Dossier d’œuvre architecture IA29133727 | Réalisé par
  • enquête thématique régionale
Village de vacances dit "Le Renouveau", actuellement Village Club du Soleil Beg-Meil, Hent Ty Nod (Fouesnant)
Œuvre étudiée

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Communes littorales de Bretagne
  • Commune Fouesnant
  • Lieu-dit Hent Ty Nod
  • Adresse
  • Dénominations
    village de vacances
  • Appellations
    Village Club du Soleil Beg Meil
  • Destinations
    centre de loisirs

Le village de vacances de Beg-Meil constitue un exemple exceptionnel d'architecture du XXème siècle, associée au tourisme social. Au-delà du caractère remarquable de son architecture, il témoigne d'une vision humaniste et communautaire qui émerge dans les années d'après-guerre.

Renouveau

La création du village est intimement liée à l’association Renouveau, fondée en 1954 par Pierre Lainé. Né en 1922 à Saint-Mandé, au sein d’une famille catholique, Pierre Lainé se destine d’abord à une carrière dans l’enseignement. En 1944, marqué à jamais par son internement dans le camp de travail de Duisbourg dont il sort libre mais bouleversé, il se forge la conviction qu’il faut "rassembler les hommes autour de valeurs humaines fondamentales".

C’est à Mieussy, en Haute-Savoie, que Pierre Lainé et son épouse Janine commencent à mettre en œuvre leurs idéaux spirituels et sociaux. Persuadés que les vacances pouvaient devenir un vecteur privilégié de transformations personnelles et collectives, ils y ouvrent une première maison familiale de vacances, fondement du projet Renouveau, dont Pierre rédigera le manifeste.

Durant la décennie suivante, l’association prend son essor en montagne, avec l’ouverture de Roc-Merlet à Courchevel (1954), puis de Roche-Béranger à Chamrousse (1961). Pour ce dernier projet, Pierre Lainé sollicite l’Atelier d’Architecture de Courchevel (AAC), dirigé par Denys Pradelle (1913–1999). Accaparé par d'autres projets, celui-ci confie l'étude à un groupe d’architectes collaborateurs, parmi lesquels figure Henri Mouette (1927–1995). Unis par une profonde spiritualité et par la conviction que l’architecture doit être mise au service de l’homme, Henri Mouette et Pierre Lainé nouent rapidement une amitié durable, fondée sur des valeurs chrétiennes communes et une vision partagée de l’engagement social.

De la montagne à la mer

Au début des années 1960, conscient de l’intérêt grandissant des familles pour les vacances en bord de mer, Pierre Lainé souhaite diversifier l’offre de l’association Renouveau. Deux adhérents bretons, Jean Le Duigou et Jacques Riouallec, plaident en faveur de la Bretagne. De cette impulsion naissent, en 1964, l’hôtel communautaire de Loctudy et le projet d’auto-restauration du village de Kernaou, à Crozon.

Le succès mitigé de ces premières initiatives convainc Pierre Lainé de la nécessité de concevoir un centre entièrement neuf, dont l’architecture serait à la hauteur des ambitions de Renouveau et incarnerait le passage symbolique de la maison familiale au village communautaire.

La recherche du terrain destiné à accueillir ce projet ambitieux est de nouveau confiée à Jean Le Duigou. Son choix se porte sur un marais rétro-littoral asséché situé à Fouesnant, commune dont le maire, Louis Le Calvez, est pleinement acquis à la cause de Renouveau.

C’est tout naturellement que la conception du futur village de Hent Ty Nod est confiée au trio formé par Henri Mouette et le couple d’artistes Pierre et Vera Székely, rencontrés à la maison du Roc-Merlet, avec lesquels Pierre Lainé a noué une profonde amitié. Cette collaboration, déjà éprouvée à la Roche-Béranger à travers la réalisation de décors de sol et de mur, trouve à Beg-Meil sa pleine expression.

