Dossier thématique IA35132846 | Réalisé par
Marazanof Anna (Contributeur)
Marazanof Anna

Elève-conservatrice du patrimoine (INP - promotion Champollion) en stage au service de l'Inventaire du patrimoine de Bretagne du 19 aout au 20 décembre 2024.

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  • enquête thématique régionale
Les patrimoines liés à l'histoire toilière des Iffs

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aires d'études
    Les iffs

Présentation

 Du 17e au 18e siècle, la Bretagne s’affirme comme l’une des grandes provinces toilières françaises, avec des productions intégrées dans un vaste réseau commercial européen et atlantique. Organisée en manufacture dispersée, l’industrie toilière bretonne était principalement domestique et rurale. Importées depuis les pays baltes par les ports de Roscoff et de Dinan, les graines de lin sont distribuées par cabotage sur la côte nord et cultivées dans l’arrière-pays. La matière première est ensuite acheminée vers les zones de filage et de tissage. Les espaces de production sont complémentaires quand ils ne sont pas mixtes.  

À la base de cette chaîne de production, les tisserands et les fileuses, souvent cultivateurs ou journaliers, vivaient disséminés dans la campagne. Ils constituaient une main-d’œuvre abondante et peu coûteuse, qui contribua à la solidité de cette industrie. Le tissage et le filage constituaient pour eux des compléments de revenus durant les périodes creuses de chômage et d’hiver. À l’autre bout de cette chaîne, les marchands achetaient le fil et la toile sur les marchés pour les revendre en gros aux négociants, générant ainsi l’essentiel des profits. 

Ces disparités sociales se reflètent dans le patrimoine bâti. Si les modestes habitations des paysans-tisserands, ont souvent disparu, les demeures imposantes des marchands témoignent de leur richesse. Le plus souvent construites en granite, avec des éléments en pierre de falun, elles se distinguent par leurs aménagements de qualité et leur décor, symboles de réussite sociale. Ces bâtiments reflètent l’impact économique majeur de cette activité, où de faibles coûts de fabrication profitaient largement aux marchands.

 Si une grande partie du territoire breton est concernée par l’activité toilière, la production de certaines zones reste mal connue. C’est le cas du pays de Bécherel et des Iffs. Située entre Dinan et Rennes, la commune, lié à Saint-Brieuc-des-Iffs jusqu’à leur séparation en 1820, présente, faute de sources suffisantes, un patrimoine difficile à lier avec certitude à l’histoire toilière bien que témoin d’une prospérité passée.

 En 2024, 42 « villages » ont été recensés sur la commune lors de la labellisation « commune du patrimoine rural de Bretagne ». Pour la présente étude, parmi ces éléments bâtis, 25 ont été retenus (3 maisons du bourg et 22 maisons dispersées dans la campagne, isolées ou regroupées en écarts) et 3 maisons ont fait l’objet d’un dossier illustré et documenté. 

 

Les Iffs, commune au coeur du Pays de Bécherel

La Bretagne se distingue par la spécialisation de zones de production, souvent complémentaires : zones de culture et de transformation du lin et du chanvre, zones de fabrication et de commerce des fils et des toiles, ports d’exportation. La commune des Iffs occupe une zone de production mixte où l’on cultive et transforme lin et chanvre et où l’on fabrique également des toiles et surtout du fil.

Rattachée à l’évêché de Saint-Malo, principal port d’exportation des toiles bretonnes, la commune semble avoir bénéficié de cette proximité et de celle de Dinan, avant-port de Saint-Malo. Saint-Malo exportait des toiles vers l’Angleterre, l’Espagne, le Portugal et l’Amérique latine, générant des fortunes considérables. Selon les écrits de Pinczon du Sel des Monts, industriel du 18e siècle, les négociants malouins, grâce à leur quasi-monopole sur les exportations de toiles (toiles d’emballage, toiles à voile et toiles de lin dites « bretagnes »), accumulèrent d’immenses richesses, investissant massivement dans les terres. 

