En 1911, l’ardoisière atteint la profondeur de 46 mètres.
En janvier 1924, M. Paul Le Bouar fait une déclaration d’ouverture à ciel ouvert. Il est à la fois propriétaire et exploitant.
En 1934, elle est dirigée par M. Lorans et exploitée par M. Le Bouar. Le puits mesure 5 mètres sur 10 mètres et 78 mètres de profondeur. Une chambre est exploitée à 34 mètres.
Le câble du treuil provient des Corderies de la Seine, il est en acier galvanisé. Le bassicot est un simple wagonnet de 133 kg à vide pouvant accueillir quatre hommes. Le puits est ouvert dans un très large travers-banc. Le chevalement se compose de deux poutres de 40 centimètres de section, encastrées dans les chefs puis cimentées. Sur les deux poutres, on en a posé deux autres pour recevoir la poulie du câble. Le treuil est électrique et est muni de deux freins : un électromagnétique et un à main. La recette est faite en haut sur le pont roulant glissé sous le bassicot. Les ouvriers peuvent donc y entrer ou en sortir sur le pont et ensuite s’attacher au crochet du câble.
Les conditions de descente par bassicot sont satisfaisantes mais les travaux ne sont qu’à 34 mètres de profondeur et les échelles sont en bon état. Il n’y a donc pas de raison pour accorder le transport des ouvriers par bassicot.