En 1838, l’ardoisière de Kergueffiat est exploitée par Grégoire Lavanant. Elle occupe quatorze ouvriers. Une route passe au sud de la carrière, elle est établie sur des déblais, qui eux sont sur un massif exploité. En 1840, il existe deux exploitations, distinguées par les termes : Kergueffiet bas et Kergueffiet haut, toutes à ciel ouvert. En 1841, la première est exploitée par Pierre Suignard et occupe 17 ouvriers. Tandis que Kergueffiet haut est exploitée par Martin Vasselet, avec 18 ouvriers. Elle est décrite comme dangereuse.
En 1848, l’ardoisière de Kergueffiat est exploitée par Pierre Suignard. En 1855, elle est exploitée par M. Rannou. Le 15 mai 1855 un accident provoque la mort du contremaître Jean Flochlay. Un caillou lui est tombé sur la tête. La partie en exploitation se trouve auprès d’un monceau de déblais provenant d’un ancien éboulement. Les déblais s’élèvent à environ 15 mètres de haut.
En 1861, M. Rannou exploite souterrainement alors qu’il l’a déclarée à ciel ouvert. En 1863, l’exploitation souterraine est interdite. Elle est cependant exploitée en 1864, toujours en souterrain. Elle sera ensuite reprise le 10 juillet 1872 et de nouveau abandonnée le 15 novembre 1872. En 1873, elle est reprise par François Jamet et la Veuve de François Rannou, de manière souterraine. A cette époque, dans la même parcelle, une des deux ardoisières est toujours exploitée à ciel ouvert, d’abord par François Rannou puis par sa veuve jusqu’en 1872.