Dossier d’œuvre architecture IA22005277 | Réalisé par ;
Dupont Flavie (Rédacteur)
Dupont Flavie

Etudiante à l'Université Rennes 2, master 2 Histoire, civilisations et patrimoine double parcours Histoire et Sciences-sociales et parcours Médiation du Patrimoine de l'Histoire et des Territoires.

Dans le cadre d'une étude sur les châteaux parlementaires costarmoricains pour la réalisation d'un mémoire de recherche historique sur les châteaux habités par des parlementaires bretons. En partenariat avec l'association VMF et la Région Bretagne.

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  • enquête thématique régionale, Inventaire des châteaux du 19e siècle en Bretagne
  • enquête thématique régionale, Inventaire des demeures parlementaires en Bretagne
Château de Craffault (Plédran)
Œuvre repérée
Copyright
  • (c) Ministère de la culture (France), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine, diffusion RMN

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Bretagne - Ploufragan
  • Commune Plédran
  • Cadastre G 510, 512, 514 à 516
  • Dénominations
    château
  • Parties constituantes non étudiées
    étang, fossé

Le lien entre le château de Craffault et le Parlement de Bretagne se consolide au 17e siècle par l’intermédiaire de la famille Le Noir de Carlan. Possessionnée dans l’évêché de Saint-Brieuc depuis le 13e siècle, cette famille est reconnue comme noble d’ancienne extraction lors de la Réformation de 1669.

C’est Julien-François-Henri Le Noir, seigneur de Carlan, qui incarne ce lien direct avec la haute magistrature bretonne. Né en 1694 au château de Craffault, il est le fils de Julien Le Noir et de Françoise Serré. Il occupe la charge de conseiller au Parlement de Bretagne de 1732 à 1757, une fonction dite « originaire », c’est-à-dire réservée aux bretons. À son décès, survenu en janvier 1757, il est inhumé dans l’église de Plédran, commune où se situe le château familial.

Son mariage, vers 1726, avec Marie-Claude-Pélagie Boschier d’Ourxigné, fille d’un autre conseiller au Parlement (répertorié sous le n°127 selon la nomenclature de Frédéric Saulnier), renforce encore les liens de la famille Le Noir avec les milieux parlementaires rennais.

Bien qu’aucune construction précise ne puisse être attribuée à la période d’activité parlementaire de Julien-François-Henri Le Noir (1732-1757), le château de Craffault conserve des caractéristiques architecturales témoignant du goût de la noblesse bretonne aux 17e et 18e siècles. On y retrouve des éléments de style Renaissance, tels que des tourelles en cul-de-lampe, associés à une rigueur classique. L’organisation symétrique des façades, marquée par des fenêtres en travées régulières, ainsi que l’accent mis sur la verticalité – toitures élancées et pavillons saillants – reflètent les tendances architecturales de la fin du 17e siècle en Bretagne.

La présence d’un unique parlementaire dans l’histoire du château témoigne de l’ascension de la famille Le Noir de Carlan, intégrée à une élite nobiliaire dans un contexte régional fortement marqué par la densité de la noblesse. Comme le souligne l’historien Georges Minois, les Côtes-d’Armor comptent l’une des plus fortes concentrations nobiliaires de France. Au 18e siècle, la Bretagne totalise ainsi 4 639 foyers nobles, soit environ 20 000 nobles. Toutefois, cette abondance ne signifie pas nécessairement richesse ou influence. Michel Nassiet rappelle ainsi l’existence d’une « plèbe nobiliaire », une noblesse pauvre et souvent marginalisée. La famille Le Noir de Carlan, pour sa part, ne relève pas de cette noblesse pauvre, mais s’inscrit au contraire dans une noblesse affirmée et socialement intégrée.

