L'édifice a fait l'objet d'une première étude en 2002 par Elise Lauranceau dans le cadre d'une opération topographique. L'étude est complétée en 2024 par Sébastien Chauvel dans le cadre de l'opération thématique régionale portant sur l'architecture urbaine en pan de bois.
- inventaire préliminaire, Combourg
- enquête thématique régionale, Architecture urbaine en pan de bois
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Ille-et-Vilaine - Combourg
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Commune
Combourg
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Adresse
2 rue Sainte-Barbe
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Cadastre
1982
AL 38 à 40
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Dénominationsmaison
Plusieurs documents du 19e siècle, issus du fonds Joseph des Bouillons (AD35, 4J) mentionnent cette maison avec un « porche ». En 1610, la zone dite du « bas-bourg » où elle se situe subit un incendie majeur. La plupart des édifices de cette partie de Combourg semblent être postérieurs à cet épisode, ce qui est probablement le cas pour cette maison par ailleurs fortement remaniée.
Le nom de la rue est étroitement lié à la sainte protégeant contre les incendies, Sainte Barbe, dont on retrouve des statues sur plusieurs façades du bas-bourg. Cela conforte l’hypothèse que la maison et son porche ne soient pas antérieurs à 1610.
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Période(s)
- Principale : 2e moitié 17e siècle , (incertitude)
- Principale : 2e moitié 19e siècle , (incertitude)
L’édifice se compose d’un logis principal maçonné, pourvu au Nord d’un porche en pan de bois et accolé au Sud d’un garage. Au rez-de-chaussée de la façade Ouest, les ouvertures sont surmontées d’arcs de décharges en briques. La façade Est donne sur la cour dite de l’Epas et comporte une galerie couverte en bois, permettant d’accéder à l’étage du logis.
Le porche a une profondeur d’environ 3 mètres et une longueur de 6,85 mètres. Il repose sur trois poteaux en bois sur des dés en granite. Le poteau de l’angle Ouest semble plus récent que les deux autres avec une hauteur différente. Des aisseliers soutiennent la sablière et comportent des marques d’assemblage. Cette configuration est similaire à des porches de la Guerche-de-Bretagne (n°7, rue du Cheval Blanc et n°14, rue d’Anjou). Au rez-de-chaussée, la façade ouvrant sur le porche a été comblée par un pan de bois du 20e siècle avec un hourdis de briques. Le pan de bois de l’étage est protégé par un essentage de bardeaux pour la façade Ouest et Nord alors qu’à l’Est, il s’agit d’un enduit imitant de la pierre de taille.
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Murs
- granite grand appareil
- grès moellon
- brique
- bois pan de bois essentage de bardeaux
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Toitsardoise
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État de conservationremanié
Données complémentaires architecture IP35
- DENO
- HYPOI sans objet
- HYPOE
- PHYPO
- STYL
- NOTA
- MURS1 granite ; moellon
- MURS2
- SCLE1 2e moitié 17e siècle (?) ; 2e moitié 19e siècle
- IMPA
- CBATI
- IMBATI
- PERP
- ESPAL
- PASSAGE
- ESPAP
- DISTRIB
- ORDO
- ELEV
- ETAG
- COMBLE
- MOUV
- RDC
- ACCESA
- ACCESP
- NATUA
- FACCES
- FAXE
- FETAG
- FOUV
- IAUT sans objet
- ICHR typicum
- IESP typicum
- ICONTX intégré
- PINTE
- SEL repéré
- TYPVIL
- TYPECA
- POSECA
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Statut de la propriétépropriété privée
- (c) Conseil général d'Ille-et-Vilaine
- (c) Conseil général d'Ille-et-Vilaine
- (c) Collection particulière
- (c) Inventaire général, ADAGP
- (c) Région Bretagne
- (c) Région Bretagne
- (c) Région Bretagne
- (c) Région Bretagne
- (c) Région Bretagne
- (c) Région Bretagne
- (c) Région Bretagne
- (c) Région Bretagne
- (c) Région Bretagne
- (c) Région Bretagne
- (c) Région Bretagne
Chargé d'études stagiaire au service de l'Inventaire en 2024
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