Claude Bécot, acolyte, pour lui servir de titre (détruite).
La chapelle du Chesnay-Macé ou du Grand-Chesnay, construite en 1658 et tombée en ruine en 1771, se voit reconstruire par M. Nantreuil, seigneur du Chesnay. Elle présente une abside semi-circulaire (détruite).
La chapelle de la Rabinardière, bâtie par Toussaint-Jacques Conen, seigneur de Saint-Luc, fut bénite le 4 septembre 1743 par M. de Guersans, archidiacre et chanoine de Rennes, en présence des abbés de Saint-Luc et du Bouexic. Elle présente une abside demi-circulaire (détruite).
La chapelle du Vivier-Louis, mentionnée en 1790, comporte une abside à trois pans et deux petites niches en plein cintre surmontées de frontons triangulaires (détruite).
La chapelle du Bas Bourgneuf est sommée d´un modeste campanile (détruite).
Un oratoire dédié à la Sainte Vierge est mentionné a proximité du manoir de l´Auge de Pierre (en place, transformé en pavillon de jardin).
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Période(s)
- Principale : 19e siècle
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Toits
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Décompte des œuvres
- repérées 15
- étudiées 0
- (c) Inventaire général, ADAGP
Bibliographie
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BANEAT, Paul. Le département d´Ille-et-Vilaine, Histoire, Archéologie, Monuments. Rennes : J. Larcher, 1929.
t. 3, p. 419-435 -
GUILLOTIN DE CORSON, abbé. Pouillé historique de l´archevêché de Rennes. Rennes : Fougeray, Paris : René Halton, 1883.
t. 4, p. 63-69 -
Le patrimoine des communes d'Ille-et-Vilaine. Paris : Flohic Editions, 2000. (Le patrimoine des communes de France).
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Eglises et chapelles d'Ille-et-Vilaine. Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France. Région Bretagne ; par Véronique ORAIN, Isabelle BARBEDOR, Denise DUFIEF-MOIREZ, Jean-Jacques RIOULT. Rennes : APIB, 1996. (Indicateurs du Patrimoine ; 3).
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GUILLOTIN DE CORSON, abbé. Pouillé historique de l´archevêché de Rennes. Rennes : Fougeray, Paris : René Halton, 1883.
t. 3
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