Dossier de présentation du mobilier IM35012678 | Réalisé par
  • inventaire préliminaire, Treffendel
Le mobilier de l'église paroissiale Saint-Malo, Église paroissiale Saint-Malo (Treffendel)

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Ille-et-Vilaine - Plélan-le-Grand
  • Parties constituantes non étudiées
    statue, culot, statue, culot, clôture de choeur, fonts baptismaux, dalle funéraire, statue, culot, statue, culot, statue, culot, statue, culot, clôture des fonts baptismaux, statue, statue, autel, tabernacle, gradin d'autel, degré d'autel, banc de fidèles, tableau commémoratif des morts, couronne de lumières, groupe sculpté, culot, bénitier d'applique, statue, statue, croix d'autel, statue, chasuble, étole, chasuble, étole, croix de procession, harmonium, armoire, chasublier, harmonium, ampoule à saint chrême, statue, culot, ciboire, croix de sacristie, verrière, verrière, calice, patène, demi-relief, calice, patène, burettes, bassin à burettes, clochette, boîte de calice, demi-relief, ciboire, ampoule à saint chrême, ostensoir, boîte d'ostensoir, ostensoir, boîte d'ostensoir, statue, calice, patène

Dans le bras nord du transept, les statues en bois de saint Nicolas et de sainte Marguerite sont probablement les derniers témoins de l'ancienne église reconstruite en 1658. Plus près de nous, le chandelier pascal et le Christ en croix de la sacristie remontent peut-être au 18e siècle.

L'église actuelle est construite entre 1865 et 1872 d'après les plans de l'abbé Brune. Dès 1872, les verrières sont exécutées par le Tourangeau Lucien Lobin. Elles représentent la Passion du Christ dans le choeur, la sainte Famille et la Vierge à l'Enfant dans le transept ; celles de la nef sont décoratives. C'est à l'Atelier Aubert, de Romillé, que la fabrique commande le mobilier principal qui est fabriqué en 1873 : le maître-autel, les autels secondaires consacrés à la Vierge et à saint Joseph, chacun avec leur statue et ornés de demi-reliefs consacrés à l'Enfance du Christ ; la clôture de choeur, aujourd'hui transformée en autel face aux fidèles, la chaire à prêcher et deux confessionnaux ; la même année, le décor du choeur est achevé par la pose du lambris et des premières stalles, complétées en 1898 ; toujours en 1873 le sculpteur rennais Charles Goupil fournit le chemin de croix. C'est en 1899 que l'orgue polyphone de Louis Debierre est acheté à Nantes, tandis que les différentes statues de plâtre encore présentes aujourd'hui sont acquises chez des marchands parisiens ou chez Rouillard à Angers.

Lors de cette enquête, il n'a été ouvert aucun dossier sur les cloches. Par convention, on considère que l'église est orientée est-ouest ; les verrières sont numérotées impaires au nord, paires au sud, en commençant par l'est ; la verrière orientale (maîtresse-vitre) porte le numéro 0, la verrière occidentale le numéro 00.

Bibliographie

  • POCQUET DU HAUT-JUSSÉ, Bertrand. Le mobilier religieux du XIXe siècle en Ille-et-Vilaine. Bannalec : imprimerie Régionale, 1985.

    Région Bretagne (Service de l'Inventaire du patrimoine culturel) : 35 G
    p. 140, 331-332, 344, 365
  • LEGRAND, chanoine, BRETECHE, Jean-François, LEBRETON, abbé, COCHERIL, Michel (dir.). Recensement des orgues de Bretagne. Châteaugiron : A.R.Co.D.A.M., [s.d.].

    Région Bretagne (Service de l'Inventaire du patrimoine culturel)
    p. 493

Annexes

  • Annexe n°1
  • Annexe n°2
Date(s) d'enquête : 2002; Date(s) de rédaction : 2002
Édifice