Le sémaphore de la Ville-Pichard repéré sur le cadastre de 1811 (section A) n'est pas indiqué sur le cadastre de 1847. Cependant, on peut remarquer sur le cadastre de 1811, section A, les miroirs du télégraphe de la pointe de la Guette (à côté du fort de Dahouët) et les miroirs du télégraphe de la Ville-Pichard. Près de la batterie de la Ville Pichard et du télégraphe, des murailles blanchies, semblables à celles situées sur la petite Guette, ont pour objet de rendre plus distincts les signes télégraphiques que la station de Dahouët envoyait à celle du Roselier.
Dossier d’œuvre architecture IA22002197
| Réalisé par
- inventaire préliminaire, Pléneuf-Val-André
Sémaphore de la Ville-Pichard (Pléneuf-Val-André)
Œuvre recensée
Auteur
Dossier non géolocalisé
Localisation
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Aire d'étude et canton
Communes littorales des Côtes-d'Armor - Pléneuf-Val-André
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Commune
Pléneuf-Val-André
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Lieu-dit
la Ville-Pichard
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Cadastre
1811
A
11
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Dénominationssémaphore
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Période(s)
- Principale : 1er quart 19e siècle
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État de conservationdétruit
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Statut de la propriétépropriété de l'Etat
- (c) Conseil général des Côtes-d'Armor
- (c) Conseil général des Côtes-d'Armor
- (c) Conseil général des Côtes-d'Armor
- (c) Conseil général des Côtes-d'Armor
Bibliographie
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JOLLIVET, Benjamin. Les Côtes-du-Nord, histoire et géographie de toutes les villes et communes du département. Guingamp : B. Jollivet, 1854, 1.
p. 303
Date(s) d'enquête :
2003;
Date(s) de rédaction :
2003
Dossiers de synthèse
Articulation des dossiers