Le village de vacances Renouveau à Beg-Meil est inauguré le samedi 13 juillet 1968. Une seconde tranche de logements (gîtes) est réalisée au nord du site en 1969 en parallèle de l'ouverture de la partie camping. En 1984, des aménagements intérieurs et extérieurs sont effectués, en plus de la construction d'une buanderie et l'installation de chauffage solaire. A l'occasion de ces travaux, des fresques attribuées à l'artiste Dominique Lassalle - seconde épouse de Pierre Székely - sont réalisées dans la salle de réunion et le couloir du bâtiment pour jeunes ménages.

L’originalité de cette architecture est saluée en 2006 par l’obtention du label « Patrimoine du XXe siècle » (aujourd'hui "Architecture contemporaine remarquable".

Le 13 novembre 2014, à la suite d'importantes difficultés financières, Renouveau Vacances, opérateur historique du tourisme social et solidaire créé en 1954, fusionne avec les Villages clubs du soleil, opérateur du même secteur, « par apport partiel d’actifs ». Le village vacances de Beg-Meil est racheté pour 1 euro symbolique et le montant des dettes accumulées.

En 2018, un important chantier de rénovation prévoit la modernisation (mobilier, connexions numériques) et la mise aux normes des hébergements, de l'accueil et des espaces communs (réfection de l'espace restauration et changement de son mobilier, restauration de la verrière du bâtiment d'accueil, création d'un bar dans l'ancien salon-bibliothèque). Le village vacances rouvre ses portes en juin 2018 après huit mois de travaux et un investissement de 4 millions d'euros. Une seconde phase de travaux de rénovation est prévue durant la période hivernale en 2024 puis 2025 (club enfant et salle de spectacle). Enfin, en 2026 est prévue l'installation de 50 unités d'habitation légères de loisir afin d'augmenter la capacité d'accueil du village.

A sa construction, le village s'étend sur trois hectares à 300 mètres de la mer et à deux kilomètres des habitations les plus proches. Un rideau de dunes et de pins le protège du vent. Il se divise en trois zones : la partie collective, les habitations et l'aire réservée au camping. La zone collective comprend la réception, une bibliothèque, un bar, deux salles de séjour, trois salles à manger, la cuisine, la salle de spectacle (comprenant elle-même une chapelle-méditorium, une galerie, un salon, une cabine de projection et une avant-scène mobile), l'atelier de bricolage, un pavillon réservé aux jeunes et un autre aux enfants.

La zone d'habitation se compose de 120 unités de logement. Tout d'abord, 75 unités familiales, comprenant deux chambres (cinq lits), un cabinet de toilette, w.-c. et placard. Ces unités sont groupées en rangées décalées, ce qui permet une attribution très souple des modules (dont certains sont communicants) en fonction de l'importance des familles. Ensuite, formant deux bandes partiellement accolées, 36 chambres à deux ou trois lits, avec toilette et placard réservées aux jeunes ménages. Cet ensemble est desservi par une galerie abritée, car ces chambres sont destinées à l'accueil de jeunes mères de famille venant hors saison avec leurs enfants en bas âge. Enfin, les logements du personnel : celui du directeur, qui se compose de cinq pièces, et huit autres analogues aux unités familiales types.

A sa construction, le village est prévu pour accueillir 600 vacanciers (dont 150 sur le terrain de camping attenant).

Le cercle comme principe

Là où de nombreux architectes auraient opté pour un vocabulaire folklorique, du moins régionaliste, Henri Mouette opte pour une écriture novatrice, en soutien des idées humanistes de Pierre Lainé. Pour donner à ressentir la vie communautaire, le parti pris architectural est celui d'un développement majoritairement horizontal basé sur la figure géométrique élémentaire du cercle. Symbole d'union et de fraternité, celui-ci se retrouve en plan, en ouverture, dans le mobilier et même en volume dans la forme des bâtiments : demi-sphère, quart de sphère ou portion de sphère.

Le plan masse s’ouvre au sud-ouest sur le déambulatoire : un vaste anneau de verre enroulé autour d’un noyau cylindrique regroupant secrétariat, bar et bibliothèque. Deux salons à l’usage des adultes flanquent ce premier volume sur ses faces est et ouest : déployés sous le volume de deux demi-sphères, ces pièces sont percées de trois cheminées cylindriques de diamètres différents. Les deux plus grandes servent de « canon à lumière » et la plus étroite de conduit pour la cheminée autour de laquelle se rassembler.

