La présence de châtellenie de la Roche dont le domaine devait s'étendre sur la majeure partie des terres de l'ancienne paroisse explique sans doute que les demeures nobles aient été si peu nombreuses. Le dictionnaire d'Ogée rédigé vers 1780 ne cite que la maison seigneuriale de la Massue encore figuré sur le cadastre de 1826 mais détruite au milieu du XIXe siècle, et le manoir de la Beaudronnière désormais unique exemple d'habitat nobiliaire sur le territoire communal, dont le porche armorié portait la date 1568. Paul Banéat signale un manoir au Plessix l'Epine. Une ancienne demeure bâtie en 1587 paraît commander l'ancienne basse-cour d'une motte castrale (disparue ?) sise au bord de l'étang. Le "château moderne" mentionné par le même auteur a en revanche disparu.
Au "siècle des notables" appartient le château de la Villate, remarquable demeure de style néo-classique édifiée vers 1850 par une famille de grand propriétaires terriens, ainsi que la maison de maître de la Labourais, résidence d'un laboureur aisé bâtie vraissemblament sous le Second empire. Le presbytère enfin, dont la disposition entre cour et jardins rappelle celle des manoirs, doit être cité parmis les demeures notables.