Cette maison d'éclusier abritait un logement d'ingénieur construit après la mise en service du canal en 1827. Elle est mentionnée sur le cadastre ancien de 1829 sous le numéro de parcelle 837. Le logis était prolongé au nord par une écurie, probablement allongée à la fin du 19e siècle et désormais détruite. Une petite dépendance est édifiée au sud. L'usine électrique construite en 1933 (date portée) de l'autre côté de la berge du Blavet utilise l'énergie hydraulique générée par la chute d'eau. Une inscription est peinte sur la façade : "Electricité de France/Usine de Saint-Adrien n°16". L'écluse est postérieure à 1829 car seul le terre plein est figuré sur le cadastre ancien.