En 1863, l’ardoisière est exploitée à ciel ouvert par Noël Le Hénaff, à 22 mètres du chemin conduisant du Moulin Donant au village de Rumoal et à 45 mètres de la maison d’habitation du moulin. L’excavation mesure 6 mètres sur 5 mètres et 12 mètres de profondeur.
En juin 1866, elle est exploitée par Joseph Péron jusqu’en mars 1867, sur une parcelle appartenant à Michel Lohéac. L’excavation mesure alors 4 mètres de diamètre sur 10 mètres de profondeur. En 1867, elle est exploitée souterrainement par Henri Burlot, la parcelle appartenant toujours au même propriétaire.
En 1868, l’ardoisière de Moulin Donant est exploitée souterrainement par Guillaume Le Guillou. En 1870, elle est de nouveau exploitée à ciel ouvert par Emmanuel Parlier, à 9 mètres du moulin, à 4 mètres de l’habitation du meunier. Elle est considérée comme étant trop près de ces édifices, elle doit être reportée dans les parcelles précédemment utilisées (C 99 et 100). C’est une excavation circulaire ayant un diamètre et une profondeur de 5 mètres.
En 1874, une ardoisière est ouverte par Louis Moinec qui l’abandonne en mars 1877. Elle passe ensuite aux mains de Henry Burlot puis de Guillaume Le Guillou à partir du 1er juin 1882.
En 1874, une ardoisière est ouverte à ciel ouvert (C 93), sans déclaration. L’excavation se situe à 5 mètres seulement du chemin menant du moulin à Rumoal. Elle mesure 8 mètres de fond et est de forme circulaire de 3 à 4 mètres de diamètre. Plus loin vers l’ouest, la même veine a déjà été exploitée. L’exploitation est rapidement interdite.