En 1907, l'ardoisière de Roch-Trégnanton se nomme "Ardoisière Galliot" du nom de son exploitant: Mathurin Galliot.
En 1911, elle est exploitée par M. Galliot fils, qui emploie quatre fonceurs, six fendeurs et un enfant. L'ardoisière est dangereuse: les montagnes de déchets de schiste décomposé, menacent de glisser et de boucher les entrées des excavations.
L'exploitation est reprise en août 1917, toujours par Yves Galliot. En 1918, il emploie deux fonceurs et sept fendeurs.
L'excavation est abandonnée en 1921. Une autre sera reprise en 1924 à proximité de la première.