(Enquête thématique régionale, Inventaire des demeures parlementaires en Bretagne - les châteaux de parlementaires en Côtes-d'Armor, Flavie Dupont, 2025)

Importante restauration réalisée pour J. de Largentaye par l'architecte Jean-Baptiste Martenot à partir de 1899 ; les travaux, exécutés par Louis Sébilleau, entrepreneur à Saint-Brieuc, s'achèvent en 1902. L'édifice ancien est partiellement démoli avec reprise de maçonnerie et de percements ; la distribution et le décor intérieur sont entièrement repris lors de cette campagne. Etablissement d'un nouvelle cuisine et d'un calorifère.

(Enquête thématique régionale, Inventaire des châteaux du 19e siècle en Bretagne, Elise Lauranceau, 2004)

Les origines de Craffault (14e siècle au 17e siècle)

Le château de Craffault, situé sur la commune de Plédran à une dizaine de kilomètres au sud de Saint-Brieuc dans les Côtes d'Armor, possède des origines qui remontent au 14e siècle sous le nom de Seigneurie de Querfahau. Si l’on suit la racine celte, Craffault signifierai "la demeure aux hêtres" (le hêtre étant considéré comme l'arbre seigneurial par excellence). En 1317, cette seigneurie appartenait à Olivier du Hidoux de Querfahau. L'édifice d'origine était un ensemble fortifié avec un pont-levis flanqué de tours, des douves en eau et de puissantes murailles.

En 1426, le manoir est racheté par Margelle de Québriac qui conserve la propriété jusqu’en1514, date où les terres appartiennent à un certain Jacques de Beaumanoir et Pierre Le Normand. Au 16e siècle, vers 1536, les terres appartiennent à Jean Rouault et Pierre Le Normand. En 1569, il n’est plus que mentionné Jean Rouault, dans une montre du 10 juillet 1569. En 1572, il reçoit une concession royale pour la création de la foire de Saint-Nicolas. La famille Rouault, qui figure dans les montres de 1459 à 1543, installée dans l’évêché de Saint-Brieuc et de Tréguier et aux armes d’argent au sautoir de gueules, accompagné en chef d’une hermine de sable et en pointe d’une rose de gueules, conserve le manoir de Craffault et ses dépendances jusque vers 1650.

L’installation de la famille Le Noir (17e siècle)

Au début 17e siècle, le domaine passe dans les mains de la famille Le Noir de Carlan par alliance d’Anne Rouault à Julien Le Noir, écuyer et seigneur de Carlan (1620-1683). L’arrière-petit-fils de ces derniers, Julien-François-Henri, né en 1694, époux de Marie-Claude-Pélagie Boschier à partir de 1725, il intègre le Parlement de Bretagne en1732 comme conseiller originaire jusqu’à sa mort qui survient en 1757. Lorsqu’Henri II institut le Parlement de Bretagne en 1553, il créer deux types de charges : les charges « originaires » et les charges « non-originaires ». Concrètement, c’est une différenciation selon l’origine du magistrat : bretonne ou française. Cette différenciation est très importante au 16e siècle mais n’est plus qu’une distinction nominale au 18e siècle. Ce dernier est né au château de Craffault et il y meurt, il est inhumé en l’église de Plédran, ce qui démontre un profond attachement de ce parlementaire à cette terre familiale.

La succession des familles et le bouleversement révolutionnaire (18e siècle)

La filiation du conseiller Julien-François-Henri Le Noir se poursuivit à travers sa fille, Reine Pélagie Le Noir (1727-1806), née le 7 septembre 1727 à Hénon et décédée à Saint-Malo. Son mariage avec Constant de Lesquen, comte de Largentaye (1711-1791) en 1747, transmet le domaine de Craffault à la famille Lesquen de Largentaye. Le couple a trois filles, assurant ainsi la transmission du patrimoine familial mais marquant la fin de la lignée directe des Le Noir de Carlan.

En 1796, Agathe Éléonore de Lesquen de Largentaye, fille de Constant de Lesquen et Reine-Pélagie, hérite du château et épouse Frédéric Rioust des Villes-Audrain. Le couple aura une fille Marie-Ange, mais seront contraint d’émigrer et ne pourront profiter de leur résidence.

