La maison fait partie du lotissement de Strasbourg réalisé par les époux L'Herminier à la suite du rachat des terrains de la Société La Boulonnaise. Elle est construite vers 1935-1940 sur le lot n°23 de ce lotissement. Remplacement des balcons à une date récente. Un second garage latéral a été rajouté postérieurement.
- inventaire topographique, ville de Vannes
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Vannes
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Commune
Vannes
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Adresse
10 rue de Nomeny
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Cadastre
1980
AW
0072
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Dénominationsmaison
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Parties constituantes non étudiéesjardin, garage, enclos
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Période(s)
- Principale : 2e quart 20e siècle
Maison importante isolée en alignement sur la rue avec jardin en fond de parcelle. Double en profondeur, la maison est composée d'un étage de soubassement non habitable pourvu d'un garage surmonté d'un étage carré pour les pièces à vivre. La façade montre un triplet (groupement de trois baies) composé d'une porte-fenêtre centrale et de deux baies latérales rectangulaires, surmonté d'un décor de ciment en relief formant un arc en plein cintre. La porte d'entrée est latérale. En soubassement et aux angles de la façade, décor de faux appareil régulier en ciment.
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Murs
- granite
- enduit
- moellon
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Toitsardoise
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Étagesétage de soubassement, 1 étage carré
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Élévations extérieuresélévation à travées
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Couvertures
- toit à longs pans
- croupe
- demi-croupe
- noue
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Escaliers
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Typologiesen alignement sur rue ; double en profondeur
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Statut de la propriétépropriété privée
L'urbanisation de ce quartier se fait en relation avec la gare et la caserne de La Bourdonnaye. Il est desservi par le chemin d'intérêt commun de Vannes à Josselin devenu rue de Strasbourg, dont la partie sud est tracée pour créer une nouvel accès à la route de Josselin (aujourd'hui rue des Frères Créac'h au sud, rue de Strasbourg au nord), coupée en 1862 lors de la mise en place de la voie ferrée. La présence du chemin de fer définit le caractère artisanal et industriel du quartier occupé presqu'entièrement au départ par la Société Boulonnaise des travaux et constructions. Par la suite, la faillite de cette société et la vente de ses terrains et bâtiments donne naissance à la première zone industrielle de Vannes où divers artisans et négociants vont installer leurs ateliers et entrepôts et à un lotissement dit de la rue de Strasbourg. Les constructions de ce lotissement sont simples et correspondent soit à des logements ouvriers : maison de plain-pied à deux pièces symétriques, soit à des maisons plus importantes doubles en profondeur avec rez-de-chaussée surélevé sur un niveau de garage. L'ouverture centrale de la maison en serlienne évoque une fenêtre identique dans la maison de l'architecte Xavier Caubert, rue Frélaut : peut-être cette maison avec son jeu de toitures et cette fenêtre est-elle due au même architecte.
- (c) Inventaire général, ADAGP
- (c) Inventaire général, ADAGP
- (c) Inventaire général, ADAGP
- (c) Ville de Vannes
Géomètre