Plus au nord, à l’extrémité du déambulatoire, se trouvent les trois salles à manger prévues chacune pour 100 couverts. Leurs volumes, également en demi-sphères, s’interpénètrent pour ne former qu’un seul espace qu’éclairent des fenêtres circulaires et des lanterneaux semi-sphériques. Accolée à cet ensemble, la cuisine échappe partiellement au volume générique de la demi-sphère : son volume s’étire vers le ciel et se resserre en un volume de révolution ouvert à son sommet. Surmonté d’un dôme transparent, ce gigantesque puit de lumière n’est pas sans rappeler certaines cuisines médiévales qui, à l’instar de celle de l'abbaye de Fontevrault, tenaient toutes entière dans la cheminée.

Moins évident au premier abord, le cercle n’est toutefois pas absent du dessin des logements. L’ensemble est réalisé au moyen d’un alvéole type, dont la répétition à 120 exemplaires permet l’adoption d’un recours partiel à la préfabrication. En effet, ces alvéoles sont composées de refends de quinze centimètres d’épaisseur en béton banché (qui constituent les façades latérales) et sur lesquels reposent les quatre éléments semi-cylindriques préfabriqués formant la toiture. Chaque module est clos par la pose, à ses deux extrémités, d’un voile également préfabriqué et percé, côté chambre, d’une large fenêtre circulaire. Pour compenser la façade nord-ouest presque aveugle du pavillon réservé aux jeunes ménages, chaque cellule y est également dotée d’un lanterneau sphérique en plastique transparent, apportant une lumière naturelle aux sanitaires.

Des innovations constructives au service du projet d'architecture

Le projet architectural, ambitieux dans son programme et dans ses formes, a nécessité une profonde réflexion sur les techniques constructives. Le dilemme se pose en ces termes : comment réaliser des formes sphériques de la façon la plus rationnelle, la plus économique et la plus rapide ? Henri Mouette trouve la solution dans un insolite projet américain. En octobre 1964, dans le n°133 de la revue « Bâtir », paraît une étude sur la construction d’une station-service à Spring Hill en Floride. Commanditée par la compagnie pétrolière Sinclair Oil, la station prend la forme d’un gigantesque dinosaure de béton, symbole de la société. L’étrange édifice est réalisé par projection de béton sur un fin lattis métallique fixé à une armature. Le procédé, reconnu pour sa mise en œuvre économique, convainc Henri Mouette qui l’adopte pour Beg-Meil.

Le chantier exceptionnel s’avère un défi technique et requière de constants ajustements et un engagement admirable de la part des ouvriers. Chaque coque nécessite la mise en place d’arceaux métalliques arrimés à un mât central : cette structure provisoire supporte une résille à mailles rectangulaires en fer rond d'un centimètre de diamètre sur laquelle sont agrafées et ligaturées de fines feuilles de métal ductile disposées en diagonale. Deux couches successives de béton projeté sur l’extérieure de la demi-sphère en forment l’extrados. Sa prise permet de dégager la structure portative par l’intérieur avant d’y appliquer une troisième et dernière projection. Celle-ci porte à huit centimètres l’épaisseur totale de la coque et constitue l’intrados. L’ouverture laissée par le retrait du mât est comblée et un enduit d’intérieur à base de plâtre et de vermiculite garantit l’isolation thermique de la construction. L’extérieur de la coque est également peint à l’aide d’un enduit imperméable. Tout au long du processus, les emplacements des fenêtres rondes, des cheminées et des portes font l’objet de réserves et ne sont recouverts ni de plaques de métal ni de béton. Une fois la coque figée, le treillis métallique qui obstrue les percements est découpé et un châssis en aluminium est encastré en creux.

