Ces longs terrains de lande et de sous-bois ont accueilli de nombreuses ardoisières.
En août 1861, M. Billy reçoit l’autorisation d’exploiter à ciel ouvert, sur un terrain appartenant à Julien Trégouet et à Mathurin Marot.
Le 20octobre 1864, Pierre-Marie Besnard déclare l’ouverture d’une ardoisière à ciel ouvert. Le propriétaire du terrain est M. Guiho. L’ardoisière se situe à l’ouest d’une autre excavation que M. Besnard a abandonné à 16 mètres de profondeur. Il emploie 5 ouvriers.
Le 14 mai 1868, M. Davoine déclare l’ouverture d’une ardoisière sur la lande de Pirrieux. Le terrain appartient à Anne-Marie Pablet, veuve de Joseph Gloux et elle le loue d’après un bail passé chez le notaire Armand Le Blanc de Sérent, datant du 17 juillet 1867. Cette ardoisière doit employer entre 6 et 8 ouvriers.
En 1904, une ardoisière y est exploitée à ciel ouvert.
En 1912, M. Cadieux exploite un filon qui aurait 12 mètres de large et 30 à 35 mètres de profondeur. L’excavation mesure 20 mètres de profondeur, pour une section de 16 mètres sur 12 mètres.
En mai 1914, Alexandre Malivaire est le nouvel exploitant, sur une parcelle appartenant à Henri Denoval (boucher).
En 1927, Émile Krug (Enghien les bains) est à la fois propriétaire et exploitant. Il exploite à ciel ouvert.