Le logis était vraisemblablement composé de deux pièces à feu, chaque pièce étant ouverte d'une porte et d'une fenêtre. A l'ouest, se trouvait un cellier et à l'extrémité il y avait le fournil (la culée est encore visible). Le cadastre napoléonien mentionne bien une ferme organisée suivant un plan en U. Seules la porcherie et la fourragère ne sont pas signalées. Cette dernière est une aire à battre mécanisée. Le moteur tracté pas des chevaux se situe dans l'avancée à toit polygonal ; la force mécanique est transmise par des axes dans le bâtiment principal où se trouvait la batteuse. Ce système à traction animale, diffusée par des traités d'agriculture au cours du Second Empire, constitue un premier état de la mécanisation du battage.