Théodore Tonnelier est ici l’auteur d’une pièce, faite de deux matériaux distincts, plutôt modeste par rapport à sa production habituelle. Ce calice est en cuivre argenté à l’exception de la coupe poinçonnée au bord et au-dessous. Le décor est cantonné au nœud oblong godronné et ceinturé d’une frise de feuilles et au pied orné des symboles végétaux de l’Eucharistie : pampres de vigne, tiges de roseaux et épis de blé dans des cartouches ovales séparés par des feuilles lancéolées.