 La commune des Iffs bénéficiait également de sa proximité avec les grandes voies commerciales reliant Rennes à Saint-Malo. Rennes, centre manufacturier de premier plan, possédait au XVIIe siècle trois manufactures spécialisées, notamment dans le fil retors pour coudre. D’après l’intendant Béchameil de Nointel (1698), ces fils, produits et teints à Rennes, provenaient des paroisses autour de Bécherel, où le tissage et la culture du lin étaient étroitement liés. Il est probable que les Iffs aient participé à cette industrie en fournissant des matières premières et des fils, ensuite exportés vers Paris, Rouen et d’autres grandes villes du Royaume et jusqu’aux Amériques. En temps de paix, le commerce des fils teints rennais atteignait une valeur de près de 300 000 livres par an, et une partie était vendue à l’étranger, notamment en Espagne et en Angleterre.

 

La culture et le filage du lin : une activité locale structurante

 Le Pays de Bécherel est réputé pour son activité mixte, de culture du lin et du chanvre. Cependant, il semble que ce soit la culture du lin et la fabrication de fils de lin qui aient joué un rôle central dans l’économie des Iffs. En 1790, le compte du recteur de la paroisse atteste de la présence de deux milliers de lin en bois, estimés à 8 livres le cent, et décrit les étapes de sa transformation, notamment le rouissage et le séchage sur les prés. La commune, rattachée à l’arrondissement de Montfort et au canton de Bécherel, s’inscrit dans une région où l’activité mixte lin-chanvre s’est progressivement spécialisée dans la culture du lin, alimentant un commerce prospère.

 Bécherel était une place commerciale reconnue pour ses fils blancs à coudre, appelés « fils de Bretagne » ou « fils de forêt ». Ces fils, produits à partir de matières premières issues des paroisses environnantes, étaient ensuite blanchis à Paimpont ou teints à Rennes avant d’être exportés en France et à l’étranger. Le rapport de l’Intendant Béchameil de Nointel confirme la renommée de ces fils, qui participaient à la prospérité régionale.

 Le patrimoine des Iffs corrobore cette hypothèse, notamment avec la présence, à Saint-Brieuc-des-Iffs (fusionnée avec les Iffs jusqu’en 1820), de l’un des rares fours à chanvre connus en Ille-et-Vilaine. Conçu pour sécher le chanvre avant son teillage, il témoigne d’une zone de culture mixte. La commune voisine de Cardroc, quant à elle, était réputée pour son nombre de tisserands. Une anecdote locale raconte qu’après la Première Guerre mondiale, le dernier tisserand du pays de Bécherel brûla son métier sur la place du village de Cardroc, marquant la fin de cette activité.

 

Le commerce du fil, source de prospérité 

 Le commerce et l’exportation des fils, du 15e siècle à la Révolution, a assuré une prospérité solide à la région et sans doute aux Iffs. Le commerce se faisait sur les marchés et les foires de la Province. C’est le cas de Bécherel qui dès le 15e siècle avait à la fois un marché de fil et de lin chaque lundi et une foire textile mensuelle. Les Iffs disposaient également de leur propre foire annuelle, organisée à Mardi Gras, et participaient probablement à d’autres événements régionaux, tels que la foire de Romillé, spécialisée dans les « runbelowe canvas » (déformation du nom de Romillé pour désigner les toiles fabriquées dans le pays de Bécherel et de Tinténiac).

 Les registres paroissiaux des Iffs mentionnent plusieurs marchands filandiers ou marchands de fils, corroborant l’importance de ce commerce pour la commune. Au 17e siècle, des figures comme Guillaume Denoual, Michel Guédé et Gilles Herrisson sont identifiées, tandis qu’en 1799, Pierre Houitte, adjoint au maire, exerce à la fois comme cultivateur et marchand de fils. Ces marchands, acteurs essentiels de la filière, incarnaient le dynamisme économique de la commune.

 

Des toiles de natures différentes suivant les époques

 Aux 16e et 17e siècles, le Nord de la Haute-Bretagne, incluant la subdélégation de Montfort, se distingue par la fabrication de « canevas » en chanvre, principalement utilisés comme toiles d’emballage. La qualité des toiles du pays de Bécherel et de Tinténiac leur confère une renommée qui s’étend jusqu’en Europe du Nord et en Russie. Les grosses toiles produites localement étaient vendues sur les marchés régionaux. Les tisserands, souvent isolés, travaillaient pour répondre aux besoins domestiques locaux ou aux demandes des marchands qui achetaient les toiles sur place ou sur les marchés pour les revendre ensuite aux négociants qui les exportaient, participant à une économie régionale prospère.

