Ce bâtiment, d'une architecture relativement soignée par rapport aux autres constructions de l'écart, remonte à 1636. La tradition orale mentionne le fait qu'il s'agissait de la maison d'habitation du prêtre desservant la chapelle de l'Hermitière. Ainsi, il existait une chapelle à l'Hermitière ; elle était encore desservie au cours du 18e siècle. Toutefois, l'éloignement relatif de ce bâtiment par rapport à l'ancienne chapelle, située à l'extrême nord de l'écart de l'Hermitière, ainsi que l'absence de sources d'archives ou bibliographiques attestant de cette fonction ne permet pas de confirmer cette hypothèse. Le logis était composé de deux pièces à feu au rez-de-chaussée, chacune desservie par une porte en plein cintre. Il existait peut-être par ailleurs des pièces à feu à l'étage car, le bâtiment était plus haut qu'aujourd'hui à l'origine. Ainsi, le niveau de la toiture actuelle arrive au niveau des anciens appuis des baies de la partie supérieure de la construction originelle. La partie est de la construction a été ajoutée par la suite ; elle était vraisemblablement destinée à accueillir une dépendance (écurie, cellier...).
Dossier d’œuvre architecture IA35047512
| Réalisé par
Dalibard Sabrina
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Bardel Stéphanie
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- inventaire préliminaire, Orgères
Maison, l'Hermitière (Orgères)
Œuvre recensée
Auteur
Dossier non géolocalisé
Localisation
-
Aire d'étude et canton
Ille-et-Vilaine - Bruz
-
Commune
Orgères
-
Lieu-dit
l' Hermitière
-
Dénominationsmaison
-
Parties constituantes non étudiéesfour
-
Période(s)
- Principale : 2e quart 17e siècle
-
Dates
- 1636, porte la date
Le gros oeuvre de ce bâtiment est composé d'une maçonnerie de moellon de schiste. La toiture à longs pans est couverte d'ardoise. Les encadrements de baies sont réalisés en pierre de taille de schiste pourpre. Les portes jumelées en plein cintre possèdent des clés en pierre calcaire. Entre les deux portes, en partie supérieure, se trouve une pierre calcaire portant la date de 1636. Les deux fenêtres de la façade sont équipées de grilles. La partie Est de la construction abrite une dépendance. D'autre part, un four se trouve au sud-est.
-
Murs
- schiste
- calcaire
- moellon
-
Toitsardoise
-
Étagesen rez-de-chaussée
-
Couvertures
- toit à longs pans
- pignon couvert
-
État de conservationrestauré
Données complémentaires architecture IP35
- DENO
- HYPOI maison à deux foyers juxtaposés
- HYPOE en alignement
- PHYPO
- STYL vernaculaire
- NOTA
- MURS1 schiste ; moellon ; calcaire
- MURS2
- SCLE1 2e quart 17e siècle
- IMPA
- CBATI
- IMBATI
- PERP
- ESPAL
- PASSAGE
- ESPAP
- DISTRIB simple en profondeur
- ORDO
- ELEV
- ETAG
- COMBLE comble à surcroît
- MOUV à porte haute en toiture seule
- RDC
- ACCESA 2
- ACCESP ?
- NATUA autre cas
- FACCES
- FAXE
- FETAG
- FOUV
- IAUT typicum
- ICHR typicum
- IESP typicum
- ICONTX intégré
- PINTE
- SEL sélection possible
- TYPVIL
- TYPECA
- POSECA
-
Statut de la propriétépropriété privée
- (c) Inventaire général, ADAGP
- (c) Inventaire général, ADAGP
- (c) Région Bretagne
- (c) Région Bretagne
- (c) Région Bretagne
- (c) Région Bretagne
- (c) Région Bretagne
- (c) Région Bretagne
- (c) Région Bretagne
- (c) Région Bretagne
- (c) Région Bretagne
Bibliographie
-
BANEAT, Paul. Le département d'Ille-et-Vilaine, Histoire, Archéologie, Monuments. Rennes : J. Larcher, 1929.
p. 532-533 -
LOUAIL, Jules. Esquisse sur le pays d'Orgères. 1892.
Date(s) d'enquête :
2008;
Date(s) de rédaction :
2008
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