Sur un total de quarante-six édifices religieux, dix-huit ont été étudiés (dont six églises paroissiales) alors que vingt-six chapelles ont disparu, dont seize sur le seul territoire de Quimperlé. À l´exception de l´église de Tréméven bâtie au XVIe et au XVIIe siècle, toutes les églises paroissiales des communes rurales ont été reconstruites à partir des années 1850 d´après les plans de l´architecte Joseph Bigot de Quimper. Ses interventions, dont la plus notoire est la reconstruction de Sainte-Croix (1864-1868), sont parfois à l´origine, comme à Mellac ou à Clohars-Carnoët, de la disparition de constructions anciennes dignes d´intérêt, remplacés par des édifices conçus suivant les standards néo-romans et néo-gothiques chers à l´architecte et conformes à l´esprit de l´époque. Parmi les rares réalisations du XXe siècle figure la chapelle des ursulines à Kerbertrand en Quimperlé ; conçue en 1933 par l´architecte André Chaussepied de Quimper, elle témoigne du courant néo-régionaliste de l´entre-deux-guerres.
Dossier collectif IA29000644
| Réalisé par
- inventaire topographique, Tréméven
Les églises et chapelles sur le canton de Quimperlé
Auteur
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Scheinkmann XavierScheinkmann XavierCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Dossier non géolocalisé
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Dénominationséglise, chapelle
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Aires d'étudesQuimperlé
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Période(s)
- Principale : Moyen Age
- Principale : Temps modernes
- Principale : Epoque contemporaine
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Toits
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Décompte des œuvres
- bâti INSEE 9 151
- repérés 46
- étudiés 18
- (c) Inventaire général, ADAGP
- (c) Inventaire général, ADAGP
- (c) Inventaire général, ADAGP
- (c) Inventaire général, ADAGP
Date(s) d'enquête :
2004;
Date(s) de rédaction :
2004