Chargé d'études d'Inventaire du patrimoine à la Région Bretagne.
- enquête thématique régionale, Inventaire des fortifications littorales de Bretagne
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Dénominationsensemble fortifié
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Parties constituantes non étudiéescorps de garde, batterie
Depuis la fin du 16ème siècle, les milices garde-côtes assuraient la défense des côtes de France contre les descentes ennemies en assurant le guet de la mer. Les populations littorales et insulaires étaient enrégimentées pour surveiller perpétuellement une portion de la côte proche de leur paroisse. Le littoral breton était divisé en capitaineries sous l´autorité d´un capitaine général. « La capitainerie était une subdivision territoriale utilisée pour la milice garde-côtes, intermédiaire entre l´évêché - considéré comme circonscription administrative et non uniquement ecclésiastique - et la paroisse - de laquelle les communes ont repris les attributions administratives. » En 1756, le duc d'Aiguillon souhaitant transformer la milice garde-côtes a divisé le littoral breton en vingt capitaineries d'un bataillon chacune ; c´est sur cette division du littoral que nous nous baserons pour fixer les limites géographiques des capitaineries. Notre étude sur les fortifications des côtes du Nord Finistère et des Côtes-d´Armor ne comprend que les paroisses - communes - littorales des capitaineries.
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Période(s)
- Principale : 17e siècle
- Principale : 18e siècle
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Statut de la propriétépropriété publique
propriété privée
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Intérêt de l'œuvrevestiges de guerre
- (c) Inventaire général, ADAGP
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- (c) Archives départementales du Finistère
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- (c) Région Bretagne
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- (c) Archives départementales du Finistère
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- (c) Inventaire général, ADAGP
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Bibliographie
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Presqu´île de Crozon BUREL (M.), Camaret-sur-Mer. Promenade dans le passé, Bannalec, Imprimerie régionale, 1984, 135 p. BUREL (M.), Dans la rade de Brest, l´île de Trébéron et l´île des Morts, Bannalec, Imprimerie régionale, 2003, 190 p.
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CALVEZ, Louis (dir.). La Presqu´île de Crozon : histoire, art, nature. Paris, Nouvelle librairie de France, 1976, 477 p.
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CELARIE (M.), "L´île d´Arun, une poudrière sur la Rivière du Faou", Le Presqu´îlien, n° 66, 1999, p. 14-15.
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CHAURIS (L.), "La trilogie du Toulinguet : fortifications, phare, sémaphore", Avel Gornog, n° 11, juillet 2003, p. 40-45.
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DION (M.), Batteries, réduits, tours, forts, casemates... de Camaret et de Roscanvel, Brest, Association du Mémorial Montbarey, 1996, 67 p.
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PESQUEUR (L.), Schéma d´interprétation du patrimoine. Phase 1 : Valorisation du patrimoine militaire. Projet Tour Vauban. Parc Naturel régional d´Armorique, Pays Touristique du Ménez-Hom Atlantique, mai 1999.
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PETER (J), préface de Jean Meyer, Vauban et Brest. Dossier. Une stratégie modèle de défense portuaire, 1683-1704, Paris, Economica et Institut de Stratégie Comparée, 1998, 320 p. Le rocher du Mengant (projet de fort à la mer) "En raison de sa position exceptionnelle et de sa situation qui le rendait quasiment inaccessible, le rocher du Mengant exerça une réelle fascination sur les ingénieurs qui tous révèrent d´y édifier une fortification. Il était vrai que la position du rocher du Mengant était idéale et n´était à nulle autre pareille. Parmi les premiers mémoires sur le Mengant figura celui de François Ferry, ingénieur au port de Rochefort, du 6 avril 1680. Le 10 mai 1681, Seignelay écrivait : "La batterie à faire sur le Mengant est des plus nécessaires, puisqu´elle fait de la rade de Brest un port dans lequel les vaisseaux entreront en toute sécurité. Si la rade était fermée par une batterie sur le Mengant, aucun vaisseau ne pourrait y entrer. Le rocher qui est placé