La digue-mur de Saint-Michel-en-Grève, qui n'était constituée à l'origine que d'un talus a été remontée en ciment après la tempête d'équinoxe du 22 septembre 1918 (côte 118-119), pour servir de brise-lames. Une partie de la digue en amont du bourg de Saint-Michel est constituée d'un muret façonné en pierre taillées et jointoillées de granite et de schiste jusu'au niveau de Pont-ar-Yar, qui se prolonge par un enrochements de blocs de granite. La route départementale était souvent en travaux et impratiquable à cause des marées et des charrois de sable. La commune a dû édifier ce mur afin d'endiguer les terrains proches du rivage et protéger la route départementale.