En effet, cette même année, le 17 juillet 1796, le château de Craffault est confisqué comme bien national, puis vendu à Jean André Valletaux de la Côte, général de brigade. Ce dernier rétrocède rapidement le bien à Sainte-Thérèse et Renée Pélagie Le Noir Carlan, dont leurs ancêtres habitaient le château pendant environ 100 ans.

Aux 19e et 21e siècles, le domaine est la propriété de la descendance des Rioust de Largentaye.

Transformations et restaurations du château de Craffault

Le château actuel est le fruit de nombreuses transformations successives. Au 15e siècle est construit le pavillon qui abrite aujourd'hui l'escalier principal. D’anciennes descriptions rappellent l’existence d’un pont-levis flanqué de tours, de douves en eau et de puissantes murailles. Tout cet appareil militaire a disparu au profit d’une grande demeure.

Le 16e siècle lance le début des grands travaux à Craffault. C’est l'édification de la partie droite de la façade principale localisée à l’est et la reconstruction de la chapelle Saint-Nicolas vers 1572. Au 17e siècle, il est réalisé la partie gauche de la façade principale, dans un style qui se fond dans la précédente.  

Enfin, au 19e siècle, une importante restauration a lieu entre 1898 et 1902, dirigée par le célèbre architecte rennais Jean-Baptiste Martenot, également connu pour la construction des Halles de Rennes et la restauration d'autres châteaux dans la région. Cette dernière restauration a également inclus l'ajout d'une galerie, d'un pavillon et d'une aile au nord, conçus dans un souci d'harmonisation avec la façade principale et incluant des éléments de remploi du château de la Costardais à Médréac.

(Enquête thématique régionale, Inventaire des demeures parlementaires en Bretagne - les châteaux de parlementaires en Côtes-d'Armor, Flavie Dupont, 2025)

Le château de Craffault présente une architecture mêlant harmonieusement des éléments de la Renaissance et des caractéristiques classiques, illustrant les différentes phases de sa construction et les goûts architecturaux de ses propriétaires successifs.

La façade principale, orientée à l'est, révèle une composition équilibrée malgré les diverses époques de construction. La partie droite, datant du 16e siècle, se distingue de la partie gauche, construite au 17e siècle. Chacune des extrémités est ornée d'une tourelle en cul-de-lampe surmontée d'une toiture conique, un détail typique de l'architecture de la Renaissance.

L'édifice présente également une organisation soignée de ses baies, un style propre aux châteaux de la période classique du 17e siècle. Elles sont disposées en travées sur trois niveaux : six travées sur la façade principale à l'est et dix travées sur la façade antérieure à l'ouest, dont deux travées sur chaque pavillon d'angle et deux sur la tour qui rompt la symétrie du bâtiment. Le bâtiment est régulier de forme de U mais non symétrique lié au donjon carré. Les baies, à meneaux, sont caractéristiques de la Renaissance. La toiture à longs pans, percée de lucarnes et couronnée de tympans, se complète par un pavillon central en forme de donjon carré, surmonté d'une toiture en pavillon, semblable à celles des pavillons d'angle qui encadrent le logis principal.

Les aménagements du 19e siècle, bien que marquants, ont su respecter l’esprit architectural d'origine, assurant une continuité stylistique remarquable.

Le château est décoré de corniches à accolade, soutenues par des doubles modillons en granite. Il présente également des lucarnes à baies rectangulaires, encadrées de pilastres circulaires surmontés de frontons triangulaires, eux-mêmes couronnés de trois cylindres aux angles. Ces éléments architecturaux sont caractéristiques de la fin du 16e siècle et du début du 17e siècle. Les souches de cheminée sont ornées de bandeaux saillants, surmontés de petits créneaux arrondis. La toiture en ardoise est agrémentée d’épis de faîtage. L’ensemble de l'édifice est construit en pierre de taille de granite et porte, à de nombreux endroits, les armoiries de la famille Le Noir (D’azur à trois chevrons d’or, au franc canton de gueules, chargé d’une fleur de lys d’argent), notamment à l'entrée de la chapelle Saint-Nicolas.