 Au 18e, le Mémoire de l’Intendant Jean-Baptiste des Gallois de la Tour (1733) précise que le lin et le chanvre étaient cultivés dans la région sans payer de droits, puis transformés directement sur place. Les fileuses et tisserands fabriquaient des toiles en lin ou en chanvre (pour les plus modestes) destinées à l’usage ménager ou au commerce local. Comme pour les fils, le tissage se faisait par les gens du pays qui étaient en même temps ouvriers et cultivateurs. Il semble que la commune des Iffs soit concernée par ces toiles d’usage et de ménage. 

 L’enquête de 1852 sur la culture du lin et du chanvre en Ille-et-Vilaine montre que cette activité, autrefois florissante, décline fortement au 19e siècle. Le lin est employé et mis en œuvre pour les besoins de la famille. Dans le canton de Bécherel, seuls quelques communes comme Cardroc, Romillé et Irodouër maintiennent une petite production commerciale, principalement pour les toiles d’emballage. Aux Iffs, bien que la commune ne produise plus de chanvre, elle cultive encore 1,5 hectares de lin, produisant environ 600 kg de filasse et 8 hectolitres de graines. En 1836, la commune comptait encore 13 fileuses, 6 tisserands et 2 marchands pour 480 habitants. 

 La Première Guerre mondiale marque la fin définitive de cette activité. Entre 1900 et 1914, le nombre de cultivateurs de lin dans la commune fluctue entre 2 et 6. Cette évolution confirme que, si les Iffs ont connu une économie florissante au 17e et 18e siècle grâce à la culture du lin et à la fabrication des fils, leur production de toiles était principalement limitée aux usages domestiques et aux toiles grossières.

 

Les Iffs : un héritage ancien

 Les données fiscales, comme le rôle de capitation de 1718, témoignent de la prospérité d’une partie des habitants des Iffs à cette époque. Parmi les 11 marchands recensés, certains payaient jusqu’à 14 livres de capitation, un signe de richesse significatif. On dénombre également 17 laboureurs ou personnes vivant de leurs rentes, ainsi que 36 artisans, dont certains s’acquittaient de 7 livres de capitation. Ces indices confirment la présence d’une population relativement aisée dans la commune, dont l’empreinte est encore perceptible dans le patrimoine local.

 Le cadastre de 1827 offre peu d’éléments directs sur l’industrie toilière aux Iffs, mais certains indices méritent attention. Trois ruisseaux traversent la commune d’Est en Ouest, et quatre parcelles correspondent à des étangs, souvent en lien avec des maisons situées à proximité, comme la Boulais, la Basse Billiais ou Champ Breton. Des microtoponymes, tels que « les marres », « le fossé » ou « la fontaine », peuvent également évoquer des pratiques liées au rouissage du lin et du chanvre.

 Le patrimoine religieux de la commune reflète également cette prospérité. L’église Saint-Ouen, construite au 15e siècle, aujourd’hui classée au titre des monuments historiques, a bénéficié de plusieurs embellissements au cours des siècles suivants grâce à la générosité des habitants. Parmi ses trésors, les retables des autels latéraux datent du 17e siècle et la richesse des vitraux retient l’attention. L’un d’eux, représentant Sainte Barbe, porte un cartouche daté de 1536 mentionnant « M.G. Denoual et Guion du Chesne, trésoriers, firent faire cette vitre ». La famille Denoual, installée aux Iffs dès le 14e siècle, comptait plusieurs membres marchands-filandiers ou négociants, témoignant ainsi de l’influence probable des marchands dans le financement du patrimoine religieux local. 

 L’habitat rural reflète également la prospérité de la région. La majorité des maisons, datées grâce aux inscriptions présentes sur les façades ou les linteaux des cheminées, remonte principalement à la période comprise entre le milieu du 16ᵉ et le 18ᵉ siècle, considérée comme l’âge d’or de l’industrie toilière bretonne. Durant cette période, la culture du lin et du chanvre, ainsi que le commerce des fils et des toiles, constituaient une source majeure de richesse pour les habitants. Certaines habitations témoignent de l’aisance d’une classe rurale enrichie par ces activités. Elles sont fréquemment implantées à proximité des ruisseaux ou des grands chemins de la commune, un positionnement stratégique. 