Le procédé de construction adopté pour le club des adolescents, le "Coquetier", s’écarte en partie du procédé employé dans l’exécution des coupoles à coque. Cette construction diffère par sa forme : elle s’élève sur deux niveaux et sa volumétrie se constitue de deux quarts de sphère se tournant le dos mais réunis par leurs sommets. L’ensemble évoque un sablier géant renversé et enterré de moitié. Sa construction débute avec la réalisation des fondations et des planchers du rez-de-chaussée et de l’étage ; puis, entre les deux planchers, sont disposées les ossatures en fer incurvées qui amorcent la courbure de la sphère. Le béton y est projeté pour consolider l’ensemble ; enfin, la calotte sphérique qui coiffe l’ensemble est réalisée selon le même procédé technique que les demi-sphères.

Le jardin d’enfants constitue une curiosité : l’exigence de créer une zone à la fois ouverte mais susceptible de s’adapter à la versatilité du climat finistérien ainsi qu’à son petit public, a incité l’architecte à imaginer une construction ondulatoire en anneau dont les hauteurs varient de 2 à 4,5 mètres. Les cavités qui en résultent s’adaptent à l’âge et la taille de chaque enfant. Cette forme particulière, percée d’une seule entrée et qui entoure une aire de jeux à ciel ouvert, se prolonge par un auvent. Là encore, la forme dicte le procédé constructif et celui-ci empreinte en tout point à la réalisation du club adolescents.

À travers ce projet, Henri Mouette poursuit sa réflexion à la fois originale et précurseur sur l’économie, l’écologie et la régulation climatique. Sa recherche de formes à surfaces minimales, tout comme l’attention portée à l’énergie solaire (puits de lumière, circulation de l’air chaud, etc.) inscrivent, avec un demi-siècle d’avance, Le Renouveau de Beg-Meil dans les grandes problématiques de notre époque.

Une architecture « éducative »

Le Renouveau de Beg-Meil est le fruit d’une collaboration étroite entre Henri Mouette, le sculpteur Pierre Székely et la peintre et céramiste Véra Székely. Pensée comme une œuvre collective, cette réalisation se veut à la fois plastique, sociale et pédagogique. Elle s’inscrit dans l’héritage de l’éducation populaire née en 1936, qui imprègne la culture touristique des Trente Glorieuses. Par cette construction, Renouveau, « association nationale de vacances, loisirs et culture populaire », vise à favoriser l’épanouissement, tant physique et qu’intellectuel, de chacun de ses visiteurs à travers une expérience de vie partagée dans un environnement stimulant.

Tout, dans ce village, est conçu pour favoriser le dialogue, la rencontre et la découverte collective. Ce parti pris s’enracine dans les convictions sociales chrétiennes qu’Henri Mouette partage avec Pierre Székely, grand nom de l’architecture-sculpture. Celles-ci guident leur vision du projet de Beg-Meil : l’ambition est d’amener enfants et adultes à faire connaissance, par le jeu, avec l’architecture et la sculpture contemporaine. C’est dans cette optique qu’ils imaginent un lieu vivant, où chaque détail - des formes aux matériaux, des couleurs aux usages - participe d’une pédagogie sensible.

L’organisation du site témoigne de cette attention aux usages et aux rythmes de vie. Le plan masse articule des espaces différenciés, pensés pour chaque tranche d’âge. Le jardin d’enfants et le club pour adolescents, proches des habitations mais en retrait des lieux collectifs, permettent aux parents de confier facilement leurs enfants. Les adultes peuvent ensuite rejoindre les activités qui leur sont destinées dans un bâtiment situé face au pavillon d’accueil, de l’autre côté de la place centrale. Ce lieu, coiffé d’une toiture en arche écrasée et flanqué de deux demi-cylindres, accueille des ateliers manuels, artistiques ou sportifs. En plus des activités artistiques et sportives, les « villageois » sont invités à s’ouvrir à leur environnement. Guidés jusqu’à la grève toute proche, ils découvrent le monde maritime et ramènent poissons et crustacés pour peupler les aquariums de l’atelier.

L’architecture elle-même devient support d’apprentissage. L’architecture des « maisons bulles », emblématiques du site, explorent les libertés formelles offertes par le voile de béton projeté. Novatrice dans les années 1960, elle incarne une vision ludique et expérimentale de l’habitat. Cette architecture-sculpture, chère à Székely, ne cherche pas à s’imposer, mais à éveiller la curiosité, à provoquer l’imaginaire, à faire dialoguer l’usager avec l’espace.