Intérieur du château

D'après le procès-verbal de saisie révolutionnaire du 29 messidor an IV (17 juillet 1796), l'agencement intérieur du château est le suivant : Au rez-de-chaussée, un vestibule donne accès à un grand escalier en pierre de taille. Sur sa droite se trouve une vaste « salle ancienne », qui comprend un salon et une salle Le pavillon sud accueil deux appartements avec des chambres à coucher, ainsi qu'un escalier dérobé. Le pavillon nord abrite les communs, comprenant notamment la cuisine, ainsi qu'un puits situé à proximité à l'extérieur. Le premier étage comprend sept chambres, réparties le long de plusieurs corridors. La grande chambre se situe au-dessus de la cuisine dans le pavillon nord. À gauche de celle-ci, quatre autres chambres sont disposées, suivies de deux autres chambres dans le pavillon sud. Ces pièces sont équipées d'alcôves (typique du 17e siècle et début du 18e siècle), de cabinets, de garde-robes et de nombreux meubles, dont des armoires fixées aux murs. Au-dessus, un étage en surcroît sert de grenier. Cet agencement est caractéristique des résidences nobles de l'époque, similaire à celles des 16e et 17e siècles, avant l'innovation des sous-sols et des cloisons qui ont transformé les espaces, créant des zones plus intimes et multipliant les pièces de réception et de couchage, notamment grâce à l'ajout des communs au sous-sol, ce qui permettait de libérer de l'espace au rez-de-chaussée

Le domaine et ses dépendances

Le château bénéficie d’une position stratégique, situé en hauteur et entouré de 80 hectares de bois. Cette implantation dominante est accentuée par la présence de douves, de pièces d’eau et d’une vaste esplanade, qui participent à la fortification naturelle du site. Le domaine comprend également un étang de 60 cordes, estimé à 4 francs, qui contribue à l’agrément autant qu’à la défense du lieu. Le château de Craffault s’inscrit ainsi dans un véritable domaine seigneurial, structuré autour de sa réserve — appelée « retenue » — et de ses mouvances, c’est-à-dire ses métairies.

Le château et la retenue de Craffault

Ainsi, le château de Craffault se compose d’un château orienté à l'est, d’une cour où il y a des écuries. Celles-ci sont un corps de bâtiment sur deux niveaux dont le dernier étage sert de grenier et qui couvert d’ardoise. Cette cour est en partie close (à l’est, au sud et à l’ouest) par des douves. Un jardin orne l’arrière du château. Au nord de cette cour, il y de nombreux hêtres tout comme sur les avenues. Celui-ci est également clos par un mur à l’est où il est planté des arbres fruitiers en espaliers éventail et baissons. Au sud de ce jardin, il y a une pépinière de pommiers.

La retenue est constituée de prairies, terres arables, bois, de plusieurs corps de bâtiment ainsi que d’un logement appelé Le Pressoir. Ce dernier est doté d’un pressoir, d’un verger. On retrouve également plusieurs bâtiments témoignant du statut nobiliaire de la résidence principale de Craffault : deux chapelles privées et un colombier. Ce dernier se situe dans une prairie de la retenue couvrant 3 journaux et 20 cordes, soit environ 0,978 hectare, et est estimé à 80 francs. L’une des chapelles du domaine est dédiée à Saint-Nicolas. Inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 10 juin 1964, elle constitue un élément patrimonial majeur. Construite au 15e siècle et reconstruite vers 1572 à l’initiative de Jean Rouault — représenté en costume d’époque dans un des vitraux du 16e siècle —, elle adopte un plan rectangulaire simple, rehaussé par une ornementation soignée. Les angles des pignons sont sculptés, et la porte d’entrée est décorée de figures des apôtres ainsi que d’une représentation de la légende de saint Nicolas. L’intérieur est également orné, avec notamment les armoiries des seigneurs qui en furent propriétaires. Au-delà de sa valeur architecturale, la chapelle joue un rôle central dans la vie du domaine en devenant, en 1572, le cœur d’une foire annuelle consacrée au commerce des chevaux. Cette foire, accordée par privilège royal « pour satisfaire à la supplication et requête de notre cher et bien aimé Jean Rouault, escuier et sieur de Crafault », se tient chaque année pendant trois jours à partir du 19 septembre. Le tout de cette retenue avec le château est estimé par les commissaires à 430 francs de revenus sans bois de décoration, des futaies et des arbres soit 9 460 francs de capital avec les bois : 28 685 francs. Le château avec sa cour, écurie et jardin est estimé à lui seul 170 francs et s’étale sur 6 journaux (environ 2 hectares).

