Quelques 220 'maisons et les fermes simplement cartographiées' n'ont pu faire individuellement l'objet d'une analyse historique même sommaire ou morpho-fonctionnelle du fait des transformations qu'elles ont subies pour faire face aux mutations constantes des usages domestiques et agricoles : désaffectation, remaniement de façades, repercement des baies, réduction des volumes.
Toutefois, elles font l'objet d'un traitement cartographique précis, visualisable à l'aide du système d'information géographique Géoviewer car leur ancienneté est indéniable et mesurable du fait de leur représentation sur les cadastres anciens. [Voir le mode d'emploi en introduction du cd-rom].
Ainsi, le cas échéant, la consultation du premier cadastre dit napoléonien peut apporter une indication intéressante ; le tableau d'assemblage du plan de 1827 peut être superposé au cadastre moderne dans le système d'information géographique. Cependant, il convient d'être prudent dans l'interprétation des données superposées sur les plans : d'une part celui peut présenter des décalages de quelques de mètres, d'autre part les édifices peuvent avoir été reconstruits, augmentés ou réduits.
La carte annexée permet de distinguer ces édifices (en bleu) des oeuvres documentées par un dossier individuel (en vert) ; quelques photographies témoignent des diverses formes de transformations ou de dénaturations qu'ils ont subies.
Dans le village, une maison moderne [dernière illustration] -hors du champs chronologique de l'enquête - est relativement exceptionnelle compte tenu de la rareté des formes de constructions modernes des années 1950 dans les bourgs.