Comme sa voisine à l'est, la maison est amputée d'une moitié de son volume comme le suggère la présence des portes jumelées dont l'une ouvre sur un vide ; elle a fait l'objet d'un réaménagement contemporain mais conserve toutefois la date possible de sa construction - quoique tardive compte tenu de la forme en plein cintre des portes - en 1785. Le cadran solaire expose en latin une sentence assez habituelle en la circonstance : vulnerant omnes ultima necat - toutes (les heures) blessent, la dernière tue - toutefois cet objet présente des chiffres dans une graphie moderne qui ne peuvent être aussi anciens que la maison ; la comparaison du 5 et des 7 aux chiffres de la date gravée sur le linteau de la fenêtre est éloquente.