directement au milieu du passage est distant des terres des deux côtés de 500 à 600 toises". Le 15 octobre, selon le plan de Pierre de Sainte-Colombe, ingénieur au port de Brest, l´installation d´une batterie sur le rocher, qui comporterait notamment 1200 toises cubes à maçonner à 150 livres la toise cube, coûterait 228 225 livres. En 1683, Vauban écrivait : "C´est un lieu extrêmement battu des flots, toutes les fois qu´il y a un peu de mer, dans les temps les plus calmes sont des courants qui ne sont guère moins rapides que ceux du Rhône sur le pont Saint-Esprit. Après y avoir bien songé de toutes les façons, je n´y trouve que des difficultés presque insurmontables". Le 30 avril, Vauban nuançait son avis : "A propos du Mengant sur lequel j´ai été deux fois, c´est une dépense considérable, mais pas impossible". Le 8 mai, Vauban adressait à Seignelay, qui rêvait de fortifier le rocher du Mengant, un projet d´aménagement. De nombreux plans ne manquèrent pas d´être établis par la suite, qui ne furent pas réalisés". Les batteries de Néven (pointe du Diable) et de Guiny (située entre les forts du Minou et du Mengant au lieu-dit Coatibouch Selon le mémoire de Vauban du 15 juillet 1695, "il y a encore deux petites batteries dans les côtés du goulet, l´une de six pièces appelée de Néven et l´autre de cinq appelée de Guiny (E). Leur canon n´est que de 18 livres. Celles-ci, quoique bien situées, ont trop peu de capacité et ont été faites à la hâte par M. de Bercy. Leurs épaulements ont six pieds d´épais de maçonnerie de moellon à mortier de terre. Elles n'ont ni magasin ni corps de garde qui vaillent et ne sont pas fermées par les derrières. On pourra les augmenter du double et les fortifier, mais c´est un ouvrage de dépense et à faire en temps de paix. Je compte faire faire le remuement de terres de ces ouvrages par les matelots, et le gazonnage aux dépens de votre Majesté ou du pays". En septembre, Vauban estimait que la batterie de Néven pouvait être augmentée de dix à douze pièces de canon. En septembre 1699, Vauban écrivait : "La batterie de Guiny est fermée. On peut y mettre un invalide, sa femme et leurs enfants. S´il se trouve qu´ils veuillent bien y demeurer, on mettra son canon sur le ventre, la lumière en bas avec un tampon dans la bouche". S´agissant de la batterie de Néven, "il convient de faire la même garde qu´à celle de Guiny". Les batteries en projet "En septembre 1699, Vauban préconisait un certain nombre de disposition concernant la garde des sites en voie ou en cours d´équipement. "L´île Cézon, dans Aber Wrac´h, demande un commandant avec une garde de dix hommes, un sergent et un canonnier qui dans les besoins sera aidé par les soldats de la garde. Le poste est important jusqu´à ce qu´on ait construit un fort plus considérable sur l´île de Croix, quoique ce port soit sauvage et de peu de réputation. Il ne laisse pas d´être fort fréquenté de ceux qui s´y réfugient dans les mêmes temps et quand ils craignent les corsaires comme étant un lieu très sûr quand on y est entré... Le Conquet serait assez propre à faire la résidence de quelque vieille officier marin à qui l´on donnerait inspection sur toutes les redoutes et batteries qu´on y a faites. Il faudrait mettre une garde de 12 hommes avec un sergent qui obéirait à cet officier aussi bien que les canonniers qui serviront de concierges... Il faudrait bâtir un lieu sûr dans l´île Ouessant pour pouvoir au besoin y mettre une garde de trois hommes avec une batterie et de quoi faire des signaux... Il faut mettre le canon de la pointe de Kerviniou et du Capucin sur le ventre, le retourner et fermer son corps de garde et charger le commandant de la batterie de Cornouaille, de la visite tous les jours une fois... Au bas de la pointe du Capucin, il y a un rocher détaché capable d´une batterie de 24 pièces qui croiseraient sur l´entrée du goulet et sur celle de la rade de Camaret qui serait là très bien placée et aisée à bâtir... Il est nécessaire d´accommoder la batterie du Trémet de même que celle de Kerviniou.
p. 273, 275, 281-282 -
SQUIVIDAN (I.), "La Presqu'île de Crozon sous l'Occupation : la vie quotidienne des presqu'îliens de juin 1940 à septembre 1944", mémoire de maîtrise, Histoire : Brest, sous la dir. de Christian Bougeard, 1998, 230 p. (CRBC : M-07256).
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TRUTTMANN (P.), "Architecture militaire", in La Presqu´île de Crozon, histoire, art, nature, (sous la dir de L. Calvez), Paris, Nouvelle librairie de France, 1976, p. 345-362.