À cette dimension sculpturale s’ajoute les travaux picturaux de Vera Székely puis de Dominique Lassalle, omniprésents dans tout le village. Couleurs vives dans les menuiseries, vitraux-verrière du déambulatoire et du club adolescent, fresques murales sur fond blanc (1984) : l'œuvre de ces deux femmes joue un rôle essentiel dans cette pédagogie sensorielle et encourage les liens entre les vacanciers. Dans les logements en bande, une série de dessins réalisée par Vera Székely - aujourd'hui disparus - répartis sur les portes des alvéoles forme un récit à reconstituer en circulant de chambre en chambre. Dans la salle de spectacles, une immense fresque inspirée de l’univers sous-marin (attribuée à Dominique Lassalle) invite à une rêverie collective.

  • Murs
    • béton
  • Typologies
  • État de conservation
    inégal suivant les parties
  • Techniques
    • sculpture
    • peinture
  • Précision représentations

    Parmi les décors encore en place figurent :

    - la sculpture "Danse solaire", conçue par Pierre Székely pour le centre Renouveau de Roche-Béranger à Chamrousse et déménagée à Beg-Meil en 2006, lors de la vente de l’établissement haut-savoyard ;

    - les fresques "Renouveau sous-marin" et "Neptune", réalisées par Dominique Lassalle (épouse Székely) en 1984, ornant respectivement l'intérieur de la salle de spectacle et le couloir principal du pavillon pour jeunes ménages (actuel bâtiment Millepertuis).

  • Statut de la propriété
    propriété d'une société privée, Le village vacances Renouveau de Beg-Meil appartient actuellement à la société Villages Clubs du Soleil dont le siège social se situe à Marseille.
  • Protections
    Label Architecture Contemporaine Remarquable, 2006

Documents d'archives

  • Centre d'Archives d'Architecture contemporaine. Fonds : Dossiers d'œuvres de la direction de l'Architecture et de l'Urbanisme (DAU). Clichés Cardot et Joly : 133 IFA 195/1.

    Centre d'Archives d'architecture contemporaine : 133 IFA 195
  • Centre d'Archives d'Architecture contemporaine. Fonds : Dossiers d'œuvres de la direction de l'Architecture et de l'Urbanisme (DAU). Extrait de la revue Architecture d'Aujourd'hui n°160 : 133 IFA 195/1.

    Centre d'archives d'architecture contemporaine : 133 IFA 195
  • Centre d'Archives d'Architecture contemporaine. Fonds : Dossiers d'œuvres de la direction de l'Architecture et de l'Urbanisme (DAU). Henri Mouette : presse, correspondance, photographies. 250 IFA 24/3.

    Centre d'archives d'architecture contemporaine : 250 IFA 24/2-3
  • A. D. Finistère. Série W. Village vacances Renouveau Beg-Meil : dossier de subvention. 233 W 36.

    Archives départementales du Finistère : 233 W 36
  • Archives départementales du Finistère. Série W (115W354). Renouveau, projet de construction (1968-1969) : plans, coupes, façades, approbation technique, notes explicatives.

    Archives départementales du Finistère : 115 W 354

Bibliographie

  • Le Couédic Daniel, « Le village Renouveau de Beg Meil : une pastorale hédoniste », in Mémoires de la Société d’Histoire et d’Archéologie de Bretagne,T. XCVII, 2019, p. 439-466.

  • DIEUDONNE, Patrick, Bretagne, un siècle d'architectures, Dinan : éditions Terre de Brume, 2001, 256 p.

    Région Bretagne (Service de l'Inventaire du patrimoine culturel)
  • BONNET, Philippe, LE COUÉDIC, Daniel. Architectures en Bretagne au XXe siècle. Quimper : éditions Palantines, 2012. 396 p. ISBD 978-2-35678-070-6.

    Archives municipales de Saint-Brieuc : 2T27
Date(s) d'enquête : 2024; Date(s) de rédaction : 2024