En mars 1855, l’ardoisière est ouverte par Yves Corvellec. Elle est exploitée à ciel ouvert et emploie quatre ouvriers. Le transport se faisait à dos d’homme.
En mars 1862, elle est exploitée à ciel ouvert par Charles Le Floch (cultivateur) mais il doit la faire fermer le 19 mars 1863. il employait trois mineurs et quatre fendeurs. Elle est reprise par Auguste Parlier, en exploitation souterraine cette fois. L’ancienne excavation est en partie remblayée et un escalier est utilisé pour descendre dans la galerie. Il l’exploite ensuite à ciel ouvert, avant de l’abandonner après un éboulement le 16 mai 1864.
En mai 1865, elle est reprise sans autorisation par Yves Cavellec en exploitation souterraine. Elle mesure 15 sur 11 mètres et 10 mètres de
profondeur.
En juillet 1878, elle est exploitée par Pierre-Marie Treussart, maitre carrier, de nouveau à ciel ouvert. Elle appartient à la veuve Le Corre. Les abords de l’excavation sont protégés par des remparts de déblais.
Au début du XXe siècle, nous retrouvons l’ardoisière aux mains de Charles Com, qui possède aussi Kermanach. Le chemin des deux ardoisières se sépare lorsque J. Crenn reprend Kermanach et pas Le Cosquer dans les années 1960.