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PETER (J), préface de Jean Meyer, Vauban et Brest. Dossier. Une stratégie modèle de défense portuaire, 1683-1704, Paris, Economica et Institut de Stratégie Comparée, 1998, 320 p. Les batteries de l´île Longue et de l´île Ronde "Selon le mémoire de Vauban du 15 juillet 1695, le fort et la batterie de l´île Longue, qui n´étaient pas entièrement achevés, étaient équipés de six canons dont trois de 24 livres, et de deux mortiers. "On travaille au fort et à la batterie de l´île Longue où on a posé la fraise ; elle sera aussi en état dans quelques mois d´ici de pouvoir se soutenir par elle-même". L´intention de Vauban était de renforcer la batterie et d´y ajouter six canons de 36 livres. En septembre 1699, Vauban écrivait : "Un canonnier et deux aides à la batterie de l´île Longue qui demeureront là avec leurs familles auront soin de fermer tous les soirs la porte sur eux, ce qui suffira jusqu´à ce que la guerre revienne ou que le fort soit achevé". S´agissant de l´île Ronde, Vauban ajoutait : "Il faudra avec le temps et le plus tôt sera le mieux, fortifier l´île Ronde et y établir une batterie de huit canons et faire la même chose à la tête de Lanvéoc".
p. 272-273 -
MAMMANI (Ch.). Mémoire en Images, La Presqu'île de Crozon. Joue-les-Tours, éditions Alan Sutton, tome 2, 1996, 128 p.
Périodiques
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CADIOU (D.), "Chemin de ronde en presqu´île de Crozon. Evolution de la fortification", Avel Gornog, n° 2, juin 1994, p. 48-54.
Documents figurés
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Archives départementales d´Ille-et-Vilaine Série C. Administrations provinciales. Intendance de Bretagne et subdélégations ; Etats de Bretagne, commission intermédiaire et commissions spéciales des Etats. Série Fi. Documents figurés autres que ceux contenus dans les autres séries et entrés à titre de dons ou achats. Cette série regroupe : cartes et plans, affiches, cartes postales, photographies, croquis, dessins. C Fi 983 - 01 : Carte figurative des terres et héritages qui ont été compris dans l´étendue des ouvrages du retranchement de la presqu´île de Roscanvel et des lieux qui ont été endommagés aux environs pour les gazons et terre de placages que l´on a pris pendant l´année 1695. C Fi 983 - 02 : Carte figurative des terres et héritages qui ont été compris dans l´étendue des ouvrages du retranchement de la presqu´île de Roscanvel et des lieux qui ont été endommagés aux environs pour les gazons et terre de placages que l´on a pris pendant l´année 1696. C Fi 983 - 03 : Carte figurative des terres et héritages qui ont été compris dans l´étendue des ouvrages du retranchement de la presqu´île de Roscanvel et des lieux qui ont été endommagés aux environs pour les gazons et terre de placages que l´on a pris pendant l´année 1697. C Fi 983 - 04 : Carte figurative des terres et héritages qui ont été compris dans l´étendue des ouvrages faits en dehors du front du fort de Roscanvel du côté de la Haque (?) pendant les années 1698 et 1699.
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"La défense de la baie de Douarnenez pendant le débarquement des marins sur la plage de Pentrez", L'Illustration, 13 août 1898. (Voir : JADE (P.), "Les ouvrages de fortification littorale du port de Brest - 1872-1917. La défense des côtes en France à l´âge industriel", mémoire de maîtrise d´Histoire Contemporaine de l´Université de Bretagne Occidentale, sous la dir. de M.-T. Cloître, 2004, 293 p. et 141 p., tome 1 : p. 63).
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Collection particulière, Roscoff. Certains tirages papier portent au revers le cachet du service photographique du journal Ouest-France (ce journal paraît pour la première fois le lundi 7 août 1944, prenant la suite de L'Ouest-Éclair).
Chargé d'études d'Inventaire du patrimoine à la Région Bretagne.
