L'année 1863 fut très agitée à Noyal-sur-Vilaine. En effet, c'est à cette date que les habitants de la commune envoyèrent une pétition au Sénat au sujet des Violations de sépultures et de tombeaux dans le cimetière primitif situé au tour de l'église. En 1861, lors des travaux de construction de l'église : Des débris de corps d'enfants ont été confondus dans les terres charroyées, le 6 mai 1861, pour combler les rigoles de Croix-Bois et la mare du Pâtis-Simon au bourg . L'ancien maire de Noyal, P. Hardouin écrivit, dans une lettre adressée à Monseigneur l'archevêque de Rennes, le 8 mai 1861 : J'ai vu moi-même les enfants des écoles jouer avec des têtes de morts . En 1886, le cimetière fut jugé insalubre et trop petit pour la population de la commune et c'est en 1888 qu'il fut transféré en dehors du bourg.