Les mouvances de Craffault

En plus de la retenue, le seigneur de Craffault dominait selon le procès-verbal de 1796, avant la Révolution, cinq métairies : la Boullaye, la Noë, le Village, la Porte et le Vantoue. Toutes avaient un logement agrémenté parfois d’écuries, d’étables, de soues à porcs, d’une cour, d’un jardin, d’un puits, d’un four, d’un verger avec pommiers et des terres. En plus de ces métairies, le seigneur de Craffault avait également sous sa domination un moulin dit de « Craffault » ou « Neuf ». Localisé au sud de la retenue de Craffault et sur le ruisseau qui alimente l’étang. Ce moulin produirait une ensime célèbre dite du « Moulin de Craffault ». Ainsi, grâce à celle-ci le moulin est évalué à 130 francs de revenu et 2 340 francs.  

Le domaine de Craffault avec son château, sa retenue et ses métairies est alors important, s'étendant sur 175 journaux 35 cordes (environ 58 hectares). Le tout est estimé par les commissaires à 99 256 francs de capital.

(Enquête thématique régionale, Inventaire des demeures parlementaires en Bretagne - les châteaux de parlementaires en Côtes-d'Armor, Flavie Dupont, 2025)

  • Murs
    • granite pierre de taille (incertitude)
  • Toits
    ardoise
  • Plans
    plan rectangulaire régulier
  • Étages
    rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré, étage en surcroît
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans
    • toit en pavillon
    • toit conique
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours
  • Typologies
    restauration. Eclectique (?)
  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée
  • Protections
    inscrit MH, 1990/05/09
  • Précisions sur la protection

    Logis, douves et soubassements du châtelet d'entrée (cad. G 510, 512, 514 à 516) : inscription par arrêté du 9 mai 1990.

  • Référence MH

Restaurations importantes (1899 à 1902) avec éléments de remploi du château de Cotardais à Médréac. Aux abords de la chapelle Saint Nicolas.

Bibliographie

  • COLLECTIF. Le patrimoine des communes des Côtes-d'Armor. Collection : Le patrimoine des communes de France. Paris : Flohic éditions 1998, 2 tomes.

    p. 1037
  • QUEFFELEC, Henri, and Albert LE GOINVEC, Châteaux et Manoirs Des Côtes-Du-Nord (Paris : F.E.R.N., 1970)

  • SAULNIER, Frédéric. Le Parlement de Bretagne, 1554-1790. Imprimerie de la Manutention. 1991. 2 vol.

    ISBN : 2-8554-047-X

    Région Bretagne (Service de l'Inventaire du patrimoine culturel) : 35 REN hist
Date(s) d'enquête : 2004; Date(s) de rédaction : 2004, 2025
(c) Inventaire général
(c) Vieilles Maisons Françaises (VMF)
(c) Région Bretagne
(c) Université de Rennes 2
Dupont Flavie
Dupont Flavie

Etudiante à l'Université Rennes 2, master 2 Histoire, civilisations et patrimoine double parcours Histoire et Sciences-sociales et parcours Médiation du Patrimoine de l'Histoire et des Territoires.

Dans le cadre d'une étude sur les châteaux parlementaires costarmoricains pour la réalisation d'un mémoire de recherche historique sur les châteaux habités par des parlementaires bretons. En partenariat avec l'association VMF et la Région Bretagne.

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