 Ces maisons se distinguent par la diversité des matériaux utilisés et la variété de leur mise en œuvre. Les façades sont généralement en moellons équarris de granite, avec un moellon irrégulier au rez-de-chaussée, souvent complété par de la terre à l’étage. La pierre de falun est couramment employée pour les éléments décoratifs tels que les corniches à modillons, les souches de cheminée, les lucarnes ou les rampants de pignon. La brique et la tuile plate, quant à elles, sont utilisées pour le manteau et l’âtre des cheminées ainsi que pour les toitures.

 Cet habitat est remarquable par son ancienneté avec huit exemples datés du 16ᵉ siècle et deux vestiges du 15ᵉ siècle (maison située 12 place de la mairie et La Basse Forêt). Les maisons des 16e et 17e siècles possèdent des aménagements et des décors récurrents : portes jumelées à double cintre, corniches à modillons, souches de cheminées décorées, fenêtres protégées par des grilles en fer forgé ouvragées, cheminées à linteau en bois et piédroits en granite sculptés de têtes et surmontées de hottes en brique. D’autres aménagements typiques incluent des vaisseliers en pierre intégrés dans un mur, souvent situés face aux cheminées. L’organisation intérieure de ces maisons varie, bien qu’un modèle se démarque comme le plus courant et ancien. Il s’agit de maisons à deux pièces au sol, chacune accessible indépendamment de l’extérieur, surmontées soit d’un haut comble à surcroît avec porte(s) haute(s) (cf. Le Champ Breton, La Porte du Parc, Le Grand Chemin), soit d’un étage carré habitable (cf. La Boulais, La Brosse, La Basse Forêt). Dans certains cas, l’étage est à usage mixte de grenier et de chambre (cf. La Basse Billiais, La Toutenais). Le rez-de-chaussée comprend deux pièces à feu (salle et cuisine) ou une pièce à feu qui communique, ou pas, avec une pièce sans feu dont l’usage n’est pas déterminé et a pu varier dans le temps. Une variante à trois pièces au sol, de plan très allongé, avec ou sans chambres à l’étage, est également répandue aux 16ᵉ et 17ᵉ siècles (cf. La Forêt, La Caulnais, Le Perray, La Gohardais, Le Bout du Bois). Du 16e au 18e siècle, dans le monde rural, le fait d’avoir un étage habitable est un signe de notabilité et d’aisance. Au cours du 18e siècle, les décors tendent à se simplifier, puis disparaissent progressivement (cf. 1 rue de l’Ancienne Ecole, La Porte du Parc).   

 Enfin, le lien entre les Iffs et l’histoire toilière apparaît également dans son patrimoine culturel immatériel. Le conte de la Fontaine Saint-Fiacre, rapporté par Adolphe Orain en 1897, illustre cette relation. Selon l’histoire, un cultivateur négligent avait mal roui son lin, laissant les fibres flotter à la surface. Saint-Fiacre, passant par-là, s’assit sur le lin pour le faire tremper correctement. Bien que tardif, ce récit montre l’importance symbolique de l’industrie toilière dans la mémoire collective de la commune.

 Aux Iffs, l’industrie toilière a marqué de façon durable le patrimoine, tant bâti qu’immatériel. La qualité et l’ancienneté des maisons témoignent de la prospérité qu’elle a apportée aux marchands locaux, dont l’aisance se reflète dans l’architecture des demeures. Cette histoire, intimement liée à la culture du lin et du chanvre, au commerce des fils et à la production de toiles, ancre la commune dans la mémoire de la Bretagne toilière.

  • Période(s)
    • Principale : limite 15e siècle 16e siècle, 16e siècle, 17e siècle, 18e siècle

Documents d'archives

  • Mémoire concernant la fabrique et le commerce des différentes toiles comprises dans le règlement du 22 mai 1736. AD 35. C 3929

    Archives départementales d'Ille-et-Vilaine : C 3929
  • Rapport de l'intendant Béchameil de Nointel pour l'instruction du duc de Bourgogne, 1698. AD 35. 1F1004

    Archives départementales d'Ille-et-Vilaine : 1F1004
  • Culture du lin et du chanvre Instructions; enquête département et arrondissements, 1853 à 1907. AD 35. 7M134

