En 1853, Mathias Le Menn exploite la carrière du Vieux-Pont-Caublant à ciel ouvert. Il demande à déposer des déblais dans un coude que forme la rivière. En 1854, il reçoit une contravention car un de ses ouvriers n’a pas de livret.
En 1857, elle est exploitée à ciel ouvert par les frères Henry et abandonnée en 1858. En 1865, elle rouverte de manière souterraine par Jean Dorval. Elle est décrite à cette époque comme étant une carrière très ancienne. En 1867, François Gourtay remplace Jean Dorval à la tête de l’exploitation, ce dernier étant devenu simple ouvrier.
Le 13 juillet 1878, deux ouvriers sont grièvement blessés après une rupture dans la chaîne d’ascension. Des poursuites ont été engagées contre l’exploitant, Jean Gourtay, pour le mauvais état des chainons.
Avant 1880, l’ardoisière est exploitée par François Dorval et Pierre Dormic. Le 9 octobre 1880, elle est inondée puis abandonnée. L’extrémité nord-ouest de l’exploitation est limitée par la maison de la veuve Cavellec.
Elle est reprise par Joseph ou François Mahé sans déclaration.