La construction de cette maison est datable de la seconde moitié du 19e siècle. Aucun bâtiment n'existait à cet emplacement en 1835, lorsque le premier cadastre de la commune a été réalisé. Ce bâtiment abritait une pièce à feu unique au rez-de-chaussée, surmontée d'un grenier. Ce bâtiment fait partie de l'écart de la Roche Blanche qui a la particularité d'être divisé en deux par la limite de la commune de Saint-Thual avec celle de Trévérien. Ainsi, les constructions situées au nord de la route appartiennent au territoire de la commune de Trévérien.