Dossier d’œuvre architecture IA35047702 | Réalisé par
  • inventaire préliminaire, Orgères
Ferme, la Guibertière (Orgères)
Œuvre recensée

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Ille-et-Vilaine - Bruz
  • Commune Orgères
  • Lieu-dit la Guibertière
  • Cadastre 1812 C1
  • Dénominations
    ferme
  • Destinations
    maison
  • Parties constituantes non étudiées
    dépendance

La construction de ce bâtiment remonte à la première moitié du 17e siècle en ce qui concerne la partie centrale de la construction, la plus élevée. Ainsi, les bâtiments qui se trouvent à l'est et à l'ouest remontent au 19e siècle. En 1812, lors de la réalisation du premier cadastre de la commune d'Orgères, ce bâtiment existait déjà et, à l'époque, il était divisé en deux propriétés. Il existait en effet deux pièces à feu au rez-de-chaussée de la partie centrale, chacune constituait donc un logis distinct au début du 19e siècle. Toutefois, originellement, le bâtiment de la partie centrale ne formait, selon toute vraisemblance, qu'une seule et même propriété. Il s'agissait d'un logis composé de deux pièces à feu au rez-de-chaussée ; la pièce principale était vraisemblablement celle de l'ouest car il y existe un vaisselier sur le mur gouttereau nord. De plus, dans l'angle sud-ouest de cette pièce, se trouvait, d'après la tradition orale, un escalier ; le jour muré, situé à l'étage dans cette partie de la façade sud, témoigne d'ailleurs de l'existence d'un escalier à cet endroit. Ce jour éclairait l'escalier qui desservait l'étage. La présence d'un escalier indique également qu'il existait une pièce à feu à l'étage en partie ouest à l'origine. Un certain nombre d'éléments tels que la qualité des encadrements de baies d'origine et la présence d'un escalier desservant une pièce à l'étage permettent, entre autres, de supposer que la maison dont parle Paul Banéat dans son ouvrage du début du 20e siècle, correspond peut-être à celle-ci. Il mentionne en effet le fait qu'il existait une maison à la Guibertière, qui appartenait en 1732 aux de Bruc, seigneurs de Montplaisir, qui fut vendue, à cette date aux Porée, seigneurs du Parc.

  • Période(s)
    • Principale : 17e siècle
    • Principale : 19e siècle

La partie centrale de ce bâtiment est élevée en moellon de schiste, alors que les parties latérales sont réalisées en terre. La partie centrale est plus élevée que les parties latérales. Les toitures à longs pans sont couvertes d'ardoise et de matériau synthétique. Les encadrements de baies de la partie centrale sont réalisés en pierre de taille de schiste ; certains possèdent un chanfrein. La fenêtre du rez-de-chaussée de la partie ouest de la façade possède encore une grille.

  • Murs
    • terre
    • schiste
    • enduit
    • moellon
  • Toits
    ardoise, matériau synthétique en couverture

Données complémentaires architecture IP35

  • DENO
  • HYPOI sans objet
  • HYPOE en alignement
  • PHYPO
  • STYL
  • NOTA
  • MURS1 terre ; enduit ; schiste ; moellon
  • MURS2
  • SCLE1 17e siècle ; 19e siècle
  • IMPA
  • CBATI
  • IMBATI
  • PERP
  • ESPAL
  • PASSAGE
  • ESPAP
  • DISTRIB
  • ORDO
  • ELEV
  • ETAG
  • COMBLE
  • MOUV
  • RDC
  • ACCESA
  • ACCESP
  • NATUA
  • FACCES
  • FAXE
  • FETAG
  • FOUV
  • IAUT typicum
  • ICHR typicum
  • IESP typicum
  • ICONTX intégré
  • PINTE
  • SEL repéré
  • TYPVIL
  • TYPECA
  • POSECA
  • Statut de la propriété
    propriété privée

Bibliographie

  • BANEAT, Paul. Le département d'Ille-et-Vilaine, Histoire, Archéologie, Monuments. Rennes : J. Larcher, 1929.

    Région Bretagne (Service de l'Inventaire du patrimoine culturel)
    p. 532
Date(s) d'enquête : 2008; Date(s) de rédaction : 2008
Articulation des dossiers