En 1857, l’ardoisière est exploitée à ciel ouvert par Jean-Marie Gergaud, il veut passer au souterrain. Il occupe la carrière n°1 sur le plan. Plan datant de 1857
Le curage et l’épuisement se fait par un treuil mis en mouvement par deux hommes. Ils utilisent en alternance le bassicot et la barrique d’eau. Quand il y a trop d’eau en hiver, il exploite la carrière n°3, peu profonde. Le curage s’y fait à force des bras. Une galerie souterraine est projetée (en rose) pour l’épuisement et le curage de la carrière. Il emploie 9 ouvriers au total.
L’excavation mesurait 4 mètres sur 2,70.
En 1858, M. Gergaud a reçu l’autorisation d’exploiter souterrainement.
En 1894, une des ardoisières est exploitée par MM. Le Borgne (Jean), Sylvestre (Olivier) et Le Borgne (Joseph) tandis qu’une autre l’est par Jean-Louis Petuo, Julien et Pierre Le Moine.
En 1895, une des ardoisières est reprise par divers carriers à ciel ouvert.
En 1899, M. Cato reprend une ancienne carrière.