Le manoir, où l'on voyait selon P. Banéat un portail, une fuie -un pigeonnier- et des douves, a été détruit vers 1880. Il conserve cependant une vaste étable remaniée à l'est ; un cellier, exposant en remploi une tête d'ange en pierre calcaire, construit en terre à l'ouest, ne figure pas sur le cadastre de 1819. Celui-ci contient des cuves à cidre en béton armé construites vers 1925 par l'entreprise Novello de Rennes ; elles sont semblables à celles conservées au manoir de la Havardière.