Contient
- Batterie de Beaufort, Pointe de Cornouaille (Roscanvel)
- Batterie de Begéozic, Postermen (Roscanvel)
- Batterie de Cornouaille (Roscanvel)
- Batterie de côte (détruite : ?), au sud de la Pointe de Tal ar Grip (Plomodiern)
- Batterie de côte et corps de garde (détruits), Le Daouët, Pointe de Pen Hir (Camaret-sur-Mer)
- Batterie de côte et corps de garde (extrémité sud du champ de bataille du 18 juin 1694 : "Bataille de Camaret"), Pointe Sainte-Barbe (Camaret-sur-Mer)
- Batterie de côte, corps de garde (détruits : ?), Rosmeur (Douarnenez)
- Batterie de côte, corps de garde et magasin à poudre, Postermen (Roscanvel)
- Batterie de côte, corps de garde et retranchements (détruits : ?), Beg an Ty Garde (Plonévez-Porzay)
- Batterie de côte, corps de garde, Pointe de Luguenez (Beuzec-Cap-Sizun)
- Batterie, Le Lez (Roscanvel)
- Batteries hautes et basse puis fort et ensemble fortifié de la pointe des Espagnols (Stützpunkt "Espagnols" ou "Nordspitze Crozon") (Cr 42-50) (Roscanvel)
- Caserne Sourdis, Route de Quélern (Roscanvel)
- Corps de garde (détruit : ?), Les Roches Blanches (Douarnenez)
- Corps de garde (détruit : ?), Tréboul (Tréboul)
- Corps de garde (détruit : ?), au nord de la Pointe de Tal ar Grip (Plomodiern)
- Corps de garde, Penhoat, Pointe du Grand Gouin (Camaret-sur-Mer)
- Ensemble de signaux (Roscanvel)
- Ensemble de trois casernes, Pont Scorff (Roscanvel)
- Ensemble fortifié (Cr 28), Ile de l'Aber (Crozon)
- Fort (4e quart 17e siècle ; projet) puis balise en fer puis tourelle en maçonnerie du Mengant (goulet de Brest), la Roche Mengant (Roscanvel)
- Fort de la Fraternité (Roscanvel)
- Fort du Corbeau (B 403), pointe du Corbeau (Plougastel-Daoulas)
- Fort et batteries (2 canons de 16 cm modèle 1858-1860 ; 3 mortiers Marine de 30 cm modèle 1883 ; 4 canons Marine de 24 cm modèle 1870 ; 2 canons Marine de 27 cm modèle 1870 ; 4 canons Marine de 19 cm modèle 1864-1866) puis base navale pour sous-marins, Ile Longue (Crozon)
- Fort et batteries (4 canons Marine de 24 cm modèle 1870 ; 4 canons de 16 cm modèle 1858-1860) puis batterie antiaérienne allemande (canons de 40 mm.) (Cr 308), Pointe de Lanvéoc (Lanvéoc)
- Fort et batteries (dont batterie extérieure) (8 canons de 19 cm modèle 1864-1866 ; 2 canons de 24 cm modèle 1870 ; 2 canons de 24 cm modèle 1864-T-1870 ; 2 canons Marine de 32 cm modèle 1870) (B 409), Pointe de l'Armorique (Plougastel-Daoulas)
- Four à chaux, Pointe de la Fraternité (Roscanvel)
- Motte ou édifice fortifié (?) puis four à chaux dit four à chaux de l'Aber ou four à chaux de Rozan (Crozon)
- Petite batterie basse dite "Vieille batterie" de la pointe des Espagnols (Roscanvel)
- Retranchements (4e quart 17e siècle) puis fortifications extra-urbaines (4e quart 18e siècle) de Quélern (Cr 36-39) (Roscanvel)
- Retranchements et batteries, champ de bataille du 18 juin 1694 : "Bataille de Camaret", De la pointe Sainte-Barbe aux Lignes de Quélern, Plage de Trez-Rouz (Crozon)
- Réduit, année "1854" dit "Réduit de Quélern" (Roscanvel)
- Tour Vauban : tour et batterie basse semi-circulaire, le Sillon, Anse de Camaret (Camaret-sur-Mer)
- Vestiges du corps de garde, Pointe de Lostmarc'h (Crozon)
- Éperon barré, Pointe de Lostmarc'h (Crozon)
Batterie (4 canons M de 19 cm modèle 1870 sur affûts M modèle 1869-T-1884 PA) puis batterie antiaérienne allemande (3 canons de 40 mm.) (Cr 330), Pont Scorff (Roscanvel)
Lieu-dit : Pont Scorff
Batterie du Petit Gouin : batteries d'artillerie de côte et corps de garde crénelé, bunkers - casemates de type 671 et abris, Pointe du Grand Gouin (Camaret-sur-Mer)
Lieu-dit : Petit Gouin
Capitainerie de Brest : ensemble fortifié
Groupe défensif côtier "Crozon" codé "Cr" (Crozon)
Magasin à poudre sous roc, Pointe des Capucins (Roscanvel)
Lieu-dit : Pointe des Capucins
Chargé d'études d'Inventaire du patrimoine à la Région Bretagne.