D'après la tradition orale, le logis était composé de deux pièces à feu juxtaposées : la cuisine est ouverte d'une porte centrale et de deux fenêtres et la chambre d'une porte et d'une fenêtre. Il y avait un four et un puits dans la cour. Ils ont actuellement disparu. Sur le cadastre napoléonien de 1827, nous constatons qu'il s'agissait à l'origine de deux logis à pièce unique, possédant chacun un appentis latéral. Seul celui à l'ouest persiste encore aujourd'hui. Les soues à cochons n'existait pas au début du 19e siècle.