    Archives départementales d'Ille-et-Vilaine : 7M134
  • Culture du lin et du chanvre Instructions; enquête département et arrondissements, An IX à 1852. AD 35. 7M133

    Archives départementales d'Ille-et-Vilaine : 7M133
  • Culture du lin et du chanvre Instructions; enquête département et arrondissements, 1913 à 1939. AD 35. 7M135

    Archives départementales d'Ille-et-Vilaine : 7M135
  • Statistiques industrielles et commerciales d'Ille-et-Vilaine, état général du nombre d'individus occupés dans les fabriques et manufactures de diverses communes du département, 1812. AD 35. 6M1002

    Archives départementales d'Ille-et-Vilaine : 6M1002
  • Foires et marchés, dossiers par communes : les Iffs, 1881 à 1883. AD 35. 8M73

    Archives départementales d'Ille-et-Vilaine : 8M73
  • Compte de Monsieur le Recteur des Iffs et de Saint-Brieuc, 28 novembre 1790. AD 35. 1Q822

    Archives départementales d'Ille-et-Vilaine : 1Q822
  • Cadastre napoléonien - État de sections des propriétés des Iffs, 1827. AD 35. 3P1243

    Archives départementales d'Ille-et-Vilaine : 3P1243
  • Recensement de la population - Les Iffs, 1836 à 1876. AD 35. 11NUM35134

    Archives départementales d'Ille-et-Vilaine : 11NUM35134
  • Rôles de capitation de la commune des Iffs, 1718. AD 44. B3598 (ADLA)

    Archives départementales de Loire-Atlantique : B3598 (ADLA)
  • Rôles de capitation de la commune des Iffs, 1739. AD 44. B3602 (ADLA)

    Archives départementales de Loire-Atlantique : B3602 (ADLA)

Bibliographie

  • SEE, H. L'industrie et le commerce de la Bretagne pendant la première moitié du 18e siècle d'après les mémoires de l'intendant Gallois de la Tour. Rennes : Plihon et Hommay, 1922. 47 p.

  • Pinczon du Sel des Monts. Considérations sur le commerce de Bretagne. [Rennes] : Impr. J. Vatar, [1756].

    [En ligne] : https://bibliotheque.idbe.bzh/ViewerJS/#../data/cle_141/https://bibliotheque.idbe.bzh/ViewerJS/#../data/cle_141/ConsidArations_sur_le_Commerce_de_Bretagne.pdf

    Bibliothèque des Champs Libres (Rennes)
  • Duval, Michel. Foires et marchés en Bretagne à travers les siècles. [S. l.] : Éditions Breizh, 1982.

    Région Bretagne (Service de l'Inventaire du patrimoine culturel)
  • BANEAT, Paul. Le département d'Ille-et-Vilaine, Histoire, Archéologie, Monuments . Rennes : J. Larcher, 1929. Tome II

    Région Bretagne (Service de l'Inventaire du patrimoine culturel)
  • Launay, Roger. Les Iffs et Montmuran : fragments d’histoire locale. [S. l.] : [s. n.], 2002.

    Bibliothèque des Champs Libres (Rennes)
  • Le patrimoine des communes d'Ille-et-Vilaine. Paris : Flohic Editions, 2000. (Collection Le Patrimoine des communes de France).

  • Meyer, Jean. Le Pays de Bécherel. Rennes : Éditions Ouest-France, 1978.

    Bibliothèque des Champs Libres (Rennes)

Périodiques

  • Sée, Henri. « L’industrie rurale des toiles en Ille-et-Vilaine au XIXe siècle ». In : Mémoires et documents pour servir à l’histoire du commerce et de l’industrie en France, sous la direction de Julien Hayem. Paris : Hachette, 1926, p. 129-148.

    Archives départementales d'Ille-et-Vilaine : 50 BI 698
  • Rioult, Jean-Jacques. « Maisons de marchands et maisons de tisserands en Haute Bretagne : l’exemple du pays de Bécherel ». Maisons paysannes de Bretagne, no. 6, Tiez Breiz, 1986.

Date(s) d'enquête : 2024; Date(s) de rédaction : 2024
(c) Région Bretagne
Marazanof Anna
Marazanof Anna

Elève-conservatrice du patrimoine (INP - promotion Champollion) en stage au service de l'Inventaire du patrimoine de Bretagne du 19 aout au 